Le 12 mars 2024, l’assemblée nationale a approuvé « l’accord de sécurité bilatéral » avec l’Ukraine. Accord approuvé grâce à la collaboration des Républicains, des Socialistes et des Ecologistes, et à la trahison du RN, qui est surtout préoccupé par les élections européennes et les grasses rémunérations qui vont avec.
Depuis l’intervention de la Fédération de Russie en Ukraine le 24 février 2022, Emmanuel Macron se pose en chef de guerre incontesté en Europe. Ce doit être une idée fixe chez lui, car le 16 mars 2020, au début de la « crise sanitaire », ce dernier martelait au peuple français : « Nous sommes en guerre, en guerre sanitaire certes. Nous ne luttons ni contre une armée ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, et qui progresse… » (1)
Le 15 février 2024, alors que l’Ukraine bombarde lourdement la ville russe de Belgorod (tuant plusieurs civils dont un bébé), la France censure une vingtaine de chaînes Telegram francophones pour « désinformation ». Le moment choisi pour cette censure indique clairement que Paris ne veut plus que les Français puissent savoir que l’Ukraine tue délibérément des civils avec les armes que les pays occidentaux lui fournissent.
Le 20 décembre 2023, l'adoption de la loi "immigration et asile" en France a suscité une controverse nationale, ravivant les débats sur la politique migratoire. Cette législation, considérée comme la plus restrictive depuis des décennies, a plongé le pays dans une réflexion profonde sur ses valeurs républicaines et son histoire mouvementée, notamment en évoquant les périodes sombres du gouvernement de Vichy. Cet article explore l'impact historique de cette loi, remettant en question sa conformité avec les principes fondamentaux de la République française et mettant en lumière la nécessité de tirer des leçons du passé pour façonner un avenir respectueux des droits humains et de la diversité.
Le putsch au Niger et le fort sentiment anti-français découlent en partie de la politique colonialiste de la France. Depuis 50 ans, elle maintient le pays sous sa domination pour en extraire l’uranium nécessaire à sa politique nucléaire.
Or déréguler c’est plus de règles ? Sauf pour les « autres » sur lesquels s’amoncellent toujours plus de contraintes. Pour eux-mêmes, malades de la sciences infuse, la dérègle dérègle tout. Ils s’en goinfrent de coups d’état tels la banalisation du mal. Le but reste de rendre anodins tous les prurits de leurs caprices arbitraires. C’est-à-dire non nécessaires ! Le chaos ne vient que d’en haut.