<<<< Car Trump offre aux Israéliens la possibilité d’assouvir l’ambition qu’ils chérissent le plus : foin de Gaza, de territoire libanais au sud de la rivière Litani, de Mont Hermon ou de désert du Sinaï, qu’ils ont physiquement occupés plusieurs fois dans le passé, c’est la Cisjordanie, cette terre palestinienne où Israël voit partout le passé biblique, qu’il entend voir annexée, et le plus tôt possible. Et c’est en le lui promettant que Trump a fait plier Nétanyahou.
Dans le silence assourdissant du crime, un prétendu héros de la sale guerre, Raphaël Jerusalmy, un ancien officier du renseignement militaire israélien essaye de nous convaincre que la guerre menée par Netanyahou et ses acolytes est propre et juste. Il n’a pas honte et reconnait sa saloperie de guerre « A aucun moment de l’histoire militaire humaine, une armée n’a déployé autant de précautions pour épargner les civils présents dans une zone de combat. Une armée qui se déplace avec des incubateurs et des cartons de Materna afin de secourir des bébés palestiniens… »
Enfin, la vérité de La Palice sort de bouche de António Guterres. Ne possédant aucune force d’action pour sanctionner les criminels de guerre, il plaide pour un cessez-le-feu urgent. En faisant ainsi, son rôle se limite à un rabbin lamentateur, un imam inopérant ou un prêtre impuissant qui implore Dieu durant ses prières pour arrêter ce génocide. Monsieur António Guterres, il est temps de fermer votre club de complaisances. Mes respect Monsieur Guerres ! Je m’excuse ce n’est pas lapsus ou une faute de frappe ! Vous avez perdu votre (T) à Gaza. Nous remarquons que dans votre club la voix des plus forts se tait quand les crimes au Rwanda, en ex-Yougoslavie et à Gaza sont mentionnés. Par contre, cette voix crie tout haut et condamne quand le génocide d’Auschwitz est à peine murmuré.