L'entité sioniste, dans sa guerre contre peuple palestinien, a démontré une série d'échecs tant sur le plan militaire que communicationnel, ainsi qu'en matière d'espionnage. Pour masquer ces défaites, elle a recours à des pratiques génocidaires systémiques, englobant le massacre de civils innocents, y compris des nourrissons, des enfants, des femmes et des personnes âgées, ainsi que des actes de génocide environnemental et culturel.
Le génocide en cours commis par Israël à Gaza est étouffé par des conditions qui, pendant des décennies, n’ont rien fait pour atténuer les conséquences du colonialisme de peuplement pour les Palestiniens, et encore moins pour leur assurer une quelconque sécurité ou libération.
L’Afrique du Sud a demandé à la Cour internationale de justice de déclarer Israël coupable d’"actes génocidaires" à Gaza. Les architectes de la Convention sur le génocide ont voulu qu’elle soit utilisée pour mettre fin aux massacres de civils avant qu’il ne soit trop tard.
La requête de l'Afrique du Sud (longue et détaillée) a été traduite (traduction automatique) et se trouve en pièce jointe. Voici son introduction. En complément, vous trouverez la réaction (ça secoue) du Ministère des Affaires étrangères israélien.
Un quart de sa population pourrait mourir en l'espace d'un an en raison des épidémies provoquées par ce conflit sans précédent.
Exécutions de masse, rhétorique génocidaire.
Là où j’ai grandi, dans la banlieue de l’Ohio, le génocide était une bonne chose. Je l’ai lu positivement en cours d’histoire, au même titre que la découverte de nouvelles terres, l’exploration et la colonisation. J’ai joué à la colonisation dans un jeu vidéo au laboratoire d’informatique. Le génocide est codé dans le cerveau occidental. C’est ainsi qu’ils se sont construits, pourquoi lâcheraient-ils leur dernière colonie, Israël ? C’est pourquoi le soutien ouvert à Israël, ouvertement génocidaire, est si facile. Ils suivent le même vieux programme génocidaire, mais avec des bombes et des médias modernes.
Jeffrey Sachs est un économiste proche de nombreuses administrations démocrates US. Il est considéré comme l’un des cent intellectuels les plus influents au monde. Il a été le conseiller de plusieurs secrétaires généraux des Nations Unies dont Antonio Gutteres.
William Schabas est un professeur de droit de réputation mondiale, un spécialiste écouté aux Nations Unies sur les questions de la torture, de la peine de mort et du génocide.
Le texte ci-dessous est la traduction de leur article « The Xinjiang genocide allegations are unjustified » paru dans l’édition du 20 avril de « PS » (« Project Syndicate »), un réseau de 459 médias dans 150 pays.
Le 21 avril, ce texte a fait l’objet dans LGS d’une analyse de Gaston Monatte : « Ouïghours : un pavé (made in USA) dans la mare » où se lit en filigrane une annonce d’un infléchissement (ou revirement) possible de la propagande étatsunienne sur le sujet.
Dans l’immédiat, tremblons pour nos médias qui se sont acharnés sur un de nos administrateurs qui avait soutenu hier (l’impudent !) ce qui se vérifie aujourd’hui.
LGS