Le 3 octobre prochain s’ouvrira le procès de l’affaire dite du « 8 décembre ». Sept personnes sont accusées d’association de malfaiteurs terroriste. Pour construire le récit du complot terroriste, les services de renseignement de la DGSI chargés de l’enquête judiciaire, le parquet national antiterroriste (PNAT) puis le juge d’instruction instrumentalisent à charge le fait que les inculpé·es utilisaient au quotidien des outils pour protéger leur vie privée et chiffrer leurs communications. Face à cette atteinte inédite, que nous documentions longuement il y a quelques mois, le temps de ce procès va donc être crucial dans la bataille contre les velléités récurrentes de l’État de criminaliser des pratiques numériques banales, sécurisées et saines, pratiques que nous défendons depuis toujours.
Défendre les libertés d’expression sur la Palestine : un enjeu universitaire
Interview d’Oleg Nesterenko, président du CCIE http://c-cie.eu , accordé à la publication "L'Eclaireur des Alpes".
Interview d’Oleg Nesterenko, président du CCIE, accordé à la publication "L'Eclaireur des Alpes".
Dans le dernier classement mondial de la liberté de la presse 2023 publié par Reporters sans frontières, l’Ukraine effectue un bond prodigieux de 27 places...
Julian Assange et Alex Saab, un journaliste et un diplomate. Le premier, en attente de son extradition vers les États-Unis, l'autre enlevé et emprisonné en Floride au mépris du droit international. Deux exemples de l'arrogance impérialiste des États-Unis soutenus dans le cas d’Assange par le Gouvernement britannique alors que dans le cas de Saab, l'enlèvement a pu avoir lieu avec la complicité d'un pays dépendant, le Cap-Vert, incapable de dire « non » aux États-Unis.