Nos propos légèrement humoristiques se veulent une réponse à l'égard des déclarations de Son Excellence Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations Unies sur le dérèglement climatique qualifié d'effondrement climatique. Nous reconnaissons pleinement que notre ton « humoristique » peut sembler inapproprié au regard d'un sujet aussi sérieux et crucial pour l'avenir de notre planète. Il est primordial pour nous d’assurer Monsieur le Secrétaire Général, que notre intention n'est en aucun cas de minimiser l'importance de cette crise mondiale, mais plutôt d'exprimer nos préoccupations et frustrations de manière plus légère.
Pour paraphraser Victor Hugo, je dis « seule l'innovation est capable de transformer le rêve en réalité ». En effet, les rêves ne peuvent devenir réalité que grâce à la capacité d'innover et de repousser les limites de ce qui est considéré comme possible. Cela implique d'avoir une vision audacieuse, de sortir des sentiers battus et d'explorer de nouvelles voies. En utilisant l'innovation, il est possible de trouver des solutions aux problèmes, de développer de nouvelles technologies, d'améliorer les processus existants et de créer de nouvelles opportunités. C'est en repoussant constamment les frontières de la connaissance et en prenant des risques que l'innovation permet de transformer les rêves en réalité.
La décision de rejeter la candidature de l'Algérie pour rejoindre les BRICS n'est pas une surprise et peut être expliquée par des différences de développement économique, de priorités géopolitiques et de perception de la stabilité politique. Pour le moment, l'entrée de l'Algérie seule dans le club des BRICS n'apporte aucune valeur ajoutée à ce dernier, bien au contraire, cette adhésion pourrait être interprétée comme une agression envers l'Union européenne, un important client en hydrocarbures pour l'Algérie. Pour bénéficier des avantages d'une telle adhésion, l'Algérie devrait remplacer sa candidature par une candidature collective de l’ensemble des pays du Maghreb. Cette alternative présente de nombreux avantages, tant sur le plan économique que politique. Cela permettrait de mettre en valeur les atouts de la région, de maximiser les ressources disponibles et de renforcer la coopération régionale.
Le récent coup d'État au Niger soulève des questions sur les motivations des pays d'Afrique de l'Ouest et met en évidence les inégalités de traitement entre les crises politiques en Afrique et ailleurs dans le monde.
La solidarité s’impose comme clé de voûte de la vie sociale. Elle incarne des valeurs essentielles telles que le partage, l'entraide, la justice et la cohésion sociale. En promouvant la solidarité dans notre quotidien, nous contribuons à créer une société plus respectueuse, équilibrée et prospère pour tous.
La stratégie mise en place par le gouvernement pour lutter contre cette pandémie ne résout rien ni l'aspect sanitaire et moins l'aspect économique, car le pseudo confinement ne fait que déplacer le problème et faire durer la crise pouvant provoquer une faillite économique, une banqueroute de l'Etat capable de mettre en péril notre pays.
La Tunisie vit actuellement un désordre total : un gouvernement incapable de gouverner, un président sans pouvoir veut régner, une Assemblée incompétente et une opposition désorganisée à la recherche d’un sauveur. Le peuple doute de la capacité de la classe politique pour redresser la situation politique, économique, sociale et surtout institutionnelle. Le peuple attend des gestes forts pour croire et s’impliquer dans la reconstruction du pays. Les trois présidents (de la République, du gouvernement et de l'ARP) doivent s'entendre sur un processus de sortie de crise dans un délai ne dépassant pas une quinzaine de jours. Les solutions ne manquent pas mais ils doivent avoir le courage de dire la vérité au peuple et surtout proposer un agenda pouvant éviter à la Tunisie la banqueroute. Ne rien faire, c'est accepter la mise sous-tutelle de notre pays ou un coup d'Etat salvateur...
Une question légitime que nous pouvons poser : pourquoi le FMI cherche-t-il à diriger directement notre pays ? Youssef Chahed, Chef de gouvernement est-il l’otage du FMI. Son sort est-il entre les mains de Christine Lagarde ? Subira-t-il le même sort que Habib ESSID, l'ancien chef de gouvernement ? En tout cas, il est en liberté provisoire, "contrôlée par un bracelet électronique".
Après plus de cinq ans d’égarement et de bégaiement, un état des lieux objectif s’impose pour mieux comprendre le complot concocté contre la Tunisie par les concepteurs du « printemps arabe » et de ses alliés-affidés indigènes. Cette mise au point pourra servir pour faire l’inventaire des issues possibles afin de sortir notre pays de son marasme intégral. Seule la mobilisation active et l’action militante du peuple tunisien et du front républicain pourront redresser un pays à la dérive. Les « amis-ennemis de la Tunisie » ne pourront réviser leurs prétentions sur notre pays que lorsqu’ils entendront d’une seule voie : « Dégagez, dégagez, dégagez, assez de complots, assez de martyrs, assez de pillage et de manigances ».
La Tunisie a besoin d’une dynamique politique exceptionnelle pour nous éviter le chaos. Vous disposez, en tant que président de la République, de tous les leviers de transformation et de modernisation de l’Etat tunisien.