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Auteur : Mustapha STAMBOULI

Nations Unies : Antonio avec les collapsos ?!

Mustapha STAMBOULI

Nos propos légèrement humoristiques se veulent une réponse à l'égard des déclarations de Son Excellence Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations Unies sur le dérèglement climatique qualifié d'effondrement climatique. Nous reconnaissons pleinement que notre ton « humoristique » peut sembler inapproprié au regard d'un sujet aussi sérieux et crucial pour l'avenir de notre planète. Il est primordial pour nous d’assurer Monsieur le Secrétaire Général, que notre intention n'est en aucun cas de minimiser l'importance de cette crise mondiale, mais plutôt d'exprimer nos préoccupations et frustrations de manière plus légère.

Monsieur Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, a récemment frappé fort dans son dernier communiqué daté du 6 septembre 2023, en déclarant : "Attention tout le monde, l’effondrement climatique est déjà en cours !" Autant dire qu’Antonio Guterres était quelque peu choqué par les informations venant de l'Organisation météorologique internationale (OMI). Mais soyons honnêtes, ses déclarations peuvent faire dresser les poils de tout le monde. Utiliser le terme "effondrement climatique" risque de plomber davantage le moral et de décourager complètement. Ne serait-il pas préférable de réfléchir à deux fois avant de balancer des prévisions aussi catastrophiques ? Le problème avec les prédictions apocalyptiques réside dans le fait qu'elles donnent plutôt envie de se cacher sous la couette que de prendre des mesures concrètes. Le changement climatique étant déjà assez angoissant, autant essayer de mobiliser les troupes de manière plus positive. Oui, il est grand temps de passer à l'action et de sauver (...) Lire la suite »

Tunisie : une stratégie et un schéma directeur d’intelligence artificielle (IA) axés sur la prédictivité et l’amélioration des services publics s’imposent !

Mustapha STAMBOULI

Pour paraphraser Victor Hugo, je dis « seule l'innovation est capable de transformer le rêve en réalité ». En effet, les rêves ne peuvent devenir réalité que grâce à la capacité d'innover et de repousser les limites de ce qui est considéré comme possible. Cela implique d'avoir une vision audacieuse, de sortir des sentiers battus et d'explorer de nouvelles voies. En utilisant l'innovation, il est possible de trouver des solutions aux problèmes, de développer de nouvelles technologies, d'améliorer les processus existants et de créer de nouvelles opportunités. C'est en repoussant constamment les frontières de la connaissance et en prenant des risques que l'innovation permet de transformer les rêves en réalité.

L'utilisation réfléchie de l'IA peut jouer un rôle clé dans le développement de la Tunisie en améliorant plusieurs secteurs essentiels tels que la santé, l'éducation, l'agriculture, les transports et la gouvernance. Il est essentiel de promouvoir une utilisation responsable de l'IA pour maximiser ses avantages et minimiser les risques potentiels. La modernité de la Tunisie se reflète particulièrement dans sa politique de numérisation des services publics. En effet, les gouvernements successifs ont lancé plusieurs initiatives, certes timides, visant à faciliter l'accès des citoyens aux services administratifs en ligne, contribuant ainsi à un peu plus d’efficacité. En outre, la Tunisie est devenue un hub technologique régional, engageant les entreprises internationales à investir dans le pays. Des parcs technologiques tels que le Technopôle El Ghazala ou encore le Cogite Coworking Space témoignent de cette dynamique et favorisent l'innovation et la création d'emplois dans le secteur des technologies de (...) Lire la suite »

Priorité à la revitalisation de l’Union du Maghreb arabe avant la candidature collective des pays de l’UMA aux BRICS !

Mustapha STAMBOULI

La décision de rejeter la candidature de l'Algérie pour rejoindre les BRICS n'est pas une surprise et peut être expliquée par des différences de développement économique, de priorités géopolitiques et de perception de la stabilité politique. Pour le moment, l'entrée de l'Algérie seule dans le club des BRICS n'apporte aucune valeur ajoutée à ce dernier, bien au contraire, cette adhésion pourrait être interprétée comme une agression envers l'Union européenne, un important client en hydrocarbures pour l'Algérie. Pour bénéficier des avantages d'une telle adhésion, l'Algérie devrait remplacer sa candidature par une candidature collective de l’ensemble des pays du Maghreb. Cette alternative présente de nombreux avantages, tant sur le plan économique que politique. Cela permettrait de mettre en valeur les atouts de la région, de maximiser les ressources disponibles et de renforcer la coopération régionale.

Dans un contexte de mondialisation croissante, de nombreux experts estiment qu'il serait préférable pour l'Algérie de se concentrer sur la revitalisation de l'Union du Maghreb Arabe (UMA) avant de rechercher de nouvelles alliances avec des blocs tels que les BRICS. Dans le présent article nous aborderons spécifiquement les raisons pour lesquelles la revitalisation de l'UMA devrait être la priorité de l'Algérie, tout en soulignant l'importance de diversifier les partenariats et les alliances. En revitalisant l'UMA, l'Algérie et les autres pays membres pourraient renforcer leur coopération régionale et leur développement, contribuant ainsi à la stabilité et à la prospérité de la région du Maghreb. Cependant, il est important de noter que cette opinion met l'accent sur l'importance de travailler sur la revitalisation de l'UMA sans exclure la possibilité de rechercher de nouvelles alliances avec d'autres blocs tels que les BRICS. I. Evaluation de la candidature de l’Algérie pour le Groupe BRICS (...) Lire la suite »

La communauté internationale doit admettre que les récents putschs en Afrique de l’Ouest sont des révoltes qui annoncent un Printemps Africain !

Mustapha STAMBOULI

Le récent coup d'État au Niger soulève des questions sur les motivations des pays d'Afrique de l'Ouest et met en évidence les inégalités de traitement entre les crises politiques en Afrique et ailleurs dans le monde.

La situation actuelle en Afrique de l'Ouest avec les récents coups d'État au Mali, au Burkina Faso et au Niger, représente un défi majeur pour la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et à l’Occident. Ces événements remettent en question les modèles politiques et économiques des États membres de l'organisation, menaçant ainsi la stabilité de la région. Les divergences sur des questions telles que la politique monétaire compliquent également la coopération entre les membres de la CEDEAO. Tous les efforts doivent être mis en synergie afin de résoudre ces problèmes potentiels de manière pacifique et coopérative pour maintenir l'intégrité de l'organisation et promouvoir la stabilité dans la région. La réponse à ces questions complexes se trouve probablement dans les intérêts politiques et économiques en jeu. Bien que certains pays de la région puissent être motivés par des considérations stratégiques et la préservation de la stabilité régionale, cela ne change pas le fait que les inégalités (...) Lire la suite »

Volontariat et solidarité, clés de voûte du vivre ensemble !

Mustapha STAMBOULI

La solidarité s’impose comme clé de voûte de la vie sociale. Elle incarne des valeurs essentielles telles que le partage, l'entraide, la justice et la cohésion sociale. En promouvant la solidarité dans notre quotidien, nous contribuons à créer une société plus respectueuse, équilibrée et prospère pour tous.

Le volontariat et la solidarité sont, en effet, essentiels pour favoriser une société basée sur le vivre ensemble. Le volontariat permet à des individus de consacrer bénévolement leur temps et leurs compétences pour venir en aide à ceux qui en ont besoin. Cela peut se faire à travers des actions humanitaires, des projets communautaires, ou encore en soutenant des organisations non gouvernementales. La solidarité, quant à elle, est un principe fondamental qui consiste à se soutenir mutuellement dans les épreuves et à partager avec ceux qui sont dans le besoin. Elle implique l'empathie, la compassion et la volonté d'aider activement les autres. En mettant en pratique le volontariat et en faisant preuve de solidarité, nous contribuons à renforcer les liens sociaux, à réduire les inégalités et à créer une société plus juste et plus inclusive. Cela permet également de développer un sentiment d'appartenance collective et de favoriser des valeurs telles que l'altruisme, la générosité et le respect de l'autre. En (...) Lire la suite »
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Tunisie- Crise coronavirus : comment éviter l’implosion de notre pays malgré la défaillance de l’Etat ...

Mustapha STAMBOULI

La stratégie mise en place par le gouvernement pour lutter contre cette pandémie ne résout rien ni l'aspect sanitaire et moins l'aspect économique, car le pseudo confinement ne fait que déplacer le problème et faire durer la crise pouvant provoquer une faillite économique, une banqueroute de l'Etat capable de mettre en péril notre pays.

Jean-Pierre Chevènement, homme politique français fait un diagnostic sur la défaillance des Etats en matière de visions et de stratégies : « L'Etat s'est défaussé de sa responsabilité fondamentale. Il a rompu le pacte de base : les citoyens reconnaissent l'autorité de l'Etat, et en échange de quoi, ce dernier leur assure un certain nombre de services, au premier rang desquels, la garantie de la sécurité. Ne nous y trompons pas : ce qui vaut dans le domaine de la santé vaut aussi dans d'autres secteurs, et il faudra également en tirer les conséquences. ». Chevènement ne se trompe et ce constat est valable pratiquement pour tous pays exceptés les Etats gérés par des gouvernements socialistes ou similaires comme le Portugal, Cuba, la Chine et à moindre mesure la Russie, etc. La Tunisie est doublement pénalisée : des choix non cohérents et surtout une minable gouvernance. Notre pays est confronté, comme le reste de l’humanité, à une crise sanitaire exceptionnelle. La Tunisie se trouve, aujourd’hui, (...) Lire la suite »

Il est grand temps de redresser la Tunisie menacée de faillite et de banqueroute ...

Mustapha STAMBOULI

La Tunisie vit actuellement un désordre total : un gouvernement incapable de gouverner, un président sans pouvoir veut régner, une Assemblée incompétente et une opposition désorganisée à la recherche d’un sauveur. Le peuple doute de la capacité de la classe politique pour redresser la situation politique, économique, sociale et surtout institutionnelle. Le peuple attend des gestes forts pour croire et s’impliquer dans la reconstruction du pays. Les trois présidents (de la République, du gouvernement et de l'ARP) doivent s'entendre sur un processus de sortie de crise dans un délai ne dépassant pas une quinzaine de jours. Les solutions ne manquent pas mais ils doivent avoir le courage de dire la vérité au peuple et surtout proposer un agenda pouvant éviter à la Tunisie la banqueroute. Ne rien faire, c'est accepter la mise sous-tutelle de notre pays ou un coup d'Etat salvateur...

La Tunisie est embourbée dans une crise politique – non visible au commun du mortel, mais aussi sociale, de gouvernance et surtout économico-financière. Aucune solution classique ne pourrait venir à bout à cette crise systémique, seul le modèle de Pékin pourrait mettre fin à cette crise qui a trop duré et remettre le pays au travail. Bon gré malgré, il faudrait bien accepter cette opération chirurgicale pour nous éviter l'amputation ... Il est clair que le gouvernement Youssef Chahed a terriblement échoué . Il n'y a plus de place pour les amateurs/incompétents. Le prochain chef de gouvernement devra avoir, eu égard de la situation dramatique de l'économie tunisienne, un profil similaire à celui de Hédi Nouira, l'homme qui est arrivé, en quelques mois, à sortir notre pays de l'impasse et surtout à créer une dynamique économique favorisant l'investissement et la croissance ... Il y a toujours un "Hédi Nouira" quelque part à sortir de l'ombre ... La période à venir doit générer un modèle social tunisien (...) Lire la suite »

Echec de la mission FMI en Tunisie : Youssef Chahed sortira-t-il indemne ?

Mustapha STAMBOULI

Une question légitime que nous pouvons poser : pourquoi le FMI cherche-t-il à diriger directement notre pays ? Youssef Chahed, Chef de gouvernement est-il l’otage du FMI. Son sort est-il entre les mains de Christine Lagarde ? Subira-t-il le même sort que Habib ESSID, l'ancien chef de gouvernement ? En tout cas, il est en liberté provisoire, "contrôlée par un bracelet électronique".

La Tunisie vit un désordre presque total : un gouvernement incapable de gouverner, un président absent, un parlement bloqué par son incompétence et une opposition qui se cherche. Le peuple doute de la capacité de la classe politique pour redresser la situation politique, économique et sociale. Le peuple est complètement déçu, risque de rejeter toute la classe politique. Tout est donc à recommencer. La Tunisie ne survivra que si elle réinstalle l’autorité de l’Etat et implique toutes les compétences patriotes en vue de trouver les solutions appropriées pour un pays à la dérive tant sur le plan financier qu’économique. Il ne manque qu’une formulation politique claire et un engagement résolu et sans faille de la part des acteurs politiques. Mais ces conditions, qui seraient si simples à remplir dans n’importe quel pays au Monde, s’apparentent, en Tunisie, à un chemin de croix, tant l’incompétence du gouvernement pléthorique est flagrante et tant l’opinion, écrasée de soucis quotidiens de survie, perdue. Il (...) Lire la suite »

La Tunisie en panne : pourquoi ?

Mustapha STAMBOULI

Après plus de cinq ans d’égarement et de bégaiement, un état des lieux objectif s’impose pour mieux comprendre le complot concocté contre la Tunisie par les concepteurs du « printemps arabe » et de ses alliés-affidés indigènes. Cette mise au point pourra servir pour faire l’inventaire des issues possibles afin de sortir notre pays de son marasme intégral. Seule la mobilisation active et l’action militante du peuple tunisien et du front républicain pourront redresser un pays à la dérive. Les « amis-ennemis de la Tunisie » ne pourront réviser leurs prétentions sur notre pays que lorsqu’ils entendront d’une seule voie : « Dégagez, dégagez, dégagez, assez de complots, assez de martyrs, assez de pillage et de manigances ».

Depuis le 14 janvier 2011, date de « transfert » de Ben Ali à l’Arabie Saoudite et de l’installation d’un pseudo-pouvoir téléguidé par les islamistes et leurs mentors internationaux, la Tunisie souffre d’un déficit flagrant d’autorité de l’Etat. La transition du vieux couple « Mbazaa-Essebsi », ayant duré moins d’un an, a favorisé l’installation des islamistes dans toutes les articulations de l’Etat à travers des élections basées sur un code électoral taillé sur mesure pour les islamistes et leurs satellites. La Constituante a accouché par « césarienne », après trois ans de gestation, d’une Constitution d’un géniteur inconnu, complètement anachronique et inadaptée au contexte présent de notre pays. Le bilan de trois ans de calvaire a enregistré trois assassinats politiques et l’expédition de plus de 9000 mercenaires-terroristes tunisiens en Syrie, en Irak et en Libye. Cette seconde transition islamiste a terminé en queue de poisson permettant ainsi d’installer un gouvernement composé de technocrates, en majorité (...) Lire la suite »

Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République tunisienne « Qu’avez-vous fait pour la Tunisie depuis votre installation à Carthage ? »

Mustapha STAMBOULI

La Tunisie a besoin d’une dynamique politique exceptionnelle pour nous éviter le chaos. Vous disposez, en tant que président de la République, de tous les leviers de transformation et de modernisation de l’Etat tunisien.

Monsieur le Président, Je me permets de vous interpeller concernant l'état de la Tunisie après un peu plus que 100 jours de votre prise de pouvoir et votre installation dans le palais présidentiel. Tous les progressistes, en particulier les femmes, ont cru que vous étiez l'Homme de la situation pour aider les tunisiens et les tunisiennes à vaincre la fatalité, à sortir la Tunisie de son marasme socio-économique et surtout retrouver le rayonnement régional et international d’autrefois de notre pays. Nous avons pensé aussi que vous alliez restaurer l’autorité de l’Etat et surtout amorcer la transformation de la Tunisie par des réformes fondatrices d’une République juste. Vous n’avez rien fait de tout cela. Vous n’aviez même pas réduit les émoluments du président de la République que nous considérons comme une insulte au peuple tunisien. Comment accepteriez-vous d’être payé à 30.000 dinars alors que le smig n’est que 320 dinars. Qu’avez-vous fait de la loi 2005-88 du 27 septembre 2005 relative aux (...) Lire la suite »
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