RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

La maladie grave des rebelles syriens !

On l’observe et le dit depuis le début du conflit syrien.
Les principaux groupes rebelles syriens sont atteints d’une maladie grave : le racisme ethnique et confessionnel.

Leur discours suinte la haine envers tout ce qui est différent.

Durant la semaine qui vient de s’écouler, les groupes dit rebelles ont massacré des femmes et des enfants alaouites dans les villages surplombant Lattaquié, des chrétiens à Wadi Nassara dans le gouvernorat de Homs, des kurdes êzidis au village d’Assadiya sur la route de Hassaké, des chiites à Noubbol et Zahra et des Kurdes (pourtant sunnites) dans la plupart des zones contrôlées par les Unités de protection du peuple kurde (YPG).

Ici, la vidéo terrifiante de l’exécution de deux enfants chiites par les l’Etat islamique d’Irak et du Levant dans le Nord d’Alep : http://www.syriantube.net/6210.html

Au même moment, deux soldats loyalistes ont été capturés vifs dans un endroit inconnu et interrogés avant d’être exécutés.

Les bourreaux ont filmé l’interrogatoire :

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=4gYiSCGvJ7A

Dès le début, le premier bourreau demande compulsivement :

- De quelle confession es-tu ?

Le soldat capturé a à peine le temps de répondre “alaouite” qu’il reçoit un coup au visage, puis deux gifles.

- Quelle confession ? insiste le bourreau.

- “alaouite” répète le prisonnier.

La victime est à nouveau roué de coups. Il se redresse.

Le deuxième bourreau s’y met :

- Nous n’avons pas bien entendu. Répète !

La victime guère impressionnée dit encore : “- alaouite”.

Nouveaux coups au visage.

“Je jure par dieu que nous allons tous vous brûler avec la maison des Assad” peste le deuxième bourreau…

A la vue de ces images de tortures, on comprendra sans doute mieux pourquoi des millions de Syriens issus de toutes les communautés se sentent protégés par le gouvernement de Damas, pourquoi l’autre Syrie, celle que nos médias s’obstinent à boycotter, résiste avec tant d’ardeur aux assauts des milices takfiries et génocidaires soutenues par Washington et ses partenaires stratégiques (France, Angleterre, Turquie, royaumes du Golfe et Israël).

URL de cet article 21982
  

« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre impressionnant de plus de (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

"Aucune femme en burka (ou en hijab ou en burkini) ne m’a jamais fait le moindre mal. Mais j’ai été viré (sans explications) par un homme en costume. Un homme en costume m’a vendu abusivement des investissements et une assurance retraite, me faisant perdre des milliers d’euros. Un homme en costume nous a précipités dans une guerre désastreuse et illégale. Des hommes en costume dirigent les banques et ont fait sombrer l’économie mondiale. D’autres hommes en costume en ont profité pour augmenter la misère de millions de personnes par des politiques d’austérité.
Si on commence à dire aux gens comment ils doivent s’habiller, alors peut être qu’on devrait commencer par interdire les costumes."

Henry Stewart

Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
55 
La crise européenne et l’Empire du Capital : leçons à partir de l’expérience latinoaméricaine
Je vous transmets le bonjour très affectueux de plus de 15 millions d’Équatoriennes et d’Équatoriens et une accolade aussi chaleureuse que la lumière du soleil équinoxial dont les rayons nous inondent là où nous vivons, à la Moitié du monde. Nos liens avec la France sont historiques et étroits : depuis les grandes idées libertaires qui se sont propagées à travers le monde portant en elles des fruits décisifs, jusqu’aux accords signés aujourd’hui par le Gouvernement de la Révolution Citoyenne d’Équateur (...)
Hier, j’ai surpris France Télécom semant des graines de suicide.
Didier Lombard, ex-PDG de FT, a été mis en examen pour harcèlement moral dans l’enquête sur la vague de suicides dans son entreprise. C’est le moment de republier sur le sujet un article du Grand Soir datant de 2009 et toujours d’actualité. Les suicides à France Télécom ne sont pas une mode qui déferle, mais une éclosion de graines empoisonnées, semées depuis des décennies. Dans les années 80/90, j’étais ergonome dans une grande direction de France Télécom délocalisée de Paris à Blagnac, près de Toulouse. (...)
69 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.