ici aujourd’hui en France, il y a un génocide d’enfant.
Un génocide institutionnel invisible,
Il prend de plus en plus d’ampleur à cause de la précarité, le mal logement. ( dénoncé par ATD Quart monde, secours catholique, fondation abbé Pierre, Emmaüs).
200.000 enfants placés par aide sociale à l’enfance (ASE) sans que le parent n’y peut rien.
Puisque les travailleurs sociaux sont juges et parti pris.
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les travailleurs sociaux sont les décideurs du placement de l’enfant, les juges du bien fondé de ce placement,
Ils sont les juges pour qualifier le parent de négligent, voire maltraitant et les juges pour qualifier l’enfant d’instable justifiant son placement.
Jamais ils ne s’interrogent sur l’autre. Cette institution est altruicide (cf. jean Maisondieu)
L’enfant qu’ils ont coupé de tout liens chaleureux familiaux sera qualifié d’instable.
Cf. le petit Christopher qui a fugué d’un foyer. Il ne savait pas où habitait ses parents, ne voyait pas sa soeur jumelle, sa famille il ne la voyait que dans un lieu médiatisé avec des éducateurs pour vous surveiller.
juger instable, il devait être placer dans une institution pedopsychiatrique.
la solution des travailleurs sociaux, c’est de rajouter de l’inhumain.
Le parent qui osent manifester sa réprobation sera qualifié de malfaisant pour l’enfant car il est jugé par les travailleurs sociaux comme étant atteint d’un « délire de persécution » forme chronique. Il les dérange dans leurs toutes puissances sur l’enfant. Cet « abus de faiblesse » est adoubé par une expertise psychiatrique de 10 minutes sur un parent en grande souffrance parce qu’on lui a pris son enfant sur des allégations mensongères, sur de l’injustice sociétale.
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Pour eux, les travailleurs sociaux, tout va bien :
– d’un coté, vous avez les cadres de ASE, carriériste, narcissique,
– d’un autre côté, vous avez les travailleurs sociaux de base. souvent salariés précaires dans une association loi 1901 sous traitante de l’enfance. si ils se tournent vers les syndicats, c’est les emplois qu’ils défendent.
Pour l’un et l’autre, au plus il y a d’enfants à s’occuper, au plus ils seront rassurées,
L’un, sur leur promotion professionnelle ; l’autre sur la pérennité de leurs emploi.
Au 4° assisses de la protection de l’enfance de juin 2010, tout comme aux journée de l’ANAS début novembre 2010, à Marseille, il ne fut question que de bilan comptable, de gestion.
L’accroche étant : Comment retisser le lien parent/ enfant !
cela ne fut jamais abordé. Sinon en disant, par la voix de Mme Francoise Léglise, présidente de l’ANAS, que les travailleurs sociaux passaient tout leurs temps devant l’ordinateur, 6% dans une action collective. (cf. dans le journal organisateur lejas)
puisqu’un enfant placé rapporte 7500€ par mois 1 enfant.
de l’argent qui ne redescend jamais vers l’enfant. Cf le rapport de la cour des comptes du 1° Octobre 2009 par Feu Philippe Seguin.
lire la lettre de Mme Emmanuelle Jaffry
http://www.betapolitique.com/Les-derives-de-l-aide-sociale-a-l-55837.html
moi, j’ai une émission radio : Radio Galère à Marseille où je dénonce tout ce qui a dans cette lettre.
http://parents-disqualifies-enfants-places.over-blog.com/
Mon adresse : monfils.mabataille@gmail.com/
T° moi au 06.01.22.51.39 merci