> chb
Sur LGS, on peut appeler un chat un chat :)
J. Assange est tué à petit feu... Feu assez fort on pourrait dire.
Ce journaliste pourrait être assigné dans un appartement avec un bracelet électronique, sa famille, se amis pourraient le rencontrer...
Quel est le sens de le mettre dans un quartier de haute sécurité ?
Il y a une volonté derrière, celle de l’écraser.
"Rapporteur général de l’Assemblée parlementaire sur la protection des lanceurs d’alerte"... Avoir un titre pareil et ne rien savoir de ce qui se passe avec Assange ? ... Faut arrêter, c’est un scandale absolu.
Ce Pieter Omtzigt, comment le croire naïf ? Ou incompétent ?... Hypocrite et servile, il ne doit pas être là par hasard.
Le retour de Meng Wanzhou a été fêté dignement en Chine.
Le cas de cette dirigeante de Huawei arrêtée par le Canada au prétexte, pour elle aussi, d’une demande d’extradition bâtie sur du sable par les US a été liée au cas de J.Assange.
Pour elle, c’était de la coercition économique, et pour lui, la mise au pas des médias indépendants.
La différence, énorme, tient au fait que Meng Wanzhou a reçu le support du gouvernement chinois qui a refusé de se coucher.
Le Français Frederic Pierucci (The American Trap, un livre à découvrir, ou un film pour ceux qui sont pressés) vient d’être interviewé par CGTN.
Il aurait vraiment apprécié de recevoir le même soutien de la part du groupe Alstom et de son gouvernement français.
Les 2 ont préféré se prosterner devant la toute puissance US, y compris le ministre E. Macron, en charge du dossier Alstom à l’époque, et qui n’a rien trouvé à redire sur les méthodes US.
Il n’a rien trouvé à redire parce que c’est habituel.
La Chine justement remonte les réactions de citoyens japonais.
Eux aussi auraient apprécié de voir les dirigeants de leur pays résister au bras extra territorial des US qui a mis au pas le Japon dans les années 80, et ratiboisé le groupe Toshiba.
Frederic Pierucci a précisé que Meng Wanzhou n’avait pas plaidé coupable, et su profiter d’une procédure judiciaire qui n’avait jamais été appliquée à un individu, il espère vraiment que son cas servira d’exemple.
Au fait, oui, le premier ministre Scott Morrison, c’est bien de ne pas l’oublier...
Aurait-il évoqué le sort de son citoyen australien, journaliste, créateur d’un site d’information mondialement reconnu lorsqu’il a rencontré récemment J.Biden ?
Au moment de lui commander des sous-marins nucléaires, pas moyen de glisser un mot ?
Ce prétendu responsable, que je surprends souvent béat d’auto suffisance, n’est qu’une serpillère de la maison blanche.
Et la liste des serpillères est longue.
Australie, Canada, GB, on le sait depuis longtemps.
L’UE, pas mieux.