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SCOOP ! Le général De Gaulle avec LGS traduit en justice et diffamé.

I- Rappel sur le procès.
II- LGS ne communique plus pour l’instant sur les sommes recueillies.
III- Le discours du général De Gaulle, écrit post-mortem et par anticipation à l’annonce de la relaxe du GS par le tribunal d’Auxerre en l’an 2012

I- Le procès du 12 janvier 2012 contre LGS.

Suite à une plainte pour diffamation déposée par un proche de Nicolas Sarkozy pour un article publié en mai 2008, le représentant légal du Grand Soir est traduit en Justice.

L’argent étant le nerf de la guerre - et l’oxygène de survie - nous avons lancé un appel aux lecteurs. Il s’agissait, dans un premier temps, de couvrir les frais d’avocat (1500 euros d’acompte versés) en attendant la suite.

Le 12 janvier 2012, LGS se rendra pour la troisième (et dernière ?) fois au Palais de Justice d’Auxerre. Son avocat sera là , grâce à vous et à vos dons individuels, qui vont de 2,5 à … 999 euros.

LGS, site bénévole et gratuit, n’a aucune recette. Son bilan comptable comporte une seule colonne, celle des dépenses qu’il assume, discrètement depuis des années. Patatras ! Par la volonté d’un fâcheux, l’édifice chancèle, le plancher prend feu.

Les sommes recueillies nous permettent à ce jour de payer l’avocat jusqu’au procès, les frais de déplacement, le cheeseburger au Mc... heu, le sandwich au jambon (avec beurre, et allons-y !) et d’éventuels frais de justice minimes. Si on est condamnés, ou si on est acquittés mais que le plaignant fait appel, le monde des Internautes apprendra à quoi tient la vie d’un média alternatif.

II- LGS ne communique plus sur «  le nerf de la guerre ».

Il arrive que le plaignant fixe le montant des dommages exigés en estimant la somme qui correspond à la solvabilité de son adversaire. Si on dit qu’il nous restera des sous pour une bière et un café, hop, il peut essayer de nous en déposséder aussi et exiger plus. Donc, discrétion, d’autant plus qu’on ne veut pas renseigner les ornellaguyettistes qui veulent nous interdire jusqu’à l’entrée des cantoches.

Alors, pour l’instant, on ne communique plus, mais on vous dira tout en temps utile. Ce que vous devez savoir (et que vous savez, non ?), c’est que pas un centime n’ira dans la po-poche des administrateurs négationn... heu, confusionn... heu, fach... heu, bénévoles. Le mot nous échappait, alors que ça fait des années qu’on pratique la religion du Bénévolat et qu’on ne veut pas en changer.

Continuez donc à répondre à notre appel à souscription. LGS passera peut-être l’année 2012 et il vous le devra.

III- Le discours du général De Gaulle en faveur du GS.

«  Pourquoi voulez-vous que nous dissimulions l’émotion qui nous étreint tous, administrateurs, auteurs, commentateurs, lecteurs du Grand Soir, hommes et femmes, qui sommes ici, chez nous, au LGS debout pour se libérer et qui a su le faire de ses mains. Non ! nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée. Il y a là des minutes qui dépassent chacune de nos pauvres vies.

LGS outragé ! LGS brisé ! LGS martyrisé ! mais LGS sauvé ! sauvé par lui-même, sauvé par ses amis, avec l’appui et le concours de son lectorat, de son lectorat qui se bat, du vrai lectorat, de son lectorat éternel. Eh bien ! puisque l’ennemi qui porta le combat à Auxerre a capitulé dans ses mains, LGS rentre à Paris, chez lui.

Il y rentre sanglant, mais bien résolu. Il y rentre, éclairé par l’immense leçon, mais plus certain que jamais, de ses devoirs et de ses droits. Je dis d’abord de ses devoirs, et je les résumerai tous, en disant que, pour le moment, il s’agit de devoirs d’information. L’ennemi chancelle mais il n’est pas encore battu. Il reste partout présent, caché dans le paysage médiatico-judiciaire, se gobergeant au Fouquet’s, ou tapi dans l’antre fétide de la Calomnie. Il ne suffira même pas que LGS l’ait, avec le concours de ses chers et admirables lecteurs, éloigné de lui pour que nous nous tenions pour satisfaits après ce qui s’est passé. LGS veut entrer dans ses locaux comme il se doit, en vainqueur.

C’est pour cela que ses braves et chers administrateurs vont s’armer d’armes modernes. C’est pour cette revanche, cette vengeance et cette justice, qu’ils continueront de se battre jusqu’au dernier jour, jusqu’au jour de la victoire totale et complète sur les fâcheux ici, sur les diffamateurs là , sur ceux qui, en appelant au glaive de la Justice ou au manche de pioche, ont voulu les écraser et faire taire leur voix, ferme, mais avant tout humaine.

Ce devoir de guerre pour la vérité, tous les hommes qui sont ici et tous ceux qui nous entendent en France savent qu’il exigera encore des efforts, encore des épreuves.

Nous autres, qui aurons vécu les plus grandes heures de l’Histoire du Grand Soir nous n’avons pas à vouloir autre chose que de nous montrer, jusqu’à la fin, dignes de ses lecteurs.

Vive LGS !

Vive le tribunal d’Auxerre !

Pcc. Général Charles De Gaulle.

Le vrai discours intégral : http://www.gaullisme.fr/39liberation_paris_discour.htm#début


Initiée le 2 avril 2011 par le site Article XI sous des plumes anonymes assistées de commentateurs anonymes et soutenues par un webmaster anonyme, une campagne visant à dénigrer des administrateurs connus du Grand Soir, site décrit comme un site confusionniste-négationniste, fasciste, antisémite, se déroule ainsi que nous l’avions prévu aussitôt dans notre réponse : « Autant se familiariser avec leurs méthodes, car il semblerait que la saison ne fait que commencer ». (http://www.legrandsoir.info/analyse-de-la-culture-du-mensonge-et-de-la...)

Bien entendu, et sans l’ombre d’un doute, qu’ils en soient conscients ou qu’ils aient été instrumentalisés, les jeunes gens qui ont lancé l’hallali servent les tenants d’une opération politique qui tend à décrire comme antisémites les journalistes, intellectuels, sites, qui désapprouvent la politique extérieure d’Israël.

Ce n’est que cela.

Depuis, des calomniateurs, tous toujours anonymes, se relaient sur différents sites pour une offensive où les mensonges et les menaces physiques à l’encontre de deux administrateurs du GS s’amplifient.

Hier des « coups de manche de pioche » les accueilleraient dans les manifestations, plus récemment ils devaient être boutés « hors de nos villes ». Ils font depuis peu l’objet d’une « Alerte aux antifascistes » qui sont invités, sous le mot d’ordre : « Pas de quartier pour les fachos » (lien retiré), à intervenir à l’occasion de la présence annoncée du GS au salon du livre indépendant de Grigny (Rhône).

Disposant de temps et de moyens, nos calomniateurs ont procédé à une analyse obstinée, flicarde et laborieuse des 1000 auteurs et 10 000 articles publiés.

Par choix, négligence, ignorance (pas de science infuse), manque de moyen, mais aussi de goût pour passer au crible le CV d’un auteur d’un bon texte, nous avons publié parmi eux une poignée d’auteurs éloignés de notre sensibilité politique (et contre lesquels les prétendus antifas ne lancent d’ailleurs aucune fatwa musclée).

On peut ajouter dans notre corbeille d’autres auteurs que nos adversaires masqués classent parmi des « individus douteux » et qui sont de grandes consciences (Collon, Bricmont, etc.).

Mais nous n’avons JAMAIS PUBLIE UN SEUL TEXTE à caractère négationniste, antisémite, fasciste.

Alors que notre credo est pourtant de « donner à lire », une claire limite est ainsi fixée.

Cela nous distingue de l’ensemble des grands médias qui reçoivent, interviewent les leaders de tous les partis, FN compris (dont les leaders ne font pas l’objet de menaces physiques répétées de la part de faux « antifas »).

Le 16 avril, dans la réponse à l’article qui a ouvert le feu dans notre dos, nous écrivions :

« Le Grand Soir ne se laissera pas dicter ses choix éditoriaux ni ne se laissera intimider.

Les Grand Soir n’est pas dupe des faux-nez « anars », « antifas », « révolutionnaires » et multiples pseudos portés par les trolls sionistes ou autres.

Le Grand Soir publiera ce que bon lui semble quand bon lui semble sans avoir à passer son temps (bénévole) à vérifier (au nom de quoi exactement ?) le pedigree et les antécédents de chaque auteur.

Le Grand Soir se réserve (mais ne revendique pas) le droit à l’erreur, le droit à la provocation, le droit à la « stimulation intellectuelle » d’où surgira peut-être un jour la lumière.

Le Grand Soir se réserve par conséquence et par principe le droit de publier à nouveau tous les noms « sulfureux » figurant sur cette liste d’inquisition, et peut-être d’autres.

Et comme par le passé, aucun article à caractère antisémite, négationniste, etc., ne trouvera sa place dans nos colonnes.

A bon entendeur… »

Nos demandes au site initiateur de cette campagne de se démarquer (comme l’a fait ACRIMED) de l’article qui nous dénigrait et nous menaçait étant restées sans réponse, leur bobard vit, grossit et enlaidit. Leur bébé leur échappe.

Que faire ? Nous aurons l’occasion d’y réfléchir avec vous.

LGS.


Le Grand Soir au tribunal le 12 janvier.

Afin de ne pas freiner vos élans de solidarité, nous ne passerons pas par des organismes tiers (genre Paypal) mais nous indiquons directement ici un compte bancaire.

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Titulaire : VIKTOR DEDAJ

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