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Sécurité, Liberté, Ordre

Le débat sur l’insécurité qui se prolonge ici par le débat sur l’opportunité d’interdire la prostitution, là -bas par la meilleurs façon d’engager des guerres, doit être associé à d’autres faits politiques ou culturels qui peuvent paraître éloignés les uns les autres. L’Histoire nous fournit des clés pour une vision plus globale des événements...

La campagne électorale française fut entièrement centrée sur la question très mythique de l’insécurité. Aux USA, depuis l’attentat du 11 septembre 2001, les caciques propagandistes d’une croisade contre les valeurs de la liberté ont pris le dessus. Au nom de nos idéaux les plus essentiels, nous autres peuples occidentaux allons devenir complices d’une extermination progressive de toute différence.

Il nous faut cependant tenter d’y voir clair et de nous donner l’occasion d’étendre la réflexion au-delà des frontières étroites de la province France en nous engageant sur un terrain plus global, celui des grands thèmes moraux de la civilisation dite occidentale. En fait il ne s’agit plus là de l’Occident seul mais aussi du Japon, de la Corée, des centres urbains, d’Amérique Latine, etc. Il s’agirait plutôt donc d’une culture qui accompagne l’installation de l’économie libérale.

La campagne de l’élection présidentielle française et l’installation d’un nouveau gouvernement nous servent d’exemple significatif sur la manière dont une rumeur se propage sur un terrain à forte tonalité émotionnelle.

Exemplaire car elle nous montre combien les courants politiques, mais aussi intellectuels, se font piéger à ce jeu de l’émotionnel, dévoilant leur absence de distance et, par voie de conséquence, leur incapacité à se référer à un projet global. Lequel, pourrait, pourquoi pas, englober les faits de violences, les artefacts d’insécurité dans une réflexion plus vaste.

C’est ce que Lionel Jospin semble avoir voulu faire. Il lui manquait cependant les clefs d’un projet susceptible de servir d’appui à une vision plus large de l’avenir… Et pour cause, l’intelligentsia n’est pas prête à admettre d’autres idées que celles de sa tribu. C’est aussi pourquoi, il fut jugé si terne ! Il ne fit pas rêver. Il n’y aura pour lui que des regrets ! On reste dans l’émotion.
Pour une fois l’exemple français n’est pas exceptionnel, nous voyons chez nous naître un mouvement qui s’étend de plus en plus aux pays d’économie libérale.

La violence et l’insécurité

Il a beaucoup été question « d’insécurité » et d’une atteinte portée aux libertés. Jacques Chirac est même allé jusqu’à invoquer le besoin de restaurer « l’autorité de l’État ». Voilà qui est très fort car j’ai déjà entendu ces discours moult fois mais c’était durant des coups d’État en Amérique du Sud ou En Afrique… Personne n’a relevé ! Serions-nous en danger ? Quelle grande menace pèse sur nos vies ? Qui soit si imposante qu’il faille mobiliser toutes les forces d’un peuple pour lutter contre elle.

On peut s’efforcer de ne pas penser que le Président français crie aux loups pour détourner l’attention sur ses propres méfaits. Et quand son lieutenant Nicolas Sarkozy - chantre du frappé efficace - affirme solennellement « qu’il ne faut plus d’impunité », on dresse l’oreille. De qui parle-t-il ?

« Restaurer » ! Tel est le mot qui retiendra notre attention car il résonne étrangement en écho avec ceux d’une attente eschatologique : la restauration d’un ordre nouveau et d’une délivrance du joug de la tyrannie - ici celle de l’insécurité.

Insécurité ! Voilà un autre mot étrange qui trouve aussi une lointaine parenté dans l’histoire des peurs en Occident. Il ne fut question ni de délinquance ni de violence mais d’insécurité. Comme si la Sécurité devenait un des principes fondamentaux de la République et, par extension de la Démocratie. Une révolution morale serait-elle en voie d’accomplissement, qui érigerait la Sécurité au même rang que Liberté - Égalité - Fraternité ? Ou bien ne s’agirait-il que de substituer La Sécurité aux autres. Cela semble induit par les propos mêmes de Jacques Chirac qui, durant sa campagne d’entre deux tours, réduisit la notion de Liberté en la liant au « rétablissement de l’autorité de l’État ».

Tout semble annoncer qu’un ennemi guette à l’intérieur… La structure même du nouveau gouvernement le laisse à penser. Le Ministère de l’Intérieur devient celui de la sécurité intérieure et des libertés locales, se substituant même - dans ses décisions récentes - au Ministère de la Justice. Cependant que la conduite des armées est déléguée à Michèle Alliot-Marie, dont on sait que le président lui légua la conduite des affaires du parti du président pendant que ce dernier occupait la fonction suprême. C’est dire la place symbolique qui lui est laissée là . Voilà qui est logique car les armées européennes agissent sous l’égide d’un gendarme mondial, dont la pax america doit régner sur la planète entière comme un flambeau universel éclairant le monde.

Le mot même d’insécurité englobe plusieurs notions importantes.

 Tout d’abord il concerne bien sûr la violence au quotidien, les actes d’incivilité, la délinquance primaire et la délinquance organisée - lesquelles sont présentées comme naturellement liées.

 L’insécurité évoque également cet état intérieur que connaissent beaucoup de citoyens français et européens devant la mondialisation, le chômage, les délocalisations, le manque de repères dans un monde mouvant et incertain auquel rien ne les a préparé - ce qui signe d’emblée la faillite du système éducatif et de l’information...

 Ce mot touche également les représentations que l’on se fait de l’avenir : les retraites, la place de chacun au sein d’une Nation ou, plus prosaïquement, de « ma cité ».

Il réfère également à une autre forme de quête beaucoup plus intime, celle du corps et donc des atteintes dues à la maladie - c’est un point que d’aucuns oublient… Une angoisse est toujours diffuse et c’est pour cela qu’elle a besoin d’être nommée.

Voilà donc un mot, simple, direct qui parle à plusieurs niveaux de nos vies quotidiennes. Mais il ne prend de sens qu’à travers des systèmes de représentation, des images et donc de l’émotionnel.
Il n’existe derrière une expression aussi redoutable aucune notion rationnelle, qui soit « instruite » au sens où des arguments seraient posés pour étayer les discours, justifier des mesures concrètes qui seraient alors inscrites au sein d’un projet de société. Au lieu de cela l’émotivité est érigée en principe de gouvernement et ce sans qu’aucune justification soit donnée autre que ces arguments qui signent un retour à des réflexes d’ordre archaïque :

« Nous avons peur et cette peur vient de la turbulence des ces jeunes - dont beaucoup sont des enfants d’immigrés - qui ne respectent plus aucune règle, aucune morale. Certes, nous ne pouvons plus graisser nos guillotines, alors enfermons les et nous retrouverons enfin la paix ! »

Par ses vertus agglutinantes le mot regroupe des peurs fondamentales de nos sociétés, lesquelles découlent de tout autre chose que de la violence incivile de quelques turbulents et les solutions que l’on prétend y apporter doivent être simples, efficaces et immédiatement réalisables.

Une société de l’émotion et du spectacle

Pour spectaculaires qu’elles soient, ces mesures n’auront aucune efficacité, autre qu’exorcisante. A l’émotivité comme règle de gouvernement, s’adjoint un complément indispensable : un remède divin, de vertu religieuse, l’exorcisme. La Démocratie, en France, est menacée par un mal bien plus pervers que n’aurait pu l’être J.-M. Le Pen : une théocratie. Et c’est pourquoi il n’est plus question d’Égalité ni de Fraternité - même face à Le Pen ce principe ne fut jamais évoqué. S’il s’agit d’éradiquer la peur, ce trouble né d’un sentiment diffus d’insécurité qui laisse penser que la cohérence fondamentale de notre vie est menacée, face aux sombres nuages du Chaos qui menace, il n’est pas d’autre réponse que d’éradiquer toute forme d’hérésie. Simplement, comme ça, car la foi dicte nos conduites !

L’Histoire ne dément pas ces propos, bien au contraire. Nos cultures ont traversé des zones au cours desquelles aux gouvernements rationnels se sont substituées des formes théocratiques de « gouvernance » - terme issu du management d’entreprise.
Ainsi durant les périodes troubles de la fin de l’Empire romain d’Occident, « l’univers fut aux mains de puissances maléfiques et tyranniques ». Sous cette dictature le peuple était humilié, sans ressource. Et c’est grâce à l’avènement d’une sorte de communisme où tout appartiendrait à tous que la sécurité était sensée revenir par l’anéantissement du monstre.

(Les idéologies d’extrême gauche sont aussi dangereuses que celles de l’extrême droite… mais plus présentables car facilement assimilables par les idéologues.)

Pour d’autres, prophètes en leur pays, le mal pouvait être définitivement vaincu par un retour sans faille à la foi primitive.
L’examen attentif de ces tranches d’histoire nous montre que le messianisme des pauvres désorientés émerge là où il y existe une surpopulation subissant un processus de rapide changement économique et social avec un fossé s’agrandissant entre riches et pauvres.
La droite extrême a de longtemps récupéré à son compte des slogans fondés sur le renouvellement de la vie - « Ordre nouveau » - sur la victoire de l’ordre face au Chaos, sur la réhabilitation des valeurs fondamentales de la Nature - c’est pourquoi le retour au naturel est, en soi, porteur d’un sens équivoque. Il ne peut s’ériger en projet politique que sur la base d’une solide réflexion.

La gauche extrême, dite à tort progressiste, a toujours usé de l’artifice d’une croyance en la venue d’un communisme fondamental qui abolirait toutes les inégalités. Et cette utopie ne peut advenir que par la prise du pouvoir par les « travailleurs ».

Ces deux formes de croyance, trop sommairement présentées par groupes repliés sur eux-mêmes, incapables d’adopter des stratégies pertinentes, s’incarnent subtilement en un communicateur de talent et rusé qui reprend à son compte un terme propre au discours d’entreprise : « la gouvernance », nouvelle bien sûr, comme substitut au « management ». Silvio Bersluconi, à sa manière un peu brutale de vouloir gérer l’Italie comme une entreprise, a manqué d’un communicateur de talent. Jacques Chirac l’a trouvé. Les mots sont élégamment maquillés, arrondis, sans aspérité, capables de flatter l’identification d’un public lettré, mais les contenus sont les mêmes. A la place d’un gouvernement coercitif - de type franquiste ou communiste, nous aurons une gouvernance par la ruse, par l’effacement de la mémoire et par le détournement - c’est ce qui se passe aussi aux USA. Mais plus encore, là où certains mots peuvent choquer, nos communicateurs savent développer des arguments qui s’inscrivent dans cette stratégie de déplacement des valeurs rationnelles vers le sectarisme le plus redoutable, celui d’une idéologie qui ne s’avoue pas.

Plus loin que l’insécurité

N’oublions pas que le thème de l’insécurité est indissociable d’un autre très commun dans l’histoire, celui de l’ordre - souvent nouveau. Bush, depuis déjà plus d’un an, s’est emparé de ce thème sans cacher ses intentions profondes : prendre le pouvoir afin d’élargir le champ d’extension des économies libérales, nord américaines bien sûr. Nous voilà à devoir envisager une trilogie : Ordre-Sécurité-Pouvoir. Voilà pour une longue méditation.

Nous voyons qu’en France déjà le combat contre le chaos est engagé et contre les soldats du désordre, les prostituées, les « coureurs de rue », les étrangers… Aux USA, c’est déjà fait, en moins subtil.
Relisons l’Histoire, relisons les mythes et légendes et nous avons quelque chance d’apprendre ce qui nous attend.

Si au XIIe siècle, le Comte Baudouin - un célèbre faux prophète - avait eu un publiciste comme propagandiste, il n’eût pas été pendu !
La France, disions-nous est porteuse d’exemples, ceux des idéaux de la Révolution et de la Convention des droits de l’Homme. Dans cette période qui s’ouvre, gageons que les dirigeants français seront observés avec attention par leurs partenaires européens. Et si cet artifice aveugle qui consiste à boucler les jeunes délinquants pour recouvrer l’Ordre public diffuse ses nuages d’illusions, alors les valeurs de la Démocratie seront menacées et pour longtemps. Nous nous engagerons alors dans un tunnel de passions et de déchaînements séditieux qui seront les réponses des uns - jeunes, exclus du champs social, mais aussi tous ceux qui sont porteurs de création - à l’arrogance des autres.

Illel Kieser Ibn ’l Baz

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COMMENTAIRES  

09/10/2002 09:10 par Anonyme

il faut tout de même penser à aller voir qui sont les rédacteurs des articles. Mr Ibn BAZ est une personne digne d’interêt. il a d’ailleurs un site au contenu trés riche.->
http://faculte-anthropologie.fr/contributions/contrib.htm]

ils sont plusieurs collaborateurs de niveau (DEA relations indopakistanaise, doctorat d’État en Sciences Physiques et enphiloastrologie ... écrivains, astrolgues, critiques de films, visionnaires de génie)

peut être faudrait-il lire le texte à la lumière du talent de ces personnalités....

l’une d’entre elle est sans aucun doute interessante : je cite :

Jacques Halbronn

Né le 01 12 1947, à Paris
Ses origines juives ont marqué son itinéraire et sa production. En 1978, il a fondé le Centre d’Étude et de Recherche sur l’Identité Juive (CERIJ). En 1979, il soutient une thèse de 3e cycle sur "le monde juif et l’astrologie". Parallèlement, il développe un autre pôle d’activités, consacré justement à l’astrologie. En 1975, il fonde le Mouvement Astrologique Universitaire et organise dans ce cadre pendant un quart de siècle un grand nombre de colloques tant en France qu’à l’étranger. Il aura ainsi conféré à la vie astrologique en France un impact international pendant une dizaine d’années (1974-1984) qu’elle n’avait pas connu précédemment et qu’elle ne connaîtra probablement plus à l’avenir.

Une autre n’est pas moins interessante, même si elle est danseuse.

Hélène Massé

Hélène Massé est chorégraphe. Sa créativité la place parmi les danseuses les plus originales de sa génération, pas forcément parmi les plus célèbres (c’est moi qui souligne). Elle mène actuellement une recherche sur La danse et l’espace de l’image. Ses écrits seront bientôt sur le site. Et dire qu’il est de notoriété que les danseurs ne savent pas penser...
"Je suis une adepte de la danse.
Cela depuis toute petite. Peut-être que l’origine en est dans mes passages sous le grillage du jardin à Douala... pour aller rejoindre la rue, derrière, avec ses jeux et ses danses d’enfants. Je me glissais sur le dos, et garde en mémoire les fleurs jaunes tout au-dessus dans le ciel, gardiennes et complices de mes escapades dans cet autre lieu vers lequel j’étais littéralement aspirée.
J’avais à peine trois ans. Premières danses, premières rencontres avec l’expression africaine aussi..."

La suivante a criculum interessant

Pauline Hirschauer-Choudhury

Pauline Hirschauer-Choudhury
Depuis qu’elle est née à Vannes en Bretagne, le 17 novembre 1977, elle a toujours eu un pied hors du berceau et a vagabondé au Canada, au Liban ou en Europe. Elle s’est finalement retrouvée en Inde à faire une maîtrise d’Histoire en 1998-1999.
C’est à l’Université de Delhi qu’elle a rencontré son mari indien avec qui elle a commencé à faire du journalisme, en 1999-2000, ils ont travaillé avec le Guide du Routard, le Guide du Job trotter, produisant articles ou reportages ici et là . En même temps elle fait un D.E.A. sur les relations indo-pakistanaises.

Il ne faut donc pas manquer la biographie de El Baz :

Illel Kieser ’l Baz
Né le 28 02 1947, près de Sétif
Il ’l Baz est anthropologue, journaliste. Issu d’une famille de longue tradition (????) algérienne, il se consacre depuis son plus jeune âge à la transcription et au récit de l’envers de nos sociétés. Sa vision particulière du monde, son sens de la métaphore en font un penseur original. Ses hypothèses et sa puissance visionnaire donnent à sa pensée une force et une vigueur étonnante.
Depuis plus de trente ans, il se consacre à  l’étude et à l’exploration des états de conscience modifiée. Il a créé plusieurs groupes expérimentaux autour de la transe mais aussi pour l’exploration des images intérieures.
En Amérique du Sud, en Afrique et en Asie mineure, il a appris les techniques de guérison auprès des guérisseurs locaux.
De ces rencontres et en collaboration avec Francisco Aliaga, anthropologue péruvien, il a mis au point différentes techniques d’approche de la psyché.

Je n’ai ai a priori rien contre les anthropologues, c’est une science à laquelle je m’interesse beaucoup, mais je ne suis pas d’accord quand il dit que "L’Anthropologue est autant médiateur, collecteur d’informations que pédagogue".. pour diverses raisons historiques...et les recherches sur les états de conscience modifiée, les groupes expérimentaux autour de la transe et l’exploration des images intérieures sont des thèmes qui interpellent beaucoup plus mon scepticisme qu’ils ne forcent mon interêt. Quant aux guerisseurs locaux ils ont tendance à me lasser tant ils évoquent pour moi l’image de ces africains ou pakistanais. Ils passent leurs journées dans les courants d’air glaciaux à distribuer à ceux qui les jettent les cartes de vistes de Cheikh Hamidou des Batignoles ou de la pricesse Moldave à moitié gitane d’origine chtimi, Alexandrina Leila Bonita de mataperros y rue de la ramée.

Pour être précis, Mr Illel Kieser Ibn ’l Baz (diable ! pourquoi signer dans le texte quand on apparaît déjà deux fois, en haut comme rédacteur et en bas avec son adresse et le lien vers son site ?) a composé une "Une Anthropologie de l’Astrologie ", et une "Mythanalyse de l’affaire Teissier (De l’anecdote au mythe)".

Tessier c’est évidemment la madame soleil de feu Dieu, laquelle à justement soutenu une thèse sur l’épistémologie de l’astrologie à la Sorbonne. Thèse un peu controversée mais parrainée par de grands pontes de la sorbonnosocogiologie (certains d’entre eux sont abonnés aux émissions télé). il a aussi participé à un colloque du C.U.R.A. qui est un Centre Universitaire de Recherche en Astrologie. Il a écrit une critique radicale (peut être légitime) de la psychanlyse où l’on peut lire ces mots

"Je pense chrétien, ne craignant pas de m’appuyer sur la langue imagées des arabes, sachant que, fondamentalement, je suis juif, tout en m’essayant à écrire dans la langue de Rousseau. "

Il y a que parfois les gens qui pensent chrétiens et qui sont fondamentalement juifs s’appuient sur a langue imagée des musulmans pas des arabes,voyons, c’est une ethnie pas une religion avant d’écrire dans celle de Bossuet ou de Bourdaloue (et non de Rousseau). j’ai donc tendance, à titre de principe général (quoique non contraignant), à m’en méfier. d’autant plus que la pensée de l’auteur me semble resumée dans ces phrases, sur le fond comme dans la forme ;

"Si l’Homme Planétaire doit conquérir sa Liberté à dire « Non ! », il doit le faire en tout et jusqu’au bout. Jamais la nécessité d’une morale planant au dessus des plaines désolées de la guerre et du sang n’a été aussi présente. Et l’Homo Europeanus doit avoir la capacité et le courage de dire Non aux conventions, au rites aliénants, aux morales et à ces règles de savoir-vivre qui n’eurent d’autre effet que d’apprendre à mieux tuer en étouffant les cris de douleurs des mères perdant leur enfant. L’on dira : « Mais si l’on libère ainsi l’Homme de toutes les conventions d’antan qui forgèrent la civilisation, la barbarie envahira le monde... Regardez le Nazisme, les guerres en Afrique ! » Pour ces raisons, évidence de la bonne conscience européenne, l’on maintint l’esclavage en France jusqu’en 1848, aux États Unis jusqu’en 1865, au Maroc jusqu’aux environs de 1938. L’on tue en Bosnie, en Tchétchénie, comme on le fit avec les juifs durant la Shoa. » Jésus nous apparut il y a si longtemps !"

L’humanisme de Mr El Baz ne fait pas de doute. Le thème de la conquête de la liberté n’est cependant pas trés risqué tant il est consensuel, celui de la lutte contre les conventions imposées est maintenant un peu éculé, du fait des années 68 peut-être ), pour ce qui est de la dénonciation de l’esclavage, il n’y pas de risque à être contredits, certains égyptiens en parlaient déjà il y a 3000 ans. Quant aux progrom divers et variés qui se pratiquent un peu partout dans le monde aujourd’hui comme hier, il faudrait un coeur de pierre pour ne pas les dénoncer..

Il faut donc remercier le rédacteur de l’article d’avoir communiqué l’adresse de son site. Toute personne désirant comprendre l’article publié, doit impérativement visiter le site qui lui est lié.. C’est une règle absolue quand on tente de s’informer sur le net.

09/10/2002 15:55 par josuah

Et c’est aussi une question de sécurité, de liberté et d’ordre.

09/10/2002 20:59 par pierre

La rédaction rappel aux lecteurs que tout article à vocation de devenire un forum.

10/10/2002 13:45 par Illel

Bonjour et merci d’une si longue contribution. Il s’y trouve des aspects abordés auxquels je voudrais apporté des compléments d’information. En effet sur quelques points la précision s’avère nécessaire pour éviter des confusions.

Du plus rapide au plus passionnant :

+++ La signature. J’ai rempli un formulaire et j’ai rédigé l’article par l’interface du logiciel de ce site. Tu devrais donc savoir qu’à part la signature au bas de l’article cela ne dépend pas de moi. D’autre part, sur Internet j’inclus toujours ma signature dans l’article pour que les copier/coller l’intègrent.

+++ Tu dis : « Une autre n’est pas moins intéressante, même si elle est danseuse. » Cela veut dire quoi au juste, « même si elle danseuse » ? Il faudrait que tu précises ta pensée car on pourrait croire qu’être "intéressante" serait exceptionnel pour une danseuses ?

+++ Plus loin tu ouvres des parenthèses : à « Il ne faut donc pas manquer la biographie de El Baz : Illel Kieser ’l Baz Né le 28 02 1947, près de Sétif Il ’l Baz est anthropologue, journaliste. Issu d’une famille de longue tradition ( ? ? ? ?) algérienne »
Que veulent dire ces points d’interrogation ? Depuis quand va-t-on déballer son arbre généalogique dans une biographie ? Qui le fait ? Qui le demande ? Parce que l’on serait d’une famille métissée ou bâtarde il faudrait montrer patte blanche ? C’était au programme de je ne sais plus quel homme politique français ça ! Tu veux quand même savoir ? Parce que tu soupçonnes qu’avec ce nom que je porte je dois être un enfant de colon, un pied noir, n’est-ce pas ? Allons-y ! Du côté de ma mère Algérien ou tunisien depuis le XVIe siècle, du côté de mon père 4 générations. C’est suffisant ? J’en profite pour dire que malgré l’histoire officielle de l’Algérie, il y avait très peu de colons (environ 10 000 , presque tous partis avant 62) Beaucoup de fonctionnaires et de militaires (près de 1 Mo) et le reste constitué d’une population très mélangée de musulmans-majoritaires-, chrétiens et de juifs. Pour beaucoup de ces derniers l’appartenance à une « longue lignée » ne fait aucun doute. L’on s’est contenté d’une histoire très commode pour la conscience des français de métropole : il y aurait eu les algériens -tous musulmans bien sûr - d’un coté, les colons de l’autre. Faux ! Mille fois faux. L’Algérie n’a jamais été - sauf depuis Boumediene - un pays « islamique », plutôt multiconfessionnel que même les turcs avaient préservé malgré la normalisation de l’état civil : des noms musulmans pour les musulmans, des noms chrétiens pour les chrétiens, etc. L’histoire globale de l’Algérie, voire du Maghreb n’est pas encore écrite, nous ne connaissons de part et d’autre qu’une histoire « idéologique ». Nous sommes actuellement très nombreux de part et d’autre de la Méditerranée à vouloir porter une information plus exacte des faits et de l’évolution des populations.

++ Tu affirmes ne pas être d’accord avec cela : "L’Anthropologue est autant médiateur, collecteur d’informations que pédagogue".. pour diverses raisons historiques… »

Il y aurait beaucoup à dire, mais je ne suis pas un observateur distant, notant tout et allant siroter ma bière à l’hôtel le soir venu. C’est ce que font certains journalistes. Participer à la vie d’une communauté, c’est l’évidence même. Y compris s’il s’agit de construire un puits... aider une vache à vêler, etc. Et si l’on manque de matériaux, la meilleure solution pour résoudre quelques problèmes immédiats demeure le système D. Je pense notamment à ce chirurgien pédiatre allemand qui opère au Rwanda, à titre purement personnel. Tout une part de sa vie là -bas s’avère pédagogique. Réapprendre à d’autres les gestes essentielles de retour à la dignité humaine bafouée. Je sais cependant que je dois faire attention, car cette pédagogie n’est pas neutre. Mais entre apprendre à se servir d’un magnétoscope et participer à une opération d’ensemencement de terrasses désertées, il y a une nette différence. Il y a beaucoup d’autres choses à dire sur l’anthropologie mais il faudrait beaucoup de lignes, notamment sur la caractère ethnocentrique des écoles européennes et nord-américaines.

+++ Les guérisseurs, les états deconscience, l’astrologie, etc. … Oui ce sont des objets de la science. En faire des tabous, c’est basculer du côté des croyances dont beaucoup de pseudo scientifiques sont porteurs actuellement. De ce point de vue, nous sommes en pleine régression. Le retour du rationalisme pur et dur ne fait pas de doute. Mais la science c’est d’abord la connaissance - c’est aussi écrit dans Le Coran -. Et il est tout aussi important d’étudier cela que d’observer les drosophiles basculant de l’hétéro sexualité à l’homosexualité sous l’influence du froid. (Je ne plaisante pas)

Pour compléter la précision, quand je parle de ces phénomènes ou des systèmes mantiques, je n’évoque pas les flyers de El Hadj Mamba and Co. Ca a l’air d’être plutôt ton truc.

Tu dis aussi : « Il y a que parfois les gens qui pensent chrétiens et qui sont fondamentalement juifs s’appuient sur a langue imagée des musulmans pas des arabes,voyons, c’est une ethnie pas une religion avant d’écrire dans celle de Bossuet ou de Bourdaloue (et non de Rousseau). j’ai donc tendance, à titre de principe général (quoique non contraignant), "

Que tu te méfies est légitime mais il me semble que mêle des notions qui rendent ton intervention très suspecte. Il faudrait que tu apportes des éclaircissement à ta pensée. D’abord que vient faire cette digression à propos des arabes ? Autant que je sache, arabes et juifs appartiennent au même groupe linguistique. L’origine Chaldéenne ne fait aucun doute. Il en est tout autrement de la civilisation chrétienne qui demeura longtemps en retard. Et si l’on prend une distance par rapport aux clivages rapportés sans discernement par les médias, la culture demeure très proche. Puis, plus l’on s’éloigne du foyer originel plus le métissage se fait sentir. Le Maghreb notamment est très fortement influencée par l’animisme centre-africain. Quand à la forme de la pensée, l’expression spécifique que l’on retrouve dans l’art et la littérature, oui quand l’on est méditerranéen, l’on demeure très fortement influencé par un mode d’extériorisation sémite ; qu’il soit druze, copte, juif ou musulman. Le ciment n’est plus la langue mais des racine communes. Que l’on soit arabe ou musulman (car l’on peut être arabe et chrétien) n’a aucune importance. Mais attention à dire : « parfois les gens qui pensent chrétiens et qui sont fondamentalement juifs s’appuient sur a langue imagée des musulmans… », tu t’avances sur un terrain qui n’a plus rien de scientifique, qui relève plutôt de l’opinion et dans ce cas il ne peut pas y avoir de débat. En outre tes « vérités » s’appuient sur des informations erronées.

Maintenant venons-en au morceau de choix : ce mot que tu sembles vouloir répéter ; « consensuel », associé d’ailleurs à « pas de risque »
J’y reviendrai dans une autre partie car deux pages sont déjà produites dans Word et je ne veux pas trop lasser les visiteurs. Mais c’est la partie la plus centrée sur l’article car le reste était très annexe.
Salut, Il "˜l Baz

25/05/2008 16:44 par François Fleury

travaillant sur l’insécurité, j’ai trouvé le débat très représentatif de perte de sens, les insultes et l’espace des egos de chacun abordent la violence du sentiment de disparition reflété dans l’article. En effet les petites gens en pertes de repères s’accrochent à des idéologies dominantes et totalitaires sous le modèle du j’ai raison...., cet article assez frais et jeté sur la toile, reste intéressant et rejoint une idée que T. Nathan défend dans son dernier livre"a qui j’appartiens" sur la lutte des Divinités entre elles...
J’aurais aimé un autre débat sur le thème de l’insécurité alors si vous avez des liens merci de m’en informer

23/01/2006 19:16 par Resa

Juste dire que l’adresse du site donnée plus haut a changé.Voici la nouvelle URL :
http://www.hommes-et-faits.com

11/10/2002 00:05 par cicero

il est bien entendu inutile de personnaliser le débat, ce que j’ai un peu fait certes, mais uniquement par mesure didactique : préciser aux lecteur éventuel que l’article présenté a été écrit par une personne qui collabore à une "recherche" astrologico-philosophique.

ce n’est là nul mépris de ma part, mais un rappel strict du contexte.

je ne connais pas l’expression qui veut l’on soit de tradition algérienne, tunisienne, mongole ou autres. A mes yeux on est d’origine quelque chose sans plus. L’origine désigne le lieu géographique, l’ascendance ethnique mais pas à ma connaissance la "tradition" liée. Je ne rejette pas bien sur l’idée qu’il puisse y avoir des généalogies mystiques, un tel descend de tel sage qui est affilié à tel autre, lequel est le petit fils spirituel de tel autre, etc.

pour ce qui est de la personne qui n’est que danseuse, il ne s’agissait que d’un clin d’oeil à sa bio sur le site où l’on trouve ses mots qui ne sont pas de moi : "Et dire qu’il est de notoriété que les danseurs ne savent pas penser... "

loin de moi l’idée qu’il puisse s’agir d’un rejet de votre personne parce que je vous soupçonnerais d’être pied noir. Nous sommes tous les pieds noirs de quelqu’un et à ce jeu là on ne peut que perdre.

la raison historique qui veut qu’il est dangereux pour un anthropologue de mélanger les rôles a été théorisée par Robert Jaulin et quelques anthropologues africains : ils sont entre autres partis du constat que la plupart des tribus qui ont croisé le chemin des anthropologues se sont maintenant éteintes. D’autres n’ont survécu que parce qu’on avait besoin d’elles pour le folklore.

je n’ai rien contre les recherches types "états de conscience modifiés", si ce n’est que je me méfie comme de la peste des gourous.

je me permets de lacher ce mot parce que c’est indéniablement l’effet que m’a fait votre bio sur votre site.

" Sa vision (en l’occurence l’auteur de l’article ci dessus) particulière du monde, son sens de la métaphore en font un penseur original. Ses hypothèses et sa puissance visionnaire donnent à sa pensée une force et une vigueur étonnante"

Mr Illel Kieser ’l Baz :

Que pouvez vous ajouter encore concernant votre vision particulière du monde, votre sens de la métaphore qui fait de vous un penseur original et ces hypothèses et de cette puissance visionnaire qui donnent à votre pensée une force et une vigueur si étonnante ?"

Il y a trés peu de modestie dans de telles caractérisations. cette bio prétend impressionner qui ? êtes vous sûr qu’une personnalité visionnaire comme la votre ne se sentira pas à l’étroit entre les petites ailes d’un canard comme le grand soir ?

êtes vous sur d’avoir bien lu le quisommesnous produit par la rédaction de ce site ? avez vous relevé que cette idée de "drapeau rouge et noir dans lequel on enveloppe la faucille et le marteau" n’est peut être pas compatible avec l’astrologie, les religions de nos pères, le flux primal la thorah la Bible, le coran et les soucoupes volantes sous les cocotiers ?

La religion c’est l’opium du peuple cher monsieur.

Il n’y a pas moyen de le formuler autrement. et j’étends le sens du mot religion à tous les petits mouvement spiritualistes et sectaires que notre société new age secrète. le type d’idée dont vous vous faites l’apôtre en relève à mes yeux. ET LE PUISSANT VISIONNAIRE que vous êtes me pardonnera de ne pas souscrire à ce type d’environnement.

il ne me plait pas qu’on tente de noyer les enjeux critiques concrets (SMIC, SECU, RMI, Harcélement sur le lieu de travail, taux d’interêts, guerre totale contre l’ONU, calcul des indemnités journalières en cas de maladie, etc) dans des débats d’éthique et de morale planétaire.

pour ce qui est de conquérir de nouveaux adeptes, vous vous êtes peut être trompés de lieu.

Je ne comprends pas d’ailleurs comment les administrateurs de ce site ont pu laisser passer votre texte et le lien qui l’accompagne vers votre site. Peut être n’ont-ils rien vérifié ? il faudrait tout de même qu’ils s’expliquent.

11/10/2002 14:07 par Jeanne

Bonjour

Votre article me donne envie de réagir sur beaucoup de points. Je n’en choisirais qu’un (pour l’instant ?) :

Je ne suis pas sûre qu’on puisse dire que "les enjeux critiques concrets (SMIC, SECU, RMI, Harcélement sur le lieu de travail, taux d’interêts, guerre totale contre l’ONU, calcul des indemnités journalières en cas de maladie, etc)" soient indépendants "des débats d’éthique et de morale planétaire".
Professeur de gestion dans une école d’ingénieurs (donc mon statut de rationaliste "pure et dure" est sans ambiguité....), et chercheur en université, je voudrais attirer votre attention sur le débat actuel de la responsabilité sociale de l’entreprise. Il y a de plus en plus de préoccupations d’ordre éthique en gestion des entreprises (et heureusement.. ) et le recours à l’anthropologie est de plus en plus fréquent. Aussi les travaux d’Illel Kieser dans toutes les directions sont des apports précieux dans nos réflexions même si certains d’entre eux paraissent éloignés de l’entreprise comme l’astrologie, quoique... savez-vous que beaucoup d’entreprises ont recours à l’astrologie dans l’examen des candidatures ? .... même si sur le fond je suis opposée à cette pratique dans le recrutement, on ne peut ignorer qu’elle existe et affirmer qu’elle n’a aucune résonnance pour aucun des managers "rationnels". Il vaut mieux avoir quelques idées sur la question pour en combattre les aspects négatifs et manipulateurs. Et c’est l’intérêt des travaux d’I Kieser. Son approche de l’astrologie est d’ailleurs suffisament critique pour qu’il ne soit pas bien aimé par les astrologues eux-mêmes....
et si on affirme que "la religion c’est l’opium du peuple" et qu’il faut l’interdire, nous changeons de siècle et de régime politique....ignorer les aspects irrationnels de nos sociétés prépare le chemin à tous les totalitarismes...bien à vous
Jeanne

11/10/2002 17:08 par shlumbulu

je suis d’accord avec Jeanne.on ne peut pas interdire juste comme ça les religions. cicero exagere. comme d’habitude ; mais quand m^ il a une drole de bio kieser et ça jeanne n’en parle pas.

11/10/2002 19:33 par Anonyme

Oui STP c’est quoi une drôle de bio.
je suis là pour en parler. Inutile de demander à d’autres
illel Kieser

11/10/2002 20:13 par Anonyme

Ha parce qu’il est déjà connu ?

Cela me rassure ! Il va souvent à CUBA ? Sûrement pas pour danser la salsa .
IBK

11/10/2002 20:09 par Anonyme

Je n’ai jamais cherché d’adeptes cher monsieur et vous avez des présupposés que vous feriez bien de vérifier à la lumière de vos propres prétentions philosophiques...

Votre remarque est très drôle, vraiment, c’est la seule d’ailleurs !

Vous êtes en train de dire qu’il y a une catégorie d’individus, vous en l’occurence, seule capable d’aborder certains sujets. Voyez mon drapeau !
Dites-moi, il faut adhérer, payer une cotise ? J’ai l’habitude des "infiltrations" dans des brigades.

Vous êtes un peu ringuard... Et votre rappel aux fétiches anarchistes métissés de communisme fait vraiment archaïque.

Robert Jaulin, oui je connais très très bien !

Pourquoi ne dites-vous pas qu’il a écrit de nombreux articles sur la Géomancie ? Quelle différence faites-vous entre l’Astrologie et la Géomancie ? Apparemment celle que vous introduisez vous-même en parlant de l’Astrologie façon café du Commerce sans, à aucun moment, invoquer l’importance d’une démarche de connaissance. C’est ça la science Monsieur ! Une démarche sans tabous, rigoureuse, et, pourquoi pas sans état d’âme ni idéologie.

Pour situer où vous vous placez il suffit de lire : "je me place d’un point de vue didactique !" Avec du mépris de surcroit : "les cocotiers, etc."

Ha ! Est-il permis de vous demander de quel droit vous vous placez comme celui qui sait face à des "non-sachants" ?

"Il est aussi inutile de personnaliser", mais vous le faites ! Vous vous en donnez le droit, pour la bonne aause, bien entendu.

Hé bien, en effet, tant qu’il y aura des personnes comme vous, didactiques, puis le reste, il y aura aussi des gourous. C’est comme Laurel et Hardy, là où l’on voit l’un, l’autre arrive !

Par ailleurs, au lieu de me demander comment je me situe dans une perspective d’immersion en milieu, vous y allez de votre couplet...

Cela s’appelle une opinion et je vous renvoie donc à la charte éditoriale du site puisque vous en parlez. Oui, je l’ai lue et n’ai rien lu qui me prive de proposer un article.

Si j’écris "à l’envers des autres", c’est comme ça ! Si vous êtes pour le conformisme anarchiste, ne venez pas sur Internet.

Je connais le monde magrhébin, un peu la culture et l’histoire de l’Islam et n’ai jamais prétendu écrire sur les Quechuas ou sur les Maoris.
Bien à vous et à vos turbulences.
Au fait, dites-moi, on ne se serait pas croisés Place du Colonel Fabien ?
Berk !
IBK

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