La nouvelle devrait intéresser beaucoup de lecteurs du Grand Soir : le mensuel Ruptures (qui a pris la suite, au printemps 2015, de Bastille-République-Nations), a lancé le 8 mars son nouveau site Internet.
Pour la plus grande joie – enfin, on l’espère – des internautes et autres fans des réseaux (a)sociaux, www.ruptures-presse.fr propose désormais quotidiennement des actus, perles, et vidéos exclusives.
La ligne éditoriale – progrès social, souveraineté populaire, indépendance nationale, coopérations internationales – se trouve désormais plus que jamais au cœur des enjeux les plus brûlants. Ce site sera donc fidèle aux repères fondateurs de l’aventure de presse commencée il y a seize ans :
– une ligne progressiste, dans l’acception radicale que ce terme tend hélas à perdre aujourd’hui ;
– un engagement éditorial clair en faveur de la souveraineté, autrement dit de la liberté de chaque peuple – au sens politique du terme – de décider lui-même de son avenir, et ce, contre les dominations impériales et les visions mondialistes ;
– un champ rédactionnel largement consacré à l’Europe, sur la critique du principe même de l’intégration européenne ;
– une qualité rédactionnelle à laquelle il est attaché un grand soin, avec une priorité à l’information, en particulier celle qu’on ne trouve pas dans la presse alignée sur l’idéologie dominante.
En un mot, il s’agit de servir la pensée critique dans les domaines social, économique et géopolitique.
D’ores et déjà, on peut notamment savourer les articles Contre le peuple, les Lords font de la résistance ; Papeuropéen ; Poutine veut déstabiliser Macron, paraît-il ; et bien sûr le premier zapping (qui fait déjà le buzz), une anthologie des blogueurs contre l’intégration européenne...
Les rares personnes qui comprendront le système seront soit si intéressées par ses profits, soit si dépendantes de ses largesses qu’il n’y aura pas d’opposition à craindre de cette classe-là ! La grande masse des gens, mentalement incapables de comprendre l’immense avantage retiré du système par le capital, porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts.
Rothschild Brothers of London, citant John Sherman, communiqué aux associés, New York, le 25 juin 1863.