RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Violences policières. Peur bleue, Thierry Pelletier.








La France de Toutenbas, 6 avril 2007.


Maintenant que je blogue comme une bête, je me suis dit, faut que tu te tiennes au courant, garçon, alors j’ai rallumé ma télé hier soir pour regarder les informations.

J’ai pu, comme tout le monde, voir une douzaine de schmitts avoiner salement deux « jeunes » (des noirs !) qui les auraient outragés.

Ils ont dû leur balancer des gros, gros mots bien moches, les lascars, parce qu’ils avaient l’air vraiment vexés, les pandores, vraiment pas contents ! (...)

- Lire la suite et voir la vidéo<BR> http://recits.blogs.liberation.fr/thierry_pelletier




Strasbourg : Etrange république où nous vivons... par B.D.

Quand Sarkozy pique une colère contre la direction de France 3.

Sans casque, ni bouclier : témoignage d’un ex-officier de police, par Regarde à vue.







URL de cet article 4912
   
SALARIÉS, SI VOUS SAVIEZ... DIX IDÉES RECUES SUR LE TRAVAIL EN FRANCE
Gérard FILOCHE
« Le droit du licenciement doit être assoupli », « les 35 heures n’ont pas profité aux salariés », « les charges sociales sont trop lourdes », « les fonctionnaires sont des privilégiés », « à terme, on ne pourra plus financer les retraites », etc. Telles sont quelques-unes des idées reçues qui dominent le débat public sur le travail en France. En dix réponses critiques, chiffres à l’appui, Gérard Filoche bat ici en brèche ces préjugés distillés par la vulgate néolibérale pour tenter de (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.