Auteur Robert GIL

De Gaulle, Pompidou, Giscard... Oui, déjà le...

Robert GIL
De Gaulle, Pompidou, Giscard... Oui, déjà le grand patronat et la grande bourgeoisie se battaient contre la sécu, les retraites, les acquis sociaux issues du CNR. Il faut reconnaitre que ces gens là n’ont jamais baissé les bras et ont continuellement œuvré pour détruire toute avancée sociale afin de pouvoir faire fructifier leur capital sans entrave. L’illusion Mitterrand a duré presque18 mois, avant qu’il ne montre son vrai visage, puis vient Chirac et ensuite tout s’accélère avec Sarkozy, (…)
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LFI et Mélenchon sont de trop !

Robert GIL
Suite à la dissolution orchestrée par Macron, le RN fait un score historique avec 125 députés à l’assemblée nationale. Bien sûr, il est facile de dire que « Jupiter » a construit un boulevard à Marine Le Pen, avec la loi immigration, ses politiques anti-sociales et sa volonté de monter les gens les uns contre les autres. Pour autant, la gauche aussi a sa part de responsabilité. Les « petites gens » ont le sentiment d’être abandonnés, et ont l’impression que la gauche s’intéresse plus aux (…)

1942 : débarquement en Afrique du Nord

Robert GIL
On nous parle très peu du rôle de la Finlande, allié de l’Allemagne, dans la bataille de Leningrad. En fait, la portion finlandaise de l’anneau de siège était beaucoup plus longue que la portion allemande. Les dirigeants finlandais demandaient officiellement la destruction de Leningrad et l’établissement de la frontière finno-allemande sur l’espace vide le long de la Neva. Toute la population russe des territoires de l’isthme de Carélie et de la Carélie elle-même, occupés par les Finlandais, (…)

Gagnant-gagnant, vraiment ?

Robert GIL
D’après un texte de l’économiste Jean-Pierre Crépin sur le site du PRCF Le Rassemblement National, s’il parvient au pouvoir, promet aux salariés une augmentation de leurs salaires individuels nets. Voilà une promesse alléchante. Avec l’augmentation du coût de la vie, l’augmentation des salaires est en effet une réponse attendue. Le plus grand nombre subit les découverts bancaires dès la moitié du mois. Pour payer les factures, le loyer, le chauffage, les frais de déplacement, les dépenses (…)

1943, le problème de l’ouverture d’un « deuxième front »

Robert GIL
Le 22 novembre 1943, Staline, Roosevelt et Churchill se retrouvent à Téhéran. Parmi les questions les plus importantes discutées figuraient le problème de l’ouverture par les Alliés d’un « deuxième front ». C’était la question la plus difficile. L’Angleterre et les États-Unis ont fait de leur mieux pour retarder l’ouverture d’un deuxième front en Europe occidentale. La décision d’ouvrir ce « deuxième front », c’est-à-dire le débarquement des troupes alliées en Europe et la création du (…)

Le management n’est pas neutre

Robert GIL
Dans « Libres d’obéir. Le Management, du nazisme à aujourd’hui » publié aux éditions Gallimard, Johann Chapoutot démontre que le management, n’est pas neutre. C’est Bad Harzburg, un ancien fonctionnaire de la SS qui termina la guerre avec le grade d’Oberführer (général), qui forma après-guerre un institut de formation au management, qui accueillit au fil des décennies l’élite économique et patronale de la République fédérale d’Allemagne : plus de 600 000 cadres issus des principales sociétés (…)
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Le nazisme et le fascisme n’ont jamais été les ennemis des Etats-Unis

Robert GIL
L’un des mythes européen et étasunien est que le fascisme a été vaincu pendant la Seconde Guerre mondiale par les démocraties libérales, et en particulier par les États-Unis. Alors que les archives suggèrent que loin d’être éradiqué à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le fascisme a en fait été réaffecté, ou plutôt redéployé, pour remplir sa fonction historique première : détruire le communisme athée et sa menace pour la mission « civilisatrice capitaliste ». Les diverses officines de (…)

Gauche radicale et analyses géopolitiques

Robert GIL
Comment se fait-il que certains partis, organisations, mouvement ou association de gauche dite radicale sont aussi déconnectés des problèmes géopolitiques, et reprennent quasi systématiquement les propos et les soi-disant analyses des experts des médias grand public ? Est-ce que parce que nombres d’entre eux viennent de mouvances trotskistes, et ont encore des comptes à régler avec Staline et l’URSS et de tout ce qui s’y rattache, même si la Russie d’aujourd’hui n’est plus communiste ? (…)

Il y a dix ans la Crimée retrouvait la Russie

Robert GIL
L’un des événements les plus marquants de la Russie moderne sont les 20 jours du premier semestre 2014, le « Printemps de Crimée ». Tout a commencé le 27 février, en réponse au coup d’État organisé en Ukraine par des nationalistes radicaux à Kiev. Le Conseil suprême de la République de Crimée a annoncé un référendum sur le territoire de la péninsule. Les Criméens ont été invités à voter pour la réunification avec la Fédération de Russie. Le vote, censé changer à jamais le sort de la (…)

Heureusement que le président de la Russie ne s’appelle pas Macron

Robert GIL
Le 12 mars 2024, l’assemblée nationale a approuvé « l’accord de sécurité bilatéral » avec l’Ukraine. Accord approuvé grâce à la collaboration des Républicains, des Socialistes et des Ecologistes, et à la trahison du RN, qui est surtout préoccupé par les élections européennes et les grasses rémunérations qui vont avec. A l’ouverture du débat en présence de l’ambassadeur d’Ukraine, Gabriel Attal a martelé un discours qui se voulait martial, à l’exemple de celui de Macron. Mais comme les (…)

Le capitalisme, une histoire de sang, de mensonges et d’horreur !

Robert GIL
Je pourrais ajouter, d’exploitation, de répression, de guerre, de soumission, d’injustice, de manipulation, d’exécution... En fait pour nous occidentaux, le capitalisme a été une grande illusion, la face cachée d’une réalité beaucoup moins glamour. Comme dans tous les tours de prestidigitation et de passe-passe, le temps fait que l’on voit l’envers du décor et les fils qui le soutiennent. En occident, le capitalisme a indéniablement amélioré notre vie quotidienne, et notre existence en (…)

La chute de l’URSS et l’illusion du paradis capitaliste

Robert GIL
Les maîtres de l’Occident collectif ont mené habilement une guerre (froide) de l’information contre l’URSS. Diverses unités de la future cinquième colonne ont été soutenues et constituées : des dissidents aux séparatistes nationaux en passant par des « mafieux » purs et simples. L’opposition religieuse a également été soutenue de l’étranger. Les baptistes, les pentecôtistes et les adventistes menèrent des activités subversives actives. Des imprimeries clandestines furent créées. Des (…)