Il s'agit d'une critique d'un livre qui n'a jamais été publié. En effet, ce livre n'a pas encore été traduit en français. Le but de cette traduction est précisément d'intéresser les lecteurs et, espérons-le, un éditeur afin que ce livre puisse également être publié en France.
Dans cet article le journaliste russo-ukrainien Oleg Yasinsky rend hommage à Victor Jara et explique pourquoi il a été assassiné, c'était selon lui une opération dirigé contre le cœur de leur ennemi : sa culture. Víctor Jara, el alma llena de banderas. En français : Victor Jara, l'âme pleine de drapeaux. Je préfère laisser le titre en version originale car c'est le titre d'une chanson de Victor Jara. J'ai aussi laissé des extraits de chanson de Victor Jara en version originale et mis leur traduction en français à côté ainsi que des vidéos des chansons d'où elle sont extraite. J'ai aussi ajouté la vidéo d'un des assassins de Victor Jara en fin d’article.
NOTE de LGS (ajoutée 05/01/2022) : classé comme "fake news" par https://dpa-factchecking.com/switzerland/211230-99-544027/?fbclid=IwAR1LtKuW_7eHDvTeje6Ud6UKSDix7xhaJN5Yq9KelTkNo7iQUp5X06edEIQ
Dans quelques mois nous changerons de Président. Est-il possible qu’un seul homme puisse représenter la somme totale des subjectivités de la nation ? Est-il sain qu’une seule personne puisse décider pour tout un peuple ? Ce qui est certain, c’est que, quelle que soit sa « famille politique », le postulant à l’élection présidentielle ne sera pas candidat pour rien. Il a été choisi par des forces qui savent ce qu’est l’Homme à l’état de nature. Il lui faudra conjuguer sa visée économique, sociale, politique avec ce que représente l’Homme dans son essence.
En 2008, Naomi Klein ressortait des tiroirs de l’Histoire les expériences (infructueuses) menées à partir de chocs électriques et de privation sensorielle pour « ré-initialiser », réécrire la mémoire et extirper les secrets de patients internés en hôpital psychiatrique. Ces techniques permettaient d’expliquer comment des élites politico-financières ont utilisé le choc de populations pour leur faire accepter des idées auparavant impensables. À l’échelle des sociétés, cette stratégie de « lavage de cerveau » a été largement développée depuis les années 1970 pour mettre en oeuvre des mesures néo-libérales qui ne bénéficient aucunement au peuple, mais bien plutôt à une infime minorité. En plongeant dans un état d’effroi un ensemble d’individus, un gouvernement peut ensuite administrer à peu près n’importe quel remède qui donnera l’illusion d’en sortir. Le serpent se mord la queue, la boucle est bouclée, le virus est sa propre antidote.
La plupart des dirigeants, petits et grands, manient, de tous temps, la carotte et le bâton. Ils promettent, puis donnent quelques miettes, puis les reprennent, puis répriment, puis promettent, puis donnent quelques miettes, puis les reprennent, puis répriment. Macron lui, ne donne jamais rien.
Une nouvelle offensive contre les libertés à la veille de Noël ? En procédure accélérée, le gouvernement a déposé le lundi 21 décembre au soir, à l’Assemblée Nationale, un projet de loi pour créer un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ». Cette mesure ferait entrer l’état d’urgence sanitaire dans le droit commun, et permettrait notamment de restreindre l’accès à certains lieux aux personnes non vaccinées. Passage en revue :
Comment entretenir l’épidémie, pour justifier et légitimer le coup d’État sanitaire moderne accompli avec des moyens de manipulation mentale hautement technologique, sinon par une politique médicale moyenâgeuse.