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Thème : Dictature

Víctor Jara, el alma llena de banderas (l’âme pleine de drapeaux)

Oleg YASINSKY

Dans cet article le journaliste russo-ukrainien Oleg Yasinsky rend hommage à Victor Jara et explique pourquoi il a été assassiné, c'était selon lui une opération dirigé contre le cœur de leur ennemi : sa culture. Víctor Jara, el alma llena de banderas. En français : Victor Jara, l'âme pleine de drapeaux. Je préfère laisser le titre en version originale car c'est le titre d'une chanson de Victor Jara. J'ai aussi laissé des extraits de chanson de Victor Jara en version originale et mis leur traduction en français à côté ainsi que des vidéos des chansons d'où elle sont extraite. J'ai aussi ajouté la vidéo d'un des assassins de Victor Jara en fin d’article.

Ce 16 septembre 2023 marque le 50ème anniversaire de l'assassinat de l'auteur-compositeur-interprète, compositeur, poète et metteur en scène chilien Víctor Jara. Ce n'était ni une "erreur" ni un "excès" au milieu du chaos répressif après le coup d'État. Ceux qui connaissent l'armée chilienne comprendront qu'il s'agit d'une machine parfaite qui fonctionne avec un ordre absolu ou un commandement vertical, sans la moindre possibilité d'effectuer une quelconque improvisation. "...¡Qué espanto causa el rostro del fascismo ! Llevan a cabo sus planes con precisión artera Sin importarles nada La sangre para ellos son medallas La matanza es un acto de heroísmo...", "...Quelle horreur le visage du fascisme provoque ! Ils réalisent leurs plans avec une précision artistique Sans se soucier de rien Le sang pour eux sont des médailles Tuer est un acte d'héroïsme...", Victor écrivait ceci dans les dernières heures de sa vie depuis le stade du Chili, au centre de Santiago, transformé par l'armée en camp de (...) Lire la suite »

Le CDC admet que la « pandémie de Covid » était le produit d’un test inapproprié

Paul Craig ROBERTS

NOTE de LGS (ajoutée 05/01/2022) : classé comme "fake news" par https://dpa-factchecking.com/switzerland/211230-99-544027/?fbclid=IwAR...

Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2. « Après le 31 décembre 2021, les CDC retireront la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement ». Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe. J’ai signalé il y a plusieurs mois que les « autorités sanitaires » étaient parvenues à cette décision, mais qu’elles retardaient sa mise en œuvre jusqu’à la fin de 2021. Elles avaient besoin de ce faux test pour entretenir la peur afin d’obtenir le plus de vaccinations, et donc de profits, possible. Il est extraordinaire que le retrait du test par le CDC n’ait reçu aucune attention de la part des (...) Lire la suite »
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Les dix commandements du prochain Président de la République française

Jimmy DALLEEDOO

Dans quelques mois nous changerons de Président. Est-il possible qu’un seul homme puisse représenter la somme totale des subjectivités de la nation ? Est-il sain qu’une seule personne puisse décider pour tout un peuple ? Ce qui est certain, c’est que, quelle que soit sa « famille politique », le postulant à l’élection présidentielle ne sera pas candidat pour rien. Il a été choisi par des forces qui savent ce qu’est l’Homme à l’état de nature. Il lui faudra conjuguer sa visée économique, sociale, politique avec ce que représente l’Homme dans son essence.

1er commandement : le futur président devra étouffer l’acte révolutionnaire L’acte révolutionnaire correspond à une nécessité de l’histoire qui dépasse les prérogatives du représentant bourgeois. Il le sait, ils le savent. Pour que l’histoire soit effective, l’humanité doit accoucher d’elle-même à partir de l’acte révolutionnaire. En effet, l’Homme est doté d’un réel vivant qui est un point d’altérité inhérent à l’espèce humaine. Il est incontrôlable, indépassable et n’obéit à aucune loi. Aucun gouvernement ne peut le diriger : qu’il soit capitaliste ou socialiste. Il est certain que les prérogatives d’un président de la République permettent à ce représentant bourgeois de laisser aller son réel vivant à lui : il n’est pas « le chef des armées » pour rien ! L’armée impérialiste devient le prolongement matériel du réel vivant présidentiel. D’ailleurs, un ancien président de la République, François Hollande, avait révélé l’existence d’« opérations homo », c’est-à-dire des assassinats ciblés organisés par les services secrets. (...) Lire la suite »
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Pass sanitaire : l’aliénation, c’est la santé

Alizé LACOSTE JEANSON

En 2008, Naomi Klein ressortait des tiroirs de l’Histoire les expériences (infructueuses) menées à partir de chocs électriques et de privation sensorielle pour « ré-initialiser », réécrire la mémoire et extirper les secrets de patients internés en hôpital psychiatrique. Ces techniques permettaient d’expliquer comment des élites politico-financières ont utilisé le choc de populations pour leur faire accepter des idées auparavant impensables. À l’échelle des sociétés, cette stratégie de « lavage de cerveau » a été largement développée depuis les années 1970 pour mettre en oeuvre des mesures néo-libérales qui ne bénéficient aucunement au peuple, mais bien plutôt à une infime minorité. En plongeant dans un état d’effroi un ensemble d’individus, un gouvernement peut ensuite administrer à peu près n’importe quel remède qui donnera l’illusion d’en sortir. Le serpent se mord la queue, la boucle est bouclée, le virus est sa propre antidote.

Le mois de juillet 2021 marque un tournant dans l’histoire de la stratégie du choc. Il ne s’agit plus, comme ça a, par exemple, été le cas dans le Chili de Pinochet, de mettre en oeuvre des mesures néolibérales pour « sauver » l’économie en la « libérant » de son joug protectionniste – et en l’ouvrant aux 1000 vents de la financiarisation, privatisation, et à tous ces barbarismes en ‑isation faisant éternuer des pauvres qui crachaient déjà leurs poumons alors qu’ils respirent désormais les volutes de cigares des grands propriétaires. Accroître les tentacules du profit n’est plus une priorité ; les limites commerciales à son expansion ont déjà toutes sautées, asphyxiant les individus, mercantilisant le moindre recoin de nos intimités. Contrôler les mouvements à défaut des flux de capitaux, idem. Rendre les instances de pouvoir garantes de tout ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue – apprentissage, jeu, communauté, échange. L’état de léthargie dans lequel nous sommes plongés depuis l’élection de Macron et (...) Lire la suite »

La technocrature jette le masque

PMO
Vers un esprit sain dans un corps sain On se croyait seuls depuis lundi soir, dans le silence de l’été, comme tant d’autres sans doute, « abasourdis », « sidérés » par la « brutalité » du coup de force sanitaire du Chef d’En Marche, champion de la classe technocratique. Des messages de désarroi nous parvenaient de gens « pris par surprise », contraints d’annuler des événements, des réunions, des voyages, des vacances, contraints de subir des injections sous peine d’exclusion sociale, fichés, dénoncés à la vindicte officielle – celles de l’État et des forces qui le soutiennent, CSP +++ et Bac +++, de droite et de gauche « en même temps », bourgeois technocrates du Figaro et technocrates bourgeois du Monde. En attendant quoi ? D’être harcelés à domicile par les brigades sanitaires ? On se croyait seuls en voyant ce million de récalcitrants céder à la contrainte, souvent la rage au cœur, et se précipiter sur les sites de vaccination, à peine terminé le discours du Médecin-Président, afin d’éviter les représailles. (...) Lire la suite »
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Séduction et oppression : le « en même temps » de Macron culmine dans le Projet de loi instituant un régime de dictature sanitaire

Dominique MUSELET

La plupart des dirigeants, petits et grands, manient, de tous temps, la carotte et le bâton. Ils promettent, puis donnent quelques miettes, puis les reprennent, puis répriment, puis promettent, puis donnent quelques miettes, puis les reprennent, puis répriment. Macron lui, ne donne jamais rien.

Mais si, allez-vous me rétorquer, il a distribué 17 milliards d’Euros aux Gilets jaunes, selon les économistes du pouvoir, comme Nicolas Beytout qui trouve injuste que « beaucoup de Français ne le perçoivent pas ». Pourtant ils ont raison, les Français, Macron ne leur a en fait rien donné de concret, ni de durable. C’était uniquement de la communication, un tour de passe-passe, après que ce petit roitelet, élevé dans du coton, s'est laissé surprendre par une révolte qui lui a foutu la pétoche, la vraie. L’extrême centre Il n’a rien lâché (pour ne pas être lâché par ses maîtres du CAC 40), mais il tout de même été obligé de se livrer à une forme de reddition humiliante qu’il ne nous a jamais pardonnée. « Honteux et confus » comme le corbeau de Jean de la Fontaine, Macron « jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus ». Et c’est là que nous avons tous compris que la répression inouïe qui s’était abattue sur les Gilets jaunes n’était pas un hasard. Sous le gendre idéal, nous avons découvert une figure (...) Lire la suite »
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État d’urgence permanent et restrictions de circulation

Nantes Révoltée

Une nouvelle offensive contre les libertés à la veille de Noël ? En procédure accélérée, le gouvernement a déposé le lundi 21 décembre au soir, à l’Assemblée Nationale, un projet de loi pour créer un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ». Cette mesure ferait entrer l’état d’urgence sanitaire dans le droit commun, et permettrait notamment de restreindre l’accès à certains lieux aux personnes non vaccinées. Passage en revue :

L’état d’urgence sanitaire permanent. Censé être une mesure « exceptionnelle » et « temporaire » de restriction des libertés, « l’état d’urgence sanitaire » va entrer en grande partie dans le droit commun. Comme l’état d’urgence après les attentats de 2015, au nom de l’exception, les gouvernants imposent en fait, progressivement, un Régime autoritaire. La loi prévoit de créer un « état de crise sanitaire », qui donne donc plus de pouvoir au gouvernement, supprime le vote du parlement sur les mesures sanitaires, et surtout, est illimité dans le temps. Le gouvernement pourra par exemple imposer des mises en quarantaine, réquisitionner des personnes et des biens ... Mais « l’état d’urgence sanitaire » que nous connaissons, qui impose les mesures de confinement et suspend les règles démocratiques, ne disparaît pas pour autant, il restera l’étape maximale. Il est enclenché par décret et ne doit être voté qu’au bout d’un mois par le parlement. Nous allons donc doit vers un « état de crise sanitaire » permanent qui peut (...) Lire la suite »

Deuxième vague de coups d’État sanitaires

Khider MESLOUB

Comment entretenir l’épidémie, pour justifier et légitimer le coup d’État sanitaire moderne accompli avec des moyens de manipulation mentale hautement technologique, sinon par une politique médicale moyenâgeuse.

Car la crise sanitaire actuelle est avant tout une crise du système de santé, incapable de gérer une simple épidémie grippale faute de moyens médicaux et d’équipements sanitaires. Comment justifier et légitimer l’accélération de la destruction des infrastructures économiques considérées comme obsolètes du point de vue du grand capital, sinon par une deuxième vague de propagandes sanitaires virales, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter une psychose collective. Aujourd’hui, après le couvre-feu, qui a embrasé toutes les libertés individuelles, sur fond de bruits de bottes, se profile le rétablissement du confinement pénitentiaire, cette politique d’assignation à résidence forcée que n’aurait jamais imaginé le pire des dictateurs. La politique de confinement est l’ultime tentative désespérée d'un système capitaliste en déclin pour freiner sa chute, accélérée par l’irruption du coronavirus, qu’il rend mensongèrement responsable de l’effondrement de l’économie. Déjà au début de (...) Lire la suite »
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Révoltons-nous !

Ollivier RUCA
Un manque de recul, un sens critique éteint, l’acceptation tranquille du dogme guerrier de l’actionnaire. Une peur irrationnelle démesurée envahit les esprits. Notre liberté de penser et de travailler en conscience partant en fumée. Une autocensure mondialisée. Un univers virtuel hypnotisant fait d’algoryhtme et d’intelligence artificielle s’attaquant à nos sens et nous reléguant à des variables d’ajustement. Ne plus s’aimer, se toucher, se sentir, se réunir, penser différemment. L’interdit fleurit. Nous le subissons, en silence, par peur, naïveté, indifférence, facilité, fragilité ou égoïsme. Nous ne sommes plus des citoyens républicains mais des collaborateurs consommateurs, des identifiants, des bases de données connectées. La forme a supplanté le fond. Nos réflexions sont polluées par la violence d’un matraquage médiatique anxiogène et nauséabond. Nous ne faisons plus de prospective. Immobilisme et individualisme se sont immiscés dans notre univers. Petit à petit, inéluctablement, la religion de l’argent et (...) Lire la suite »
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Boris Johson veut bannir la critique du capitalisme des écoles anglaises

Thomas LEMAHIEU
Francis Fukuyama s’est fourré le doigt dans l’œil : non, l’Histoire n’est pas finie. Mais certains essayent encore de remettre le couvercle et de le cadenasser : en Angleterre, Boris Johnson entend ainsi bannir des enseignements scolaires « toutes les ressources » qui pourraient prôner des positions anticapitalistes. Le gouvernement conservateur a glissé cette consigne dans son document programmatique pour les directeurs d’école, qui, prône-t-il, « ne doivent d’aucune façon utiliser des matériaux produits par des organisations émettant des positions politiques extrêmes sur divers sujets ». « Guerre culturelle » Le document, qui concerne aussi « le matériel qui ne serait pas extrême en tant que tel, mais dont la simple évocation pourrait constituer un soutien à l’organisation », s’applique aux propos racistes, bien entendu, à la promotion d’ « actions illégales » ou de « violences contre les personnes et la propriété », mais également aux revendications qui prétendraient « abolir ou renverser la démocratie, le (...) Lire la suite »
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