Les Dr Folamour, tels des zombies émergeant des charniers qu’ils ont créés autour du globe, alimentent à nouveau de nouvelles campagnes de massacres industriels.
Dans un rapport à caractère scientifique, ou bien l’on sait et on affirme (avec des verbes au présent, au passé, au futur… ), ou bien on ne sait pas et on « ferme sa gueule » (pour parodier Jean-Pierre Chevènement, ministre des Armées conseillant ses confrères du gouvernement).
Ils vous ont fait aimer la démolition de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Lybie.
Toujours, leurs soldats repartent en emportant ou contrôlant les richesses des pays détruits, en regrettant de ne pas avoir su instaurer leur démocratie et après avoir fait (avec votre accord) des morts par centaines de milliers.
L’un des coups de grâce de Donald Trump a été de gracier quatre mercenaires étasuniens reconnus coupables d’avoir tué 14 civils irakiens non armés en 2007.
Dès qu’un politicien s’installe à la Maison-Blanche, c’est plus fort que lui : il faut qu’il se mette à régenter les affaires du monde, qu’il se coule dans le moule de la vocation planétaire de la nation providentielle.
Un ancien opérateur de drone américain s’élève contre les atrocités qu’il dit avoir été forcé d’infliger pendant son service militaire et déclare que l’armée américaine est "pire que les nazis".