Auteur Jose Luis FORNEO

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Quelques différences entre les Etats-Unis et la Corée du Nord

Jose Luis FORNEO
Le cadre (suivant) montre quelques intéressantes différences entre les Etats-Unis, et tous les pays soumis à ses intérêts et la Corée du Nord. Il est clair que les défenseurs du régime capitaliste peuvent recourir au lieu commun qu’aux USA il y a la "liberté", bien que ce concept vide de liberté consiste en l’accès a certains droits et privilèges, comme aller chez le médecin ou à l’université, pouvoir voyager ou la fameuse liberté d’expression, etc ... seulement si on a de l’argent parce que (…)

La revue Urzica : humour et lutte de classe durant les premières années du socialisme roumain

Jose Luis FORNEO
Urzica (ortie en français) fut une revue graphique d’humour et de critique politique apparue en Roumanie en 1948 sous la direction d’Aurel Baranga, poète communiste. La revue parue bimensuellement durant la période 1949-1975 avec l’objectif d’illustrer la lutte des classes et mensuellement depuis 1975. Comme la plante du même nom, la revue Urzica avait deux fonctions : la première illustrer au moyen de dessins et d’humour la lutte du peuple roumain pour la construction du socialisme et (…)

La main d’oeuvre qui va un jour vous étrangler

Jose Luis FORNEO
A Bucarest cette année il n’y a eu aucune grande manifestation pour célébrer le jour des travailleurs comme c’est habituel ces dernières années, sauf celle du Parti Social Démocrate pour des raisons purement électoraliste et sans aucune intention de défendre les travailleurs (ce serait la même chose que si le PSOE sortait célébrer le jour des travailleurs tandis qu’il applique les coupes sociales les plus brutales contre les droits des travailleurs depuis le franquisme). Cependant ont eu (…)
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L’évolution du nombre de salariés et de retraités depuis 1990 : un panorama du désastre capitaliste en Roumanie

Jose Luis FORNEO
Selon des données de l’Institut d’Investigation de la Qualité de Vie de l’Académie Roumaine (ICCV) en 1989 il existait 8 millions de salariés en Roumanie et 2,8 millions de retraités. Depuis le coup d’état de décembre 1989 la situation a beaucoup changé, jusqu’à la situation de 2010 où les salarié était 4,3 millions (en 2011 il est encore plus bas à 4,095 millions) et les retraités 5,7 millions. Pourquoi cela est il arrivé ? Sur le graphique suivant on peut voir l’évolution des deux (…)
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57% des adolescents roumains pensent qu’on vit aujourd’hui pire que durant le Socialisme

Jose Luis FORNEO
Plus de la moitié des adolescents roumains, nées après le coups d’état capitaliste de décembre 1989 pensent aujourd’hui qu’on vit aujourd’hui pire que durant le Socialisme selon une étude de la Fondation Soros sur "l’implication civique et politique des adolescents" et que parmi d’autres points d’intérêt figure l’enseignement de l’histoire du Socialisme roumains dans l’éducation actuelle. Selon les résultats de l’enquête, 57% des jeunes roumains déclarent que la situation est aujourd’hui, (…)

Dans la Roumanie capitaliste 41% des foyers n’ont pas de salle de bain

Jose Luis FORNEO
Dans la Roumanie socialiste furent construits 160 000 logements par an, incluant tout le confort moderne. Si ce rythme avait été suivit depuis 1990 aujourd’hui en Roumanie il ne resterait pratiquement aucun logements sans sanitaires basiques (bain, douche, lavabo) mais la réalité est que c’est le pays qui après 20 ans de pillage capitaliste a la plus grande proportion de foyers insalubres : 41%, face aux 18,2% du second de la liste la Lettonie. Selon le dernier rapport d’Eurostat la (…)
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Roumanie : Le Nombre de salariés est aujourd’hui la moitié de celui de 1990

Jose Luis FORNEO
Le nombre de salariés, c’est à dire, de roumains avec un contrat de travail légal, est aujourd’hui en Roumanie de 4,095 millions selon des données du Ministère du Travail de la fin du mois de janvier précédent. C’est le plus petit des 50 dernières années. En janvier 2010 il y avait 4,33 millions de travailleurs avec un contrat tandis qu’en janvier 2008 le chiffre était de 4,76 millions. En 1990 depuis le coup d’état qui a débuté la destruction de la quasi totalité de la capacité productive (…)

La délocalisation délocalisée : Dacia s’en va de Roumanie ?

Jose Luis FORNEO
iRenault veut continuer a économiser de l’argent sur les salaires. Après une première délocalisation d’une partie de sa production en Roumanie, utilisant les ancienne installations de Dacia à Pitasti, où l’on continue a produire des voitures plus économiques avec cette marque, elle pense maintenant a transférer ses installations dans d’autres pays encore moins cher. La possibilité que Renault délocalise au Maroc, où elle a ouvert une fabrique à Casablanca pour la production de certains (…)
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Les travailleurs roumains recommencent à chanter l’Internationale

Jose Luis FORNEO
Travailleurs de Dacia lors de la manifestation ou résonna "L’internationale" La semaine passé les travailleurs de l’usine d’automobile Dacia a Mioveni, ville proche de Bucarest, firent la surprise en protestants face à la fabrique tandis qu’ils chantaient dans leurs portes voix l’hymne des ouvriers du monde, l’Internationale. Les dix mille ouvriers qui osèrent protester contre la future modification du code du travail et contre l’augmentation des prix des produits de consommation (…)
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En Roumanie depuis 1989 : églises en plus, écoles et hôpitaux en moins

Jose Luis FORNEO
En Roumanie depuis 1989 : Chaque année ont été construite 200 églises tandis qu’on détruisait 1000 écoles et 4000 chambres d’hôpitaux Tandis que les salaires des employés publics pour 2011 vont être réduit, l’état roumain a augmenté le budget pour les salaires des popes orthodoxes qui en Roumanie sont payés par l’état. Selon la loi de budget pour 2011 la contribution de l’état pour les salaires des religieux va augmenter de 9,12% de 227 856 000 lei à 248 637 000 lei soit 57 millions (…)

Esclaves du XXIème siècle

Jose Luis FORNEO
L’esclavage n’est pas quelque chose que les "démocraties" modernes ont chassé très loin. En réalité c’est quelque chose qui est plus près que nous le pensons. Non seulement parce que cela est chaque fois plus banal que le travail salarié est un esclavage en échange d’argent, mais encore parce que la pauvreté et la nécessité sont de fécondes pépinière pour que le système sans scrupule qu’est le capitalisme en profite pour en bénéficier au prix de la vie, de la dignité et de la liberté des (…)
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