RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Nada, pour une info alternative

Bonjour,

Nada, Nous avons des armes, est né il y a quelques mois, mais son véritable envol a lieu aujourd’hui. Nous avons rassemblé nos forces pour livrer une nouvelle plate forme d’auto-production d’« une information bio, sans trace de libéralisme, de conservateur (ou de conservatisme) et de publicité, fabriquée par des journalistes élevés en plein air, entièrement nourris à l’investigation ! »

Oui, nous sommes inondés de mal-info, comme nous le sommes de mal-bouffe. Et comme la mal-bouffe, la mal-info nuit à la santé et à l’environnement.

Alors il est grand temps de multiplier les circuits parallèles de production et de distribution.

Pour tout savoir de notre projet, consultez tout de suite le nouveau site de « Nada-info » à l’adresse suivante : http://nada-info.fr/site/ .

Autour des années 2000, dans le journal de critique des médias, Le Plan B, nous résumions la situation par un tonitruant : « les patrons plastronnent, la gauche (de gouvernement) capitule et les médias mentent ». Dix ans après, qu’est-ce qui a changé ? Les patrons plastronnent plus que jamais, la gauche (de gouvernement) capitule comme d’habitude !

Et les médias ? Certes, ils mentent toujours sans scrupule ! Mais l’immense succès en 2012 du film « Les nouveaux chiens de garde » - plus de 240 000 spectateurs, des centaines de débats, des dizaines de milliers de DVD vendus – a démontré qu’une partie des citoyens n’accepte plus cet état de fait et que pour rabattre un peu le caquet des patrons et des politiques qui les soutiennent, il serait grand temps de se saisir politiquement de la question des médias. Il devient évident pour beaucoup qu’une information à flux tendu délivrée par les Bouygues, Lagardère, Niel, Bolloré, Arnault, Pinault, Dassault et consorts ou par un service public privatisé depuis belle lurette empêche nos aspirations progressistes de triompher.

Après le temps de la dénonciation, arrive le moment de l’imagination et des initiatives.

Militants d’associations, de syndicats, de partis politiques progressistes, vous pouvez promouvoir la fabrication de films, de documentaires comme l’on fait il y a quarante, cinquante, quatre vingt ans d’autres militants et d’autres forces progressistes.

Des œuvres cinématographique comme « Les copains du dimanche » d’Henri Aisner (1956), « La vie est à nous » (1936) et « La Marseillaise » (1938) de Jean Renoir, « Sur les routes d’acier » (1938) de Boris Peskine, « Les bâtisseurs » (1938) de Jean Epstein, « Les métallos » (1938) de Jacques Lemare, la série de peintures « Le pays des mines » d’André Fougeron (1948), n’ont pu exister sans l’aide financière de militants progressistes politiques ou syndicaux, notamment de la CGT.

Comme eux, nous aussi aujourd’hui Nous avons des armes !

Contribuez financièrement à la production de cette information susceptible de vous donner des clés pour mieux comprendre et lutter contre ceux qui fabriquent un tel monde inique.

Alors soutenez Nada : http://nada-info.fr/site/?page_id=65

Propagez ce message... comme une traînée de poudre !

Merci

Pour Nada, Gilles Balbastre, co-réalisateur des "Nouveaux chiens de garde" et Gianni Cappelletti, vice-président de Nada

URL de cet article 24808
  

Pour une critique de la marchandisation
André Prone
Où va-t-on ? Chacun d’entre nous est en mesure d’observer les dérèglements biosphériques, économiques, politiques et sociétaux qui affectent le système-monde aujourd’hui. Mais au-delà du constat, quelles en sont les causes et comment agir pour en stopper le cours ? C’est ce à quoi tente de répondre ce livre. Il le fait avec la ferme conviction que rien n’est impossible et que tout dépend de nous. Analyser les dérives sociétales, thérapeutiques et environnementales générées par la marchandisation mondiale (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

Un écrivain doit désormais être un homme d’action... Un homme qui a consacré un an de sa vie aux grèves dans la métallurgie, ou aux chômeurs, ou aux problèmes du racisme, ou qui n’a pas perdu son temps. Un homme qui sait où est sa place. Si vous survivez à une telle expérience, ce que vous raconterez ensuite sera la vérité, la nécessité et la réalité, et perdurera.

Martha Gellhorn, 1935

Lorsque les psychopathes prennent le contrôle de la société
NdT - Quelques extraits (en vrac) traitant des psychopathes et de leur emprise sur les sociétés modernes où ils s’épanouissent à merveille jusqu’au point de devenir une minorité dirigeante. Des passages paraîtront étrangement familiers et feront probablement penser à des situations et/ou des personnages existants ou ayant existé. Tu me dis "psychopathe" et soudain je pense à pas mal d’hommes et de femmes politiques. (attention : ce texte comporte une traduction non professionnelle d’un jargon (...)
46 
Comment Cuba révèle toute la médiocrité de l’Occident
Il y a des sujets qui sont aux journalistes ce que les récifs sont aux marins : à éviter. Une fois repérés et cartographiés, les routes de l’information les contourneront systématiquement et sans se poser de questions. Et si d’aventure un voyageur imprudent se décidait à entrer dans une de ces zones en ignorant les panneaux avec des têtes de mort, et en revenait indemne, on dira qu’il a simplement eu de la chance ou qu’il est fou - ou les deux à la fois. Pour ce voyageur-là, il n’y aura pas de défilé (...)
43 
Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
55 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.