en irak 1 millions de morts, dont 500000 gosses ( 20 fois plus qu’en palestine !) dont hillary clinton dira que "ca valait le coup".
Mmmm non : C’était Madeleine Albright, en 1996, dans l’administration de ce bon Président Clinton.
Elle dit : « Je crois que c’était un choix très difficile, mais le prix… nous pensons que le prix en valait la peine. »
Par la suite Madeleine Albright a présenté ses excuses pour ses déclarations, expliquant qu’« on l’avait provoquée ».
Tout est donc pardonné. Gentille Madeleine. Gentil Bill.
Pour rappel :
M. Clinton avait supprimé en 1999 la loi Glass-Steagall (ce qui conduisit, outre à la domination totale de la finance sur le politique, à la crise de 2008 et toutes ses conséquences encore à venir, dont la guerre et la spoliation de l’épargne) ;
il avait bombardé la Yougoslavie en ch.ant sur l’ONU, il a amorcé et soutenu l’expansion de l’OTAN plein EST qui conduit aux guerres d’aujourd’hui et de demain, il a soutenu le pillage intégral de la Russie saignée à blanc sous Eltsine, et il se détendait avec des petits "massages" chez son ami Epstein (que sa femme a certainement eu la bonne idée de faire assassiner).
Je passe sur Hillary, hein.
Pour revenir à l’Irak, j’ajoute que sont les sanctions (le blocus) qui ont provoqué les morts dont il est ici question, pas la guerre directe.
La raison ? S’il faut vraiment l’expliquer, alors Trump le disait très bien (à propos de l’occupation illégale de la Syrie par des troupes US) :
"J’aime le pétrole !"
Par ailleurs, si l’Allemagne et le Japon sont devenues deux très grandes puissances industrielles, c’est avant tout parce qu’il leur était interdit d’avoir une industrie militaire. Étonnant, non ?
L’Allemagne bénéficiait aussi - au passage - d’une énergie russe abondante et très peu chère, ce qui est révolu car nous avons des "valeurs" à respecter. Na.
Aujourd’hui l’UE (conseillée par des types brillants tels Draghi) prétend redresser sa puissance industrielle - donc son économie - grâce à l’industrie militaire ! (lol)
Mais sans énergie, ou avec une énergie 4X plus chère et donc avec 0 compétitivité.
Pour rappel nous n’avons pour ainsi dire plus de hauts-fourneaux en Europe, donc l’industrie y est littéralement morte, pour aller plus vite que les tergiversations de certains lâches qui se préfèrent optimistes en se voilant la face (et en attendant la fin de leur mandat, pour aller vite pantoufler chez le financier gargantuesque qui gagnera très très gros en misant sur notre faillite)...
C’est donc que nos dirigeants ont parfaitement compris les leçons de l’histoire, et sont parfaitement compétents, armés de leurs si belles "valeurs" et autres principes. Continuons de respecter les institutions qui nous obligent à leur confier les rênes en notre nom : C’est le mieux. C’est cela qui permet aussi à un Netanyahu d’être légitime à son poste.
Quant aux nazis, nous les soutenons directement. L’UE fédéraliste ne diffère que très peu du projet Germania d’Hitler, et les descendant(e)s directs des nazis président à nos destinées (en outrepassant allègrement toute prérogative) :
Vous reprendrez bien une petite dose en l’échange d’un Ausweis, non ? Mmmm ?
Le totalitarisme abject et meurtrier a étrangement toute sa place lorsque la masse n’est plus guidée que par la peur de la mort. 7 octobre, Covid : même combat.
Il serait largement temps de comprendre que nous (la plèbe) sommes tous des gazaouis en devenir.
Pardon, hein, pour l’indécence de cette métaphore volontairement choquante.
A ceci près que les gazaouis, avant d’être massacrés (grâce à la lâcheté, la corruption, la soumission, de ceux qui nous représentent et parlent en notre nom en offrant une immonde impunité aux génocidaires), ne se voilaient pas la face sur la nature de leur ennemi ni sur la nature d’une résistance véritable, et des risques inhérents (mortels) à se défendre face à des criminels de masse.
Se voiler la face, quoi qu’en pense M. Retailleau, nous le faisons, nous, jusqu’à l’outrance.
Nous aussi, nous les premiers, nous réclamons de "Ladémocratie" tout en fermant les yeux sur bien des monstruosités. À commencer par notre propre responsabilité qui s’enracine dans une confortable lâcheté politique.