RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Le mythe du rêveur qui rêvait (selon la légende) à notre univers…

Le mythe du rêveur qui rêvait (selon la légende) à notre univers…

Le mythe du rêveur qui rêvait (selon une ancienne légende) à notre univers…, était-ce un univers en expansion, comme cela est communément admit par la gente scientifique - comprenez astrophysiciens et autres cosmologues familiers de * mécanique cantique, ou en contraction, comme le suggérait (il y a peu encore) les inflexibles gardiens de la scolastique religieuse… et quoi qu’il en soit, seront (fatalement) confrontés à la rupture ?, (tout est sujet à rupture puisque limité, sauf évidemment l’éternité…, ouaf, ouaf, ouaf !) Avec un peu d’imagination, on peut entrevoir d’autres scénarios, comme celui-ci par exemple, résultat d’autres concepts : « notre univers n’est qu’un morceau d’univers issu d’autres (des milliards) univers, - et pas nécessairement visibles à cause de connaissances provisoirement inadaptées, mais pas que… ».

La réalité n’est pas forcément celle que régurgitent les postillonneurs normaux, mais celle qu’il nous reste à inventer…

* je vous recommande la lecture d’un petit ouvrage écrit par Sven Ortoli et Jean-Pierre Pharabod et intitulé, « Le cantique des cantiques » ; où il est écrit que la liquidation de notre (vieille) perception du monde, (malgré le bon phénoménale réalisé par les équations résolues d’Einstein), n’est peut-être plus la bonne… parce que « tout change et se transforme », y compris toi-moi, nous-vous. Et c’est bien comme ça…

E.E.L.V et Cohn-Bendit, ein kolossal schlau ! ( traduc. approxi. :ein gross malin)

Le gros malin, Cohn-Bendit, (qui depuis des décennies - à la fin des années soixante déjà -, après (et malgré) que mes compagnes et compagnons anarchistes, les mouvements d’occupations, les enragés ainsi que l’I.S. l’aient - en mai68, mais pas que - copieusement dézingué !…, et contrairement à la fable fabriquée de toutes pièces, cette grande gueule opportuniste et roublarde, fut à jamais démythifiée. La marionnette collabo, pur produit de l’opportunisme politicard ambiant (et tout particulièrement dans la sphère estudiantine et la misère (ce n’est pas du tout un compliment, loin de là  !) du milieu étudiant) et chouchou des masses médias, qui s’acharnèrent à célébrer ce faussaire patenté… (lui et d’autres d’ailleurs). Des idoles aussi fictives que politiquement acceptables (par l’establishment), à l’allure vaguement "révolutionnaires", et singeant le langage de mouvements tel CoBrA ou l’I.S. (ses derniers l’ont salement allumés... c’est cruel et tellement réjouissant !), ou encore les textes d’anarchistes aimés et reconnus de tous (du moins celles et ceux qui se sont donnés la peine de (les) lire)…, sans oublié la logorrhée pseudo-marxisante) ; et aujourd’hui encore il ose la ramener !…, remember, après s’être salement acoquiné avec l’ancien locataire élyséen, sarkozy, pour nous la mettre profond lors des (dernières) élections européennes, en opérant de telle manière que son parti gadget (E.E.L.V), qui comme chacun sait ne représente pas grand monde sur l’échiquier politicard français, avait fait le plein de sièges de députés européens, alors que… (le parlement européen ?... des marionnettes aussi inutiles que lui et sa troupe d’affiliés à « la lutte des places » !)

L’"alternance" prend eau de toutes parts !

En France nous avons eu droit au faux duel Fillon-Clopé, dont personne n’avait rien à foutre !..., à un congrès-pschitt du Ps, dont tout le monde ou presque s’en battait les couil…, et l’assommoir « made in Usa » de l’élection « de l’homme (virtuellement) le plus puissant du monde ! » (sauf qu’en se mirant dans un miroir en pied, il entreverrait collé à son dos une silhouette furtive, s’activant à lui mettre profond !… est-ce la silhouette d’un Chinois (la première puissance économique (réelle) mondiale !) ou est-ce celle d’un Israélien (un allié si tellement loyal…, y compris en temps de (3e) guerre mondiale ?) - rayez la mention inutile -) campagne électorale furieusement plates et sans véritables enjeux majeurs entre deux candidatures pas très attrayantes (d’ailleurs le Congrès s’évertuera à neutraliser les velléités des uns et des autres), bien que l’un, ultra-conservateur, reprend à son compte les valeurs et la philosophie du « Tea party » et plus généralement du camp républicain et que l’autre n’a rien à promettre (pour cause de récession économique grave), ni à vendre d’ailleurs (pour la même raison)…) dont une grande majorité d’Etasuniens (plus de 40%) n’ira pas voter, et a donc rien à cirer de cet attristant spectacle…, et si toutefois la mayonnaise ne prenait pas comme prévu, ils appliqueraient de concert un plan B (pour assurer la cohésion et la "sécurité" intérieure et extérieure du pays) qui prendrait automatiquement le relais…, les deux candidats se partageant allégrement les rênes du pouvoir...

Ah, ouais… j’allais oublier de vous parler de la dernière trouvaille à la mode « made in Usa » ; pour redémarrer l’économie étasunienne, complètement atone, voire salement en récession, (en fait il s’agit d’une crise systémique gravissime, déclenchée par la cupidité de banquiers et de spéculateurs étasuniens, et dont les causes n’ont toujours pas été - à ce jour - supprimées, au contraire…, ils persistent et signent, usure et titrisation ont repris de plus belle, et vogue la galère !) de relocaliser les "délocalisations intempestives" (à cause des coûts de production, et forcément des salaires… beaucoup trop élevés !… ça ne pouvait plus durer, et pour rendre aux entreprises étasuniennes leur compétitivité et surtout pour qu’elles recouvrent leur (hypothétique) « leadership » sur le marché intérieur (évidemment), et pourquoi pas sur les marchés mondiaux …, - stopper les importations massives (surtout celles provenant de Chine), car leur balance est dangereusement déficitaire !, la pauvre…, et surtout pour reconquérir et galvaniser la « fierté national »…, passablement écornée ; sus à l’ennemi !, sus à l’affreuse concurrence étrangère ! sus aux Chinois ! Vive la guerre économique ! « La guerre de tous contre tous » ! Il faut détruire la concurrence étrangère (surtout la chinoise) pour reconquérir la "fierté nationale". Voilà les objectifs à atteindre !... Et tout ça le plus sérieusement du monde, cela va de soi… Le point de vue patronal allié à la défense d’intérêts strictement privés, le tout grâce à la manne (de fonds) publique… (la « libre concurrence - non faussée, dites-vous ??? - la libre-entreprise » au seul service de la bannière étoilée, quel programme ! Ca fait plus de cinquante ans qu’ils jouent la même rengaine, et on ne s’en lasse même pas !) Tout cela, (les défis qu’on relèvera, etc.), après les élections présidentielles, comme de bien entendu… Le leader-président de la première puissance mondiale…, a dit ! Sauf que le monde à bien changer depuis la dernière récession, et que toutes ces fadaises indigestes ne font plus illusion. Les historiettes pour nationalistes nostalgiques sont complètement inapplicables et n’ont plus de matérialité. Le monde réel et son incontournable réalité y mettront bon ordre. Ce qui reste de la puissance "américaine" s’estompe dans un monde (plus que jamais) en pleine mutation !... Mais…, mais, mais, la France ne veut pas être en reste…, et grâce au Normal et à ses vaillantes troupes sociale-démocrates, nous aurons droit à notre petite crise passéiste et foutrement rétrograde… Gallois, puisqu’il faut la nommer, sort de son chapeau la "recette miracle" (ou panacée universelle), et comme de bien entendu complètement obsolète, car depuis belle lurette elle a prouvé une totale incapacité à résoudre les problèmes de compétivité et de chômage…

Pourquoi ?

Sous le fallacieux prétexte de dégager de la trésorerie pour leurs entreprises, le lobby patronal milite pour une réduction conséquente des charges patronales (et des salaires évidemment),
1. Qu’il faudra bien faire payer par quelqu’un, non ? qui donc se dévouera pour payer l’ardoise patronale ? pas eux, donc les autres, c.-à -d., nous -vous.
2. sauf que le fric dégagé -suite aux réductions de charges patronales-, n’a jamais été réinvesti par les entreprises, du moins comme il était prévu initialement, c.-à -d., dans la production (les carnets de commandes étant désespérément vides, suite à une demande intérieure ou extérieure atone, due en grande partie à un pouvoir d’achat très largement amputé par les (nombreux) plans d’austérité successifs, et aussi à cause d’idées si "géniales" que celles sorties tout droit du chapeau du sieur Gallois, très certainement soufflées par le Medef et encartés umpistes réunis ?!), et (le fric dégagé) fut mobilisé à tout-autre-chose… à l’achat massif d’actions émises par lesdites entreprises elles-mêmes…, qui trouvaient plus pertinent de consolider leur trésorerie en se positionnant sur les marchés financiers, et attendre des jours meilleurs….

Voilà ce qu’on ose nous-vous proposer comme "nouveauté"… génial non ?!

Allez, portez-vous bien… et à bientôt sans doute ? sergio

PS : j’ai lu le long (trop long) programme de la "Révolution Nationale" cher à Pétain et sa clique de collabos de tous poils (et largement influencé par la philosophie idéologique de "révolutionnaires" ultraréactionnaires de l’époque), et j’aimerai vous en toucher deux mots, car il me semble que certains articles notamment ceux émis par les deux faux candidats umpistes, Fillon et Clopé, lors de la présentation de leurs non-programmes (puisque plus antisociaux et obscurantistes l’un que l’autre), s’avèrent plus "antisociaux" que le pétainiste, un comble ! A la prochaine donc ?

URL de cet article 18211
  
AGENDA

RIEN A SIGNALER

Le calme règne en ce moment
sur le front du Grand Soir.

Pour créer une agitation
CLIQUEZ-ICI

Sélection naturelle. Un roman capitaliste.
Alexandre Grondeau
John, Yan et Jean ont des quotidiens et des parcours professionnels très différents, mais ils arrivent tous les trois à un moment clef de leur vie. John est un avocat d’affaires sur le point de devenir associé monde dans un grand cabinet. Yan, un petit dealer toujours dans les embrouilles et les galères. Jean, enfin, est un retraité qui vient d’apprendre que ses jours sont comptés. Malgré leurs différences, ces trois antihéros se débattent dans les contradictions de la société de consommation, seuls (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le comportement borné des hommes en face de la nature conditionne leur comportement borné entre eux.

Karl Marx

Comment Cuba révèle toute la médiocrité de l’Occident
Il y a des sujets qui sont aux journalistes ce que les récifs sont aux marins : à éviter. Une fois repérés et cartographiés, les routes de l’information les contourneront systématiquement et sans se poser de questions. Et si d’aventure un voyageur imprudent se décidait à entrer dans une de ces zones en ignorant les panneaux avec des têtes de mort, et en revenait indemne, on dira qu’il a simplement eu de la chance ou qu’il est fou - ou les deux à la fois. Pour ce voyageur-là, il n’y aura pas de défilé (...)
43 
Reporters Sans Frontières, la liberté de la presse et mon hamster à moi.
Sur le site du magazine états-unien The Nation on trouve l’information suivante : Le 27 juillet 2004, lors de la convention du Parti Démocrate qui se tenait à Boston, les trois principales chaînes de télévision hertziennes des Etats-Unis - ABC, NBC et CBS - n’ont diffusé AUCUNE information sur le déroulement de la convention ce jour-là . Pas une image, pas un seul commentaire sur un événement politique majeur à quelques mois des élections présidentielles aux Etats-Unis. Pour la première fois de (...)
23 
Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
55 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.