C’est clair, il est facile de rencontrer des militants très à gauche, qui sont bien plus critiques envers le gouvernement laïque de Damas, qu’envers cette opposition armée et violente où prédominent les barbus extrêmes. C’est dangereux pour l’avenir de tous, et extrêmement contre-productif.
Malgré des situations géographiques différentes, il s’est passé un processus relativement similaire en Libye. Mais où sont les anarchistes d’antan ?