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Lettre ouverte à l’espérance

Mon cher Jean-Luc,

Tu ne me connais pas ou si peu, je fais partie de ces innombrables militants de terrain, qui ont cherché depuis Décembre à modifier le cours de l’Histoire pour un « avenir en commun ».

J’ai écrit, tracts, poésies et textes pour faire briller, comme toutes et tous les insoumis, les couleurs de l’espoir de notre profonde humanité. J’ai tenu ma barricade sur le marché du samedi de mon village ainsi qu’à l’entreprise.

A 59 ans, et communiste depuis l’âge de 14 ans, je n’ai jamais vécu une campagne aussi enthousiasmante. Je voudrais par ce courrier remercier toutes celle et tous ceux qui autour de toi, t’ont accompagné dans ta mission de « porte drapeau » de notre Résistance collective.

Je dois avouer, qu’à chacune de tes interventions publiques, les larmes me montaient aux yeux, tellement, c’était grand, tellement c’était fort, tellement c’était beau. Tu as su mêler l’économie, l’histoire, le social et surtout la poésie, car la poésie est à la Révolution, ce que les fusils sont aux barricades.

Voir autant de monde rassemblé, voir autant de jeunes participer, autant d’idées nouvelles déployées, m’a envoyé un bain de jouvence et de jouissance.

Quel que soit le résultat du vote, avec toi, les insoumis ont semé les graines du germinal de notre temps, et la semence ne demande, sous ce soleil de printemps, qu’à éclore pour faire surgir ce nouveau monde, d’une humanité renouvelée.

Cher Jean-Luc, pour tout ce que tu as fait, personnellement et je suis sûr au nom de nombreux militants insoumis, je te remercie.

La Couronne, le 20 Avril 2017,

Sincèrement,

Fabrice

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« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre (…)
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"Les bombes nucléaires pourront tuer ceux qui ont faim, les malades, les ignorants. Mais elles ne pourront pas tuer la faim, les maladies et l’ignorance. Elle ne pourront pas non plus tuer la juste rebellion des peuples".

Fidel CASTRO

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