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Notre dieu grec

Macronos

Chez les grecs il est un dieu des origines qui s’appelle Cronos ( à ne pas confondre avec Chronos dieu du temps).

Le plus jeune des Titans, il met fin à la première génération des dieux en tranchant les testicules de son père. Pour ne pas être détrôné à son tour par sa progéniture, suivant les prédictions de ses parents, il dévore ses propres enfants dès leur naissance. Rhéa à la fois sa sœur et son épouse s’enfuit en Crète pour accoucher de Zeus ( Jupiter chez les romains).

A la place de Zeus Rhéa donne à Cronos une pierre à manger.

Adulte, Zeus administre à son père une drogue qui lui fait restituer tous les enfants engloutis et, avec leur aide il enchaîne Cronos , l’émascule et ouvre l’ère de la deuxième génération des dieux.

Cronos est le souverain incapable de s’adapter à l’évolution de la vie et de la société.Sans doute veut-il le bonheur de ses sujets et la paix d’un âge d’or : mais c’est lui seul qui gouverne, il rejette toute idée de succession, il ne conçoit pas d’autre société que la sienne.

Pour se transformer , le monde doit se révolter et Cronos, ou est émasculé par son fils, ou s’en retourne au ciel. Autrement dit, ou il est expulsé, ou il refuse de servir un autre ordre que celui qu’il a conçu et voulu. C’est l’image même du conservatisme aveugle et obstiné.
...
(IN : Dictionnaire des symboles)

Alors ce portrait m’a fait penser à un autre dieu plus actuel.

On peut ainsi comprendre maintenant pourquoi notre Macronos n’a pas d’enfant et ne veux surtout pas que la société lui en fasse dans le dos et se révolte !

Alors Jupiter ou Macronos ?

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DEPUIS LA NUIT ET LE BROUILLARD - FEMMES DANS LES PRISONS FRANQUISTES - de Juana Doña
traduit par à ngeles Muñoz avec la collaboration de Sara Albert Madrid, février 1939. La Guerre d’Espagne touche à sa fin. Leonor va connaître l’exode, la torture, la condamnation à mort, et les longues années de prison... L’horreur quotidienne de l’univers carcéral franquiste tel que l’ont vécu des milliers de femmes et d’enfants est décrite ici par Juana Doña avec un réalisme sans concession et sans complaisance. Ce livre est son témoignage. Écrit en 1967, publié seulement après la (…)
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"Aucune femme en burka (ou en hijab ou en burkini) ne m’a jamais fait le moindre mal. Mais j’ai été viré (sans explications) par un homme en costume. Un homme en costume m’a vendu abusivement des investissements et une assurance retraite, me faisant perdre des milliers d’euros. Un homme en costume nous a précipités dans une guerre désastreuse et illégale. Des hommes en costume dirigent les banques et ont fait sombrer l’économie mondiale. D’autres hommes en costume en ont profité pour augmenter la misère de millions de personnes par des politiques d’austérité. Si on commence à dire aux gens la façon dont ils doivent s’habiller, alors peut être qu’on devrait commencer par interdire les costumes."

Henry Stewart, Londres

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