(...) Dénonçant les discours réactionnaires qui cherchent à faire douter et à effrayer, elles nous amènent à repenser les enjeux de pouvoir qui traversent nos corps : pouvoir de la norme sociale, du politique, du médical ou encore de la religion. Autant d’injonctions qui tendent à contrôler les corps, et plus encore les corps féminins.
Ce qui tend à par définition à « contrôler les corps, et plus encore les corps féminins », c’est la contraception en général.
L’avortement ne fait pas partie des « injonctions qui tendent à contrôler les corps, et plus encore les corps féminins » car il intervient justement en l’absence de « contrôle du corps, et d’abord du corps féminin ».
Si les mots ont un sens, bien entendu...