Je ne sais pas si ce sont mes yeux ou mon ordinateur, mais je n’arrive pas à lire, même en agrandissant l’image, la partie la plus importante du texte, celle de Fidel en rouge sur noir. Auriez-vous la gentillesse de vérifier s’il vous plaît ? Si c’est moi le problème, ne changez rien bien sûr.
Michel
Merci !
Michel
En vérité, Fidel dit : " LGS a commencé la révolution médiatique avec deux hommes et un morceau de silex. Si c’était à refaire, il recommencerait, même avec la moitié d’un administrateur et deux bouts de bois."
MV
A Maxime Vivas,
La « ..... révolution médiatique..... » est la mère de toutes les révolutions, la voie vers la démocratie.
Michel Rolland dit Anonyme malgré lui
Eloquent !
Mais les temps changent avec les moyens d’époque
Et ces révolutions comparées n’ont pas de but commun
Emancipation sociale ou libéralisation capitaliste ou islamiste
Ne partage pas la même finalité
Maintenant, c’est l’empire qui fomente les révolutions qu’il désire
Sans pouvoir en assumer les conséquences hypothétiques
Quand aux révolutions socialistes, les pistes sont brouillées plus que jamais
Par une confusion bien entretenue et un appareil sécuritaire bien établi
Il restera toujours un talon d’Achille à chaque forteresse
Mais pas forcément 82 combattants pour l’attaquer victorieusement
Lorsque l’on tente, comme ce fut le cas récemment en France, d’obliger une femme à quitter la Burqa plutôt que de créer les conditions où elle aurait le choix, ce n’est pas une question de libération mais de déshabillage. Cela devient un acte d’humiliation et d’impérialisme culturel. Ce n’est pas une question de Burqa. C’est une question de coercition. Contraindre une femme à quitter une Burqa est autant un acte de coercition que l’obliger à la porter. Considérer le genre sous cet angle, débarrassé de tout contexte social, politique ou économique, c’est le transformer en une question d’identité, une bataille d’accessoires et de costumes. C’est ce qui a permis au gouvernement des Etats-Unis de faire appel à des groupes féministes pour servir de caution morale à l’invasion de l’Afghanistan en 2001. Sous les Talibans, les femmes afghanes étaient (et sont) dans une situation très difficile. Mais larguer des "faucheuses de marguerites" (bombes particulièrement meurtrières) n’allait pas résoudre leurs problèmes.
Arundhati Roy - Capitalism : A Ghost Story (2014), p. 37
Le 8 août 2012, nous avons eu la surprise de découvrir dans Charlie Hebdo, sous la signature d’un de ses journalistes réguliers traitant de l’international, un article signalé en « une » sous le titre « Cette extrême droite qui soutient Damas », dans lequel (page 11) Le Grand Soir et deux de ses administrateurs sont qualifiés de « bruns » et « rouges bruns ». Pour qui connaît l’histoire des sinistres SA hitlériennes (« les chemises brunes »), c’est une accusation de nazisme et d’antisémitisme qui est ainsi (...)
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(L’article est suivi d’un « Complément » : « Le FN et les droits des travailleurs » avec une belle photo du beau château des Le Pen).
LGS
Des électeurs :
« On va voter Front National. Ce sont les seuls qu’on n’a jamais essayés ».
Faux ! Sans aller chercher dans un passé lointain, voyons comment le FN a géré les villes que les électeurs français lui ont confiées ces dernières années pour en faire ce qu’il appelait fièrement « des laboratoires du FN ».
Arrêtons-nous à ce qu’il advint à Vitrolles, (...)
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NdT - Quelques extraits (en vrac) traitant des psychopathes et de leur emprise sur les sociétés modernes où ils s’épanouissent à merveille jusqu’au point de devenir une minorité dirigeante. Des passages paraîtront étrangement familiers et feront probablement penser à des situations et/ou des personnages existants ou ayant existé. Tu me dis "psychopathe" et soudain je pense à pas mal d’hommes et de femmes politiques. (attention : ce texte comporte une traduction non professionnelle d’un jargon (...)
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