Le destin m’avait bienheureusement épargné d’une image aussi laide d’un humain
J’avais qu’à pas regardé le Grand Soir.
Maintenant je ferai des cauchemars monstrueux
Dracula est de retour. Au secours Maman.
Les Français pensent souvent que les Américains, les Anglais ou les Allemands sont les principaux responsables de la mondialisation du commerce, des affaires et de la finance. Or les faits sont têtus. Jacques Delors, délégué national du Parti socialiste pour les relations économiques internationales (1976-1981), fut nommé président de la Commission européenne de 1985 à 1994 après avoir été ministre de l’Économie et des Finances du gouvernement Mauroy, de 1981 à 1984, sous la présidence de François Mitterrand.
Son directeur de cabinet avait été alors Pascal Lamy (photo), ancien membre du comité directeur du Parti socialiste, inspecteur général des finances après son passage par l’École nationale d’administration (ENA), celle des hautes études commerciales (HEC), et l’Institut des études politiques de Paris (IEP). Ils ont élaboré ensemble la directive de 1988 sur la libéralisation des mouvements des capitaux à l’intérieur de l’Europe. Puis le traité de Maastricht qui, soumis en 1992 à l’assentiment des Français par référendum, ne recueillera que 51,05 % des suffrages exprimés. Ce traité rendit tout de même obligatoire l’extension de cette libéralisation aux mouvements de capitaux avec les États tiers, c’est-à-dire n’appartenant pas à la Communauté européenne. Depuis 2005 Pascal Lamy, pour qui « l’ouverture des marchés et la réduction des obstacles au commerce ont été, restent et resteront essentielles », est président de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
in http://www.humanite.fr/politique/les-socialistes-au-coeur-de-la-mondialisation-518392
Quel beau CV
Quand je serai grand, je ferai Pascal Lamy
Et je ne serai l’ami que des riches
Mais il n’est plus directeur de l’OMC maintenant
Il a pris une retraite, certainement active. Hélas
There is no French word for entrepreneur.
George Walker Bush
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
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