c’est vrai qu’il fait de beaux discours. Mais heureusement les journalistes qui les comprennent existent.
Certains, savent par exemple relever l’importance de la virgule, qui sépare, disons le sans honte ni fausse gloire, l’adjectif de l’adverbe, à ce moment crucial où la phrase du premier ministre décrivait la fondation de ce qui pourrait être l’effondrement d’un état anarchique, quoique policier, où les voleurs les putes et les immigrés, honnêtes hommes saintes et français malgré tout, ne font plus la différence entre la morale abjecte de leur comportement et l’immoralisme nécessaire de leurs principes puisqu’après tout il ne nous reste que les yeux pour pleurer et rire dans une dignité respectueuse du mépris que dans une profondeur si superficielle il sait porter à notre égoisme généreux...