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L’Etat marocain : cheval de Troie de l’impérialisme israélo-occidental

« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir. » (1)

Le politicide : une étape vers la servitude volontaire ?

« Croyez- vous que des solutions efficaces puissent émerger d’une analyse judicieuse de la réalité observable ? »

Cette question fut posée, en 2002, par le journaliste Ron Suskin au conseiller du président W.Bush, Karl Rove. La réponse de ce dernier a été publié par le Wall Street Journal. En voici la teneur :

« En Vérité , le monde ne marche plus réellement de cette manière.Nous américains , nous sommes maintenant un Empire et lorsque nous agissons , nous créons notre propre réalite. Et pendant que vous étudiez studieusement cette réalité , nous ne perdons pas de temps , nous agissons et nous créons d’autres réalités nouvelles qu’il vous est loisible d’analyser...C’est ainsi que les choses se passent , pas autrement . Nous sommes les acteurs et les producteurs de l’Histoire. A vous, vous tous , il ne vous reste qu’à étudier ce que nous créons. » (2)

Réponse on ne peut plus claire ! Nul besoin d’explication sur les intentions de l’Empire, le ’’monde arabe’’ en offre un tableau, grandeur nature. Chaotique certes mais en parfaite harmonie avec les intentions de l’Empire. Un chaos qui s’intègre dans le tableau peint en 1982 par Oded Yollin, haut fonctionnaire, à l’époque, du ministère des Affaires étrangères israélien et intitulé « Stratégie de l’Etat d’Israël dans les années 80 ». (3)

Le but étant le morcellement et le démantèlement des Etats arabes que décrit l’ancien ambassadeur M.Rimbaud avec perspicacité en ces termes :« C’est ainsi que l’empire du Bien a inscrit à son palmarès plusieurs politicides, étapes d’un politicide global à l’échelle du Monde arabo-musulman. Il n’est nullement besoin d’être un amateur inavoué de conspirations pour constater que toutes guerres menées par l’Occident en Orient depuis 1990 forment un tout, chacune s’inspirant des précédentes et servant de répétition aux suivantes. » (4)

Sous prétexte de ’’droits de l’homme’’ , ’’droit de protéger’’, de la lutte contre le terrorisme et, bien sûr, au nom de la démocratie, des destructions matérielles et humaines d’une grande ampleur ont été commises dans le monde arabe. Irak, Liban,Syrie, Libye, Yémen...

Exception faite du ’’niet français’’ à la deuxième destruction de l’Irak en 2003, il faut bien reconnaître que l’Axe du ’’Bien’’ israélo-occidental pour terrasser l’Axe du ’’Mal’’ s’est comporté et se comporte comme un être se situant au-dessus de la loi internationale. Et le ’’service après vente’’ qu’assurent certaines organisations humanitaires et légitimé par l’idéologie des frères musulmans ne sert, en définitif, qu’à doter l’Axe du ’’Bien’’, d’une morale dont il est dépourvu !

Si hier la mouvance des frères musulmans et le wahhabisme (5) agissaient tel un cheval de Troie pour l’accomplissement de ce politicide, aujourd’hui, la collaboration n’est plus secrète. Mais si, sur le plan des destructions matérielles et humaines en Irak, en Syrie, au Liban, au Yémen, la ’’réussite’’ est là, les puissances occidentales, l’Etat d’Israël et les monarchies du Golfe ne peuvent que constater l’échec du deuxième volet du politicide, à savoir le démantèlement des Etats. Ce qui ne signifie nullement qu’ils abandonnent la partie, entre autres, au Liban qu’en Syrie.

Cependant, il faut insister sur le fait que cet échec est dû à la résistance de l’armée de l’Etat syrien et à la résistance arabe du Moyen-Orient dont le Hezbollah est le fer de lance. Evidemment, le rôle politique et militaire de l’Iran dont la souveraineté est en ligne de mire est capitale dans cet échec. Sans omettre la Russie dont le ’’niet’’ est une bonne nouvelle pour tout Etat et peuple qui refusent la servitude volontaire.Quant au peuple palestinien, à moins d’un changement de direction et politique et stratégique, il est victime d’un politicide sans passer par la case Etat. En revanche, le politicide est un fait en Somalie, en Libye et au Soudan.

Quant à l’Egypte, l’une des cibles principales dans « Stratégie d’Israël pour les années 80 », elle ne vit une stabilité, toute relative par ailleurs, qu’une fois les frères musulmans mis hors d’état de nuire.

Mais qu’en est-il de la partie ouest du monde arabe, c’est à dire le Magrheb ?

« Un front ouest qui, à première vue, semble poser plus de problèmes, est en fait plus simple que le front est... » (3)

Un Maghreb dans la tempête néo-libérale

Dans sa grande majorité, la population maghrébine subit les mêmes méfaits de l’idéologie néo-libérale qui se traduisent par un chômage de masse, une pauvreté criante. Pauvreté dont les conséquences se traduisent en exode rurale et immigration. Et elle porte le même fardeau, l’absence d’espoir.

Quant aux bourgeoisies et classes dirigeantes maghrébines qui souvent se confondent, ayant comme seule boussole l’accumulation des richesses, elles partagent une même tare : la corruption.

Une corruption matérielle et mentale, légitimée par des imams obscurantistes et des experts psalmodiant des théories économiques tels des versets du Coran, sous la surveillance du FMI et de la BM. 

Une bourgeoisie enfermée dans-je cite J.Rancière en supprimant les points d’interrogations- « le penser-petit des individus enfermés dans la mesquinerie, dans l’idiotie des intérêts privés. ...L’impuissance de ceux qui ont perdu le ressort de l’action collective. » (6)

Une bourgeoisie qui théorise sa servitude volontaire envers le neo-libéralisme sous le label islamique pour faire souverain. En servant le maître, elle se sert tout en donnant l’illusion qu’elle sert la plèbe.

Sur ce point, écoutant le conseiller du roi du Maroc, Abbas Jirari, « le roi a déclaré que le pays avait besoin d’un nouveau modèle de développement . Mais qui a répondu à l’appel ? Où sont nos experts en développement ? Où sont les responsables qui doivent lui soumettre des projets et de nouvelles alternatives ? » .(7)

Trois points d’interrogations qui signifient que ’’le pays vogue tel un bateau ivre’’ !

Pourtant une armée d’experts locaux est déployée, sous le regard inquisiteur du FMI et de la Banque mondiale, pour singer leurs maîtres occidentaux. Mais le conseiller semble ignorer que,quel que soit le talent d’un acteur singeant un singe, il ne sera jamais un sing e !

Et ce constat peut être élargi, à quelques nuances près, aussi bien à l’Algérie qu’à la Tunisie…

Quant à la masse populaire maghrébine, désarmée face aux politiques, aux imams et aux experts, elle est prête à toutes les aventures politiques. Sauf une seule dont elle n’ose même pas rêver parce que combattue sans mesure par des dirigeants et des experts munis de cerveaux colonisés à qui, le discours religieux donne une apparence de souveraineté. Dans un tel climat politico-religieux, la marchandise et la richesse incarne le seul horizon à atteindre tout en reléguant l’espoir dans l’au-delà.

C’est ce qui m’amène à affirmer que les ’’pressentiments’’ de M. Ferraoun exprimées dans son Journal, le 12 janvier 1957 s’avèrent être, aujourd’hui, une vérité que subit la jeunesse populaire maghrébine. En effet, ce 12 janvier, il écrivassa du fond de la Kabylie, « pauvres montagnards, pauvres étudiants,pauvres jeunes gens, vos ennemis de demain seront pires que ceux d’hier. » (8)

Mais encore faut-il en avoir conscience !

Bref... La dite aventure s’appelle la construction d’un nous solidaire au delà des frontières léguées par le colonialisme dont une porte bien son nom, la frontière des deux mulets (9). Depuis, les deux mulets ne sont plus attachés mais sont-ils libres pour autant ?

Une aventure politique qui exige une vision à long terme dont dirigeants et experts maghrébins sont dépourvus. Une aventure synonyme de probité et d’honnêteté nécessaires pour mener un combat philosophique et politique d’une grande ampleur. Qualités qui ne peuvent naître dans une terre où ne prospèrent que les mots propices à l’effacement de l’être devant le paraître. Et « l’histoire n’est pas le seul terrain où se joue l’effacement. Il y a aussi l’usage des mots. » (10)

Comment est-ce possible ?

« En assassinant l’Ecole, nos gouvernants ont réussi ce pari : bâillonner ferme sans recourir au bâillon...Ils ont adopté la politique de la matière grise brûlée », répond Mohamed Ennaji, dans le Maroc en mouvement. Chroniques sans concessions. Et quand on écoute les autres dirigeants maghrébins, on peut , sans peur de se tromper, généraliser ce constat à l’ensemble du Maghreb.

Pourtant les conditions géographiques, les ressources naturelles, culturelles et humaines ne demandent qu’à être investies pour donner corps à un nous solidaire, synonyme de l’espoir. De même, l’ histoire ne demande qu’ à être une source d’inspiration pour entrevoir cet horizon.Comme par exemple, le combat historique de Abdelkrim Khattabi que certains ’’tribalisent’’ par opportunisme ou ignorance. Ce dernier, exilé au Caire, abandonna la présidence du Comité de libération du Maghreb parce que le tunisien Bourguiba, l’algérien Messali Hadj et le marocain Allal El Fassi, membres du Comité, ont exigé,chacun, son petit drapeau. Presque un siècle plus tard, plus de trois drapeaux flottent sur le Maghreb.

Bni Tadjite : une base américaine où flottent deux drapeaux

Pour le nouveau ambassadeur américain D.T.Fisher, « le Maroc se positionne en tant que passerelle vers l’Afrique, le Moyen-orient et le monde musulman... » (Journal Le Matin 26 août 2018)

Propos tenus au moment où le chef du parti travailliste israélien visite le Maroc ( médias israéliens). Pays qui abrite quelques bases américaines et qui est susceptible d’accueillir le siège de l’OTAN africain, l’Africom.

Officiellement, ses bases militaires comme celles existantes dans d’autres pays africains ont pour mission la lutte contre le terrorisme, incarné principalement par l’intégrisme musulman. Passons sur l’incapacité de l’Unité africaine (U.A) de conceptualiser et d’organiser la défense de ses propres membres mais on ne peut taire le côté pathétique de la situation. En effet, pour lutter contre les organisations terroristes, faire appel à l’aide, les créateurs, monarchie wahhabite comprise, de ces dites créatures, fait penser à un condamné à mort fabriquant sa propre guillotine. Bref... Près du village de Bni Tadjite d’une population d’à peu près 16200 habitants, appartenant à la province de Figuig, situé dans le Sahara oriental marocain, proche de la frontière algéro-marocaine existe une base militaire où flottent deux drapeaux. L’un américain, l’autre israélien.

Une présence israélienne que l’Observatoire marocain contre la normalisation avec l’Etat d’Israël a révélé dans un autre domaine. « Un institut israélien s’est installé au Maroc pour « la formation de groupes militaires et paramilitaires dans plusieurs régions marocaines. Ils sont encadrés idéologiquement et intellectuellement via un ensemble d’outils, de symboles et de positions qui visent à adhérer aux thèses sionistes et à s’apprêter à les servir matériellement. » (11)

Dans tous les cas, l’existence de liens politiques et sécuritaires officieux et, voire plus,entre le Maroc et l’Etat d’Israël n’est nullement une hypothèse d’école mais une réalité, comme d’ailleurs l’implantation israélienne en Afrique de plus en plus visible dans le champ politique et économique. Aussi ne pas croire à la présence de ce drapeau près de Bni Tadjite n’exclut en rien le fait que l’ Etat d’Israël a une vision stratégique sur le futur du Maghreb. Et le Maroc en est la plaque tournante ou si on préfère la « passerelle ».

Le Sahara occidental : simple pomme discorde ou bombe à retardement

Sans rentrer dans les détails historiques sur la question du Sahara occidental (12), le rappel de la Résolution de l’ONU et les prises de position récentes des belligérants, à savoir, le Front de libération du Sahara occidental (Front Polisario) et le Maroc, est utile pour comprendre pourquoi le différent peut embraser la région.

1°) L’ONU reconnaît, sous forme d’une résolution, l’organisation de l’autodétermination de la population sahraouie sous son égide.

2°) Pour le Front Polisario,l’indépendance du Sahara occidental est un préalable. Ainsi pour ce dernier, à travers l’autodétermination reconnue par l’ONU, c’est une reconnaissance de fait que le Sahara occidental n’est pas à priori marocain.

3°) En ne rejetant pas la Résolution de l’ONU, l’Etat marocain tout en développant l’autonomie d’une partie du Sahara occidental, mise sur l’appui des puissances occidentales, des monarchies du Golfe et de l’Etat d’Israël pour pérenniser cette autonomie. Mais autodétermination et autonomie ne veulent pas dire la même chose.

Quant à l’Etat Algérien, sa position exprimée sans ambiguïté par une source du ministère de Affaires étrangères est la suivante :« le soutien de l’Algérie au peuple sahraoui et à son représentant légitime le Front Polisario ne signifie aucunement qu’elle devrait être impliquée dans les négociations. » (13)

Enfin, lors de sa visite au Maroc fin avril, le Sous secrétaire d’Etat américain, Jhon Sullivan affime, d’une part,que « le plus important est notre dialogue avec le gouvernement marocain et notre soutien à ce que nous considérons comme un plan sérieux et réaliste. » - le dit plan sérieux étant l’autonomie telle développée dans la cadre de l’Etat marocain - {}tout en invitant l’Etat algérien à s’impliquer davantage dans le processus de résolution du conflit. Et d’autre part, le Sous-secrétaire d’Etat souligne que « nous soutenons le processus diplomatique de l’ONU et les efforts pour trouver une solution politique mutuellement acceptable au conflit qui apporte l’autodétermination au peuple du Sahara occidental. » (14)

Comment traduire ce double langage, partagé par d’autres pays occidentaux ?

a) Donner l’illusion aux responsables marocains que les Etats occidentaux soutiennent l’autonomie sous autorité marocaine.

b) Défendre « ...l’autodétermination au peuple du Sahara occidental  ».

c) Sous-entendre que l’Etat algérien empêche l’émergence d’une solution.

D’une pierre trois coups ! Moyen peu coûteux pour entretenir la tension dans la région tout en ayant sous la main un acteur régional à des fins stratégiques.

Lesquels ?

En écoutant, d’une part, l’actuel Premier ministre marocain, Salah Eddine El Othmani qui affirme que « le Maroc n’accepte pas et n’acceptera jamais le changement de données existantes sur le terrain » (15) et d’autre part, le coordinateur du Front Polisario avec la Minurso, Mhammed Kheddad qui souligne que « l’armée de libération sahraouie est disposée à répondre avec force à toute tentative marocaine portant atteinte aux territoires libérés » (16),propos auxquels il faut ajouter la pression faite sur l’Etat algérien, à un tournant décisif de son histoire, on en déduit que la tension régionale, déjà existante, tendra vers une exaspération. Et si on ajoute le terrorisme qui sévit dans la région, le marasme économique et social gangrené par des aspirations ethniques, on en conclut qu’il manque peu de choses pour allumer le feu dans la région... Et créer une nouvelle réalité...

M El Bachir

(1) Frantz Fanon : Oeuvres (Les damnés de la terre). Edition La découverte 2011 ( p. 589)

(2) Christian Salmon : http://www.lemonde.fr/idees/article/2008/09/05/le-retour-de-karl-rove-le-scenariste-par-christian-salmon_1091916_3232.html

(3) René Naba : http://www.renenaba.com/revue-detude-palestiniennes-n-14-fevrier-1982/

(4) Michel Raimbaud : Tempête sur le Grand Moyen-Orient. Edition Ellipses 2015.

(5) https://www.mondialisation.ca/wahhabisme-et-sionisme-une-sainte-alliance-contre-liran/5619778

(6) Jacques Rancière. Aux bords du politique. Edition de La Fabrique 1998 (p.46)

(7) Tel Quel (hebdomadaire marocain) N°:820 ,13-19 juillet 2018.

(8) Mouloud Feraoun. Journal 1955-1957. Collection Méditerranée. Edition Seuil. (p.187)

(9) http://www.jeuneafrique.com/55395/archives-thematique/la-l-gende-de-zouj-beghal/

(10) Mohammed Ennaji : Le Maroc en mouvement. Chroniques sans concessions, (page 115). Actuel

(11 ) https://french.almanar.com.lb/860781

(14) https://french.almanar.comIB/955187

(15) http://www.leseco.ma/maroc/65085-le-maroc-n-acceptera-jamais-le-changement-des-donnees-dans-la-zone-tampon.html

(16) www.aps.dz/monde/72072-sahara-occidental-l-occupant-marocain-n-a-d-autre-choix-que-de-se-conformer-a-la-legalite-internationale-et-au-droit-international


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