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La Via Campesina condamne le massacre de Barinas

Voir aussi http://www.crbz.org/masacre-en-barinas-contra-militantes-revolucionarios-comunicado-de-la-corriente/

Le massacre de Barinas : La Via Campesina est solidaire de notre CRBZ

La Via Campesina, le mouvement paysan international qui rassemble 200 millions de membres dans des centaines de mouvements sociaux à travers l’Afrique, l’Asie, l’Europe et les Amériques dénonce devant le monde entier le massacre de Barinas qui a eu lieu le 27 juillet 2019. Six militants de notre mouvement en République bolivarienne du Venezuela, dont une camarade enceinte, y ont été sauvagement assassinés par des mercenaires soupçonnés d’être liés à des propriétaires fonciers de droite. La guerre hybride menée contre la Révolution Bolivarienne doit cesser immédiatement, dans le respect du droit du peuple vénézuélien à vivre en paix.

Nous joignons notre voix à celle du Front Paysan National Ezequiel Zamora (FNCEZ), de son Courant Révolutionnaire Bolívar et Zamora (CRBZ) et des Brigades de Défense Populaire Hugo Chávez (BDP), qui exigent une enquête rapide et efficace qui clarifie les faits et tient responsables les auteurs matériels et intellectuels de ce crime odieux. En ces moments de deuil et de résistance, nous exprimons notre entière solidarité avec le grand peuple du Venezuela et ses organisations populaires en lutte.

José Geraldo Rojas, Manuel J. Cordero Benítez, Alexi Ontiveros Mora, Eudes Rojas Peña, Kevin Navas Rodríguez, Milaidis Navas González, toujours présents dans nos cœurs !

“Honneur et gloire à nos frères et sœurs tombés. Ils seront toujours présents dans nos cœurs et nos esprits, dans chaque bataille et processus de lutte !” – CRBZ

Mondialisons la lutte, mondialisons l’espoir !

La Via Campesina

»» https://viacampesina.org/fr/la-via-campesina-condamne-le-massacre-de-barinas/
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"Au Salvador, les escadrons de la mort ne tuent pas simplement les gens. On les décapite, on place leurs têtes sur des piques et on garnit ainsi le paysage. La police salvadorienne ne tuait pas seulement les hommes, elle coupait leurs parties génitales et les fourrait dans leurs bouches. Non seulement la Garde nationale violait les femmes salvadoriennes, mais elle arrachait leur utérus et leur en recouvrait le visage. Il ne suffisait pas d’assassiner leurs enfants, on les accrochait à des barbelés jusqu’à ce que la chair se sépare des os, et les parents étaient forcés de garder."

Daniel Santiago,prêtre salvadorien
cité dans "What Uncle Sam Really Wants", Noam Chomsky, 1993

Commandos supervisés par Steve Casteel, ancien fonctionnaire de la DEA qui fut ensuite envoyé en Irak pour recommencer le travail.

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