LETTRE D’INFORMATION
le 28/10/2014
Suite à l’appel téléphonique de l’école St Nicholas College Secondary School à Naxxar (Malte) du 21/09/2014 au matin, nous tenons à relater par écrit ce qu’il s’est passé de façon orale, tout le temps.
L’appel que vous avons reçu le 21/09/2014 au matin, annonçant que notre fils que nous appelerons volontairement « l’enfant » pour lui assurer son anonymat dans le cadre journalistique (11 ans ½, nationalité Française) était totalement et définitivement refusé, dorénavant et dès le lendemain, des transports en bus scolaire de la place de l’Eglise de Mgarr jusqu’à votre établissement scolaire St Nicholas College Secondary School à Naxxar, nous vous avons demandé un rendez-vous.
Celui-ci a été fixé au 22/09/2014 à 09h15.
C’est à 10h30, le 22/09/2014, que monsieur le Directeur de l’établissement nous a reçu accompagné de 2 femmes, qui ne nous ont pas été présentées et ne se sont pas présentées. Elles prenaient des notes et intervenaient régulièrement sur un ton péremptoire, hautain et vagissant.
Lors de la réunion, ces personnes nous ont confirmé ne plus accepter définitivement l’enfant dans le bus.
Nous leur avons demandé ce qu’il s’était passé et ils nous ont répondu « vous n’étiez pas dans le bus, mais le chauffeur de l’après midi leur avait rapporté le fait que l’enfant s’était mis une fois debout pendant le trajet ».
Nous avons donc demandé à l’enfant de nous indiquer si cela était exact et pour quelle raison il avait fait cela. L’enfant a expliqué en montrant ses jambes et ses bras pleins d’hématomes, qu’il s’était assis devant, derrière le chauffeur, comme d’habitude, car il a le mal des transports.
Il s’est levé pour changer de place, car un dénommé Nil, âgé de 16 ans et scolarisé dans le même établissement, lui donnait régulièrement des coups de pied, lui faisait des signes de « majeur levé », lui chuchotait fièrement des propos salaces, alors qu’il se tenait debout, à côté du chauffeur, et changeait la musique du poste de radio du bus, au gré de son humeur, quant il ne passait pas son temps à insulter les autres véhicules sur la route, accompagné du chauffeur lui-même.
Pendant l’attente de notre rendez-vous (1h15), nous avions en effet fait connaissance de l’adolescent Nil, qui a fait le même geste déplacé à mon conjoint, après s’être jeté et laissé glissé sur la table posée dans le couloir pour un autre jeune homme apparemment entrain de réaliser du recopiage, puis à l’aide d’une boite hermétique en plastique, il a tapé nerveusement sur l’interrupteur situé au dessus de la table en question.
La professeur de sport qui passait par là, lui a dit quelques mots en Maltais puis est venu nous voir en nous disant qu’elle s’était fâchée hier avec l’enfant, car il avait attrapé des insectes, mais « que le reste du temps – cela n’était arrivée qu’une seule fois -, elle en était très satisfaite, car il travaille très dur en sport et que cet incident n’était pas très grave ».
Nil a ensuite réalisé un doigt d’honneur dans notre direction assorti d’un sourire arrogant.
Le Papa s’est donc levé et est allé dire à Nil qu’il n’acceptait pas son manque de respect et a attendu, exigeant des excuses, ce qu’il n’a jamais eu, une femme intervenant et s’interférant et demandant au papa de revenir s’asseoir à sa place.
Nous avons demandé à l’enfant de s’excuser de s’être levé dans le bus, ce qu’il a fait, et au Directeur de lui laisser une deuxième chance, puisqu’il s’agissait de la première fois et qu’il n’avait pas eu d’avertissement, mais une expulsion définitive du bus immédiate, sans préavis.
Le Directeur a refusé, prétextant que les décisions qu’il prenait étaient « son business, pas le notre ».
Nous sommes donc revenus sur les différents points soulevés avec le Directeur qui n’a retenu que « cela n’est pas normal d’attraper des insectes » sans encourager notre enfant au sujet des compliments de sa professeur sur tout le reste de l’année, « que nous n’avions pas de témoin au sujet de Nil et de ce qu’il faisait endurer à notre enfant, ni de témoins sur l’origine des hématomes sur les jambes de notre enfant et qu’il s’agit de son business, dans son établissement, pas du nôtre ».
Suite à quoi nous avons essayé de rappeler au Directeur « qu’à partir du moment où nous lui laissons la responsabilité de notre enfant, c’est à lui en effet, que revient la responsabilité de s’assurer que notre enfant est en sécurité, qu’il ne subit pas de violences ni physiques, ni psychologiques, ce qui n’est absolument pas le cas ».
En effet, l’enfant a pleuré à chaudes larmes pendant la réunion, implorant le directeur de le protéger de Nil, et lui rappelant qu’il venait quasi quotidiennement dans son bureau ou celui des secrétaires depuis la rentrée scolaire (1 mois) pour leur dire ce qu’il se passait, car l’enfant se faisait rouer de coups par Nil dans le bus, à l’école, que Nil, lui écrasait son lunch dans le bus, à coups de pieds, lorsqu’il arrivait à arracher le sac du dos de l’enfant, lui avait volé l’argent des photocopies, il l’insultait en Anglais et en Maltais, multipliant les menaces et les propos salaces et vulgaires à son encontre et le terrorisant de rejoindre l’école.
Le Directeur d’un ton péremptoire lui répondit : « tu veux que je trouve des parents qui portent plainte contre toi ? » et les femmes présentes d’ajouter « je ne sais pas de quel pays tu viens, mais ici, tu n’es pas chez toi et je peux te faire dire ce que je veux, tu n’auras qu’à répondre par oui ou par non ».
Sur ces propos plein de haine, de colére et odieux, devant le bébé sur les genoux de la maman qui apeuré et choqué de tant de cris, nous avons rappelé aux adultes que nous n’étions pas de animaux, que nous pouvions discuter calmement, entre personnes civilisées. Puis nous avons demandé confirmation aux 3 personnes de l’école, si elles étaient bien Européennes comme nous. Elles n’ont pas souhaité répondre.
Nous leur avons dit que nous étions blonds aux yeux bleux et qu’elles étaient brunes aux yeux bruns, mais Européens comme nous et qu’il ne pouvait pas y avoir de différence de traitement entre les enfants, que les règles devaient s’appliquer de la même manière à tout le monde, d’où qu’ils soient.
Suite à quoi le Directeur nous a indiqué qu’il ne voulait pas de nous dans son établissement « gratuit pour les Maltais ».
l’enfant est donc allé récupérer ses affaires dans son casier, y laissant les livres scolaires, gardé et surveillé par le Directeur de l’école et accompagné par le papa.
Les amis d’école de l’enfant présents dans le couloir étaient choqués et attristés du départ de l’enfant, car il s’était parfaitement intégré aux jeunes, mieux il avait déjà été invité à un anniversaire d’un camarade, à l’extérieur de l’école.
L’enfant est donc déscolarisé de l’école de Naxxar, suite à l’expulsion lapidaire qu’il a subit.
Il aimait ce qu’on lui enseignait, avait même pour objectif d’apprendre le Maltais aussi bien que l’Anglais qu’il a appris en 6 mois et s’y attelait. Pour lui, apprendre le Maltais était un moyen supplémentaire de s’intégrer et de pouvoir rester dans ce pays qu’il aime.
L’enfant est dorénavant scolarisé à la maison, suit le programme en ligne sur le web de l’Education Nationale Française, avec pour chance, que sa maman soit une ancienne professeure et qu’elle soit actuellement mère au foyer, suite à une nouvelle naissance.
Depuis lundi 27/10/14, certainement pour se dédouaner, la maman reçoit un SMS par jour, en langue Maltaise, précisant l’absence de l’enfant :
Or et bizarrement, l’absence de l’enfant n’a pas été indiquée à la Maman le lendemain (23/10/14) de l’éviction de l’enfant de l’école par son directeur, ni le surlendemain (24/10/14), ni le sur-surlendemain (25/10/14), alors que le 22/10/14, date de la réunion, la maman recevait un SMS précisant que l’enfant était absent et pour cause, il était dans le bureau du directeur avec ses parents, avant de se faire définitivement renvoyer de l’école.
Ce courrier se veut explicatif et être un report de ce qui s’est dit et passé lors de la réunion du 22/09/2014 et chaque lecteur pourra apprécier avec sa propre analyse, ce qu’il s’est passé ce jour là, car les parents restent dubitatifs dans cette affaire.
Nous pensons aussi que ce nationalisme est inquiétant, quant à la justice de ce pays.
A titre personnel, nous pensons qu’au vu du nombre de sites archéologiques, parcs de jeux, stations d’épuration, routes, décharges, restaurants même, etc. situés sur le territoire Maltais, financés entre 75% et 85% par l’Union Européenne, donc par nos deniers également, confirment que oui les Maltais sont bien des Européens, en tout cas, ils profitent tout à fait des subventions Européennes et oui, l’enfant avait tout à fait le droit d’accéder à l’enseignement Maltais, son transport jusqu’à/depuis l’école et au respect/la protection de sa personne.
C’est aussi le pays où il y a le plus de travail dissimulé, et donc le moins d’impôts qui rentrent dans les caisses de l’Etat (et donc dans les caisses de l’Europe). Tous les Maltais ont un field (un champs) qui leur permet de vendre en direct leur propre production depuis leur garage, ou un garage qu’ils transforment la nuit tombée en carrosserie, en ateliers de mécaniques ou en menuiserie, lorsque ce n’est pas en plein jour, qu’une partie de leur maison est transformée en salon de coiffure ou en institut de beauté, en atelier de couture, en garderie d’enfant, connu du « bouche à oreille » Maltais.
De par la superficie de son territoire, Malte est certainement le pays qui reçoit le plus d’aides de l’Europe au kilomètre carré.
A ce stade du niveau de subvention, on peut ne plus parler d’aides, mais de vie sous perfusion à volonté au détriment des autres habitants des teritoires Européens.
On peut donc tout à fait expliquer Malte soit le pays qui ait enregistré le plus fort taux de croissance de tous les pays Européens, l’année dernière.
Resteront-ils dans l’Union Européenne une fois que cette dernière leur aura financé la remise à neuf de leur pays et qu’il n’y aura plus de deniers à en récupérer ?
Pour plus d’informations, vous pouvez nous contacter à l’adresse email suivante marchandjeanluc@yahoo.fr
Pièces jointes : photos annotées – Note : tous les sites subventionnés par l’Europe n’ont pas été répertoriés et photographiés, car il y en a une multitude d’autres sites.