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Un peu de R-E-S-P-E-C-T.. Bordel !!

Ca y est, ma bonne humeur et esprit de réconciliation n’auront pas duré très longtemps.

On dit que "le respect, ça se mérite".

Notre "élite" de dirigeants mégalomanes, exige notre respect aveugle et sans condition. Mais alors, qu’est-ce que les citoyens doivent faire pour être respectés ?

D’abord, permettez-moi de leur dire (à tous ces "serviteurs de l’Etat" ) que nous, les citoyens, nous ne leur devons rien que notre mépris le plus total. Leur vanité est à la hauteur de leur vulgarité. Ces "professionnels du pouvoir" ne sont que des parasites de la société et ils disent et font n’importe quoi pour leur seule gratification.

Le respect, pour avoir un sens, doit être réciproque. Alors que constatons-nous, quotidiennement, de la part de ces "dirigeants" ?

La débauche dans l’indulgence, complaisance, égoïsme, ambition et opportunisme, et de la négligence du devoir pour lequel ils sont élus : celui de la défense du bien-être et des intérêts de tous.

Leurs seule préoccupation (et "stratégie") est celle de défendre "leurs" intérêts : la préservation et succession du pouvoir, par un jeu de passe-passe d’illusionnistes.

Les élections municipales ? Une "farce démocratique" (encore une), prévisible.

Hollande et les remaniements ministériels (M. Valls, Premier Ministre ?). Encore une farce, prévisible aussi, et pas drôle du tout.

Le Roi "mou" Hollande (pas socialiste) dans toute sa splendeur de l’incompétence, ne fait que tenir la place chaude pour le futur "empereur" (ex : Valls, pas socialiste non plus), qui nous promettra à tous "que demain on rasera gratis", et nous nous laisserons embobiner encore une fois, et ceci jusqu’à la prochaine fois, ou un autre mégalomane incompétent (encore moins socialiste), succèdera au trône. Et ainsi de suite ; dans un le cycle éternel, les élections, promesses et mensonges, se succèdent et se ressemblent.

Comme "le sang bleu" chez les Royalistes, ces relations incestueuses, cosanguines entre l’élite du pouvoir, n’engendre que la dégénérescence, médiocrité, et l’inertie intellectuelle et mentale, d’une classe persuadée d’être "supérieure, née pour régner". Ils ont compris depuis longtemps "que le ridicule ne tue pas".

"Rome (le monde) brûle" et ces psychopathes nous jouent de la flûte.

Ils se foutent et se moquent de nos têtes, de nous, les citoyens.

Quand comprendrons-nous ? Quand commencerons-nous à avoir confiance en nous-mêmes, au lieu de déléguer notre pouvoir à des gens qui ne défendent que leurs intérêts et celles d’une minorité privilégiée ? Quand commencerons-nous à leur dire clairement notre mépris pour tout ce qu’ils représentent ?

On dit aussi (pas moi) "qu’on n’a que ce qu’on mérite"

Il faudra bien qu’un jour notre léthargie et naïveté crédule cèdent la place au raz le bol, à la colère, à la révolte et à la désobéissance civile.

Il serait temps.

Seulement alors, on retrouvera notre respect et dignité.

ADSkippy (finalement je me sens mieux avec le "feu au ventre").

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« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Il n’y a pas de moyen plus violent de coercition des employeurs et des gouvernements contre les salariés que le chômage. Aucune répression physique, aucune troupe qui matraque, qui lance des grenades lacrymogènes ou ce que vous voulez. Rien n’est aussi puissant comme moyen contre la volonté tout simplement d’affirmer une dignité, d’affirmer la possibilité d’être considéré comme un être humain. C’est ça la réalité des choses.

Henri Krazucki
ancien secrétaire général de la CGT
Extrait sonore du documentaire de Gilles Balbastre "Le chômage a une histoire",

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