
Le 27 janvier, le président élu frauduleusement au Honduras a prêté serment dans le stade national de Tegucigalpa.
L’endroit a été tenu secret jusqu’au dernier moment mais des opposants qui prétendaient se rendre sur les lieux ont été violemment réprimés par les forces de sécurité de l’Etat.
L’accession au pouvoir devait se faire en catimini ce qui démontre l’illégitimité de ce président de pacotille asservi aux intérêts de l’oligarchie et du grand voisin du nord.
Comme l’a déclaré le candidat évincé, Salvador Nasralla, le rejet de 80% de la population est un record mondial.
Comme de bien entendu, silence total de l’OEA, de l’ONU et de l’UE sur cette atteinte évidente à la démocratie et aux Droits de l’Homme !
Christian RODRIGUEZ