Désolé bien que pas bavard j’en écris toujours des tonnes.
Je construis ma réflexion, tout en la découvrant et la jugeant en même temps.
@Reneegate
Que cela soit sans religions ! lol.
Mais, les médias sont tendancieux tout le monde n’est pas protégé et une majorité de gens n’en non rien à foutre.
Les FNeux manipulent facilement ces derniers.
@vagabond
Toutes les fois sont exacerbées par les guerres et mises en avant dans les génocides, autant dans les livres monothéistes que dans l’histoire récente comme au Rwanda. La foi est le moteur de toute guerre. Le Stalinisme et le Maoïsme furent une foi dans les crises historiques du XX (guerre civile européenne de 1914-1945 et guerre froide de 1952-1982). Elles s’est tassée lorsque la pression historique et le feu de la guerre a commencé à s’éteindre en occident à partir des années 50. On a commencé à entendre des critiques sur le communisme même dans le camps communiste. Les communistes et socialistes dont les plus radicaux comme Roger Garaudy et Stéphane Courtois en occident qui ont retourné leur veste ont jeté la faute sur le communisme, les sociétés communistes du XX, les communistes et les héros de ces guerres. Cependant les causes des crimes du communisme sont celles de la crise historique de 1914-1945 et 1952-1982, des crimes de guerres et non des génocides. La vie quotidienne (phénomène sociologique) de l’URSS a subit les pires contraintes historiques. La foi a servit de placebo.
Par ailleurs, Toute foi a son culte. Staline (dans le réseau des partis) comme Napoléon Ier (dans le réseau de la franc-maçonnerie) n’ont pas voulu le culte de personnalité. Il l’ont cautionné parce que ce fut une bonne propagande dans ces guerres. Après guerre Staline qui a vu le danger de la guerre froide initié par les Américain, a cependant autorisé des disciplines qui étaient interdites dans les années 1930. Il a aussi condamné Lyssenko mais le maïsophile Kroutchev, qui n’a rien vu du danger de la guerre froide et du lyssenkisme, l’a pris sous son aile.
Courtois parle de totalitarisme autant pour l’idéologie communiste du XX que de l’islamisme du XXI.
Or, le premier est le fruit d’une crise historique et le second est le fruit d’un long processus sociologique comme toutes les religions.
Les périodes progressistes du monde musulman sont l’empire abbisades et l’Espagne au XII.
L’analogie réside seulement dans le fait que les sociétés communistes (soviétiques, chinois, cubaine, vietnam...) et les sociétés du monde islamisé sont des sociétés où les phénomènes communautaires caractérisent la société. Dans les pays occidentaux, ce sont les phénomènes professionnelles (propriété des moyens de production) qui caractérisent la société.
Mais, l’impérialisme y voit que force a exploité sinon des peuples inutiles à exterminé comme de "mauvaises" herbes dans un jardin. De là, Bolchevik, Maoïste et Islamiste ont les mêmes tactiques contre la mondialisation. Mais, la foi communiste (le pape stalinien Roger Garaudy en France) produit de l’histoire est amené à disparaître une foi le feu de la guerre éteinte (ce qui fut fait) tandis que les croyances religieuses sont maintenues comme le cas en Iran et tous les pays islamistes où la charia fait loi.
Toutes les religions ont d’ailleurs besoin de pression historiques et sociologiques afin de perdurer.
Les religions monothéistes ont été des religions impérialistes.
Comme on le remarque c’est plutôt les philosophes naturalistes immanents (les aristotéliciens dont Thomas d’Aquin, Averoes et Giovani Bruno) et matérialistes (Démocrite, Epicure, Lucrèce, Cyrano de Bergerac, le Curé Meslier, Diderot...) qui se sont fait chasser et calomnier par les religieux parce que les premiers ont dévié de la foi orthodoxe c’est à dire du Dieu tout puissant, parce que les derniers rejettent Dieu dans les manifestations de la nature et de la société.
Celui qui croit en une transcendance absolue ne veut croire en rien à part ces illusions. Alexandre Zinoviev (matérialiste dialectique) et Marc Silberstein (matérialiste évolutionniste) se disent quant à eux croyant athée.
Jean Meslier était curé et philosophe matérialiste cela ne l’a pas empêché de croire sans Dieu. Pour paraphraser, le généticien et marxiste JBS Haldane : "Quand je dis « je crois », je n’entends pas ces mots au sens en lequel un chrétien fervent les utilise [...]. J’entends le sens ordinaire [...]. C’est-à-dire que j’agis, et propose d’agir, sur la base de l’idée que le matérialisme est vrai. Mais je suis prêt à examiner des preuves du contraire. Et je ne suis certainement ni choqué ni énervé que l’on critique ou doute de la vérité du matérialisme."
Pour Jean-Jacques Rousseau ami de Diderot (même lorsqu’ils se font la gueule à cause d’amalgame malheureux), la foi est dans son coeur et non dans le cri.
A la Renaissance, la religion a justement cautionné l’esclavagisme avec des arguments bibliques.
L’histoire du monde musulman n’est pas néant d’esclavagisme bien que cette esclavagisme soit d’abord de tendance antique mais ça n’a pas empêché à la vente de nègre aux blancs pour les plantations américaines.
Victimes et Bourreaux : C’est comme chez les premiers chrétiens.
Or, dans l’histoire, de nombreuses victimes de Rome comptaient comme chrétiens par les papistes sont en réalité des victimes des chrétiens.
Il faut arrêter avec ces mythes de victimologie dont toutes les religions monothéistes revendiquent.
Il est simple de pratiquer une religion dans une société laïque mais très contraignant de pratiquer de la même manière sa religion dans une société religieuse.
Mais, la laïcité est depuis les années 90 mises à mal par les religions de toutes confessions.
Depuis, il y a de nombreuse intrusion en politique, en science et dans l’éducation nationale.
Le pouvoir religion a pris du poids de la bête suite au démantèlement de l’URSS ; et aux guerres initiées par les impérialistes contre leurs anciens alliés islamistes devenu encombrant.
Des références avec de nombreuses références :
* Jean-Paul Gouteux. La foi : une histoire culturelle du mal : en danger de croire, Paris et Montréal (Québec), l’Harmattan, 1998
* Jean Paul Gouteux. Apologie du blasphème : en danger de croire, Paris, Éditions Syllepse, 2006
=> La seconde édition avec un postface de Marc Jarry & Marc Artzrouni en hommage à Jean-Paul Gouteux : la randonnée d’un biologiste au pays des mathématiques est sorti sous le titre de La religion contre l’humanité : Apologie du blasphème, Éditions Matériologiques, 2011.
* Cyrille Baudoin et Olivier Brosseau. Enquête sur les créationnismes. Belin. 2013.
Il faut faire attention aux amalgames et arrêter l’idéalisme dégoulinant pour aller vers un véritable humanisme c’est à dire à la compréhension réelle des sociétés et de l’histoire.
Contrairement à ce que les musulmans de la vie quotidienne perçoivent en premier lieu, la lutte pour Palestine n’a rien de religieux. Les religieux (et leurs complices de l’impérialisme) font sciemment un amalgame pour renforcer non la cohésion autour des palestiniens mais pour renforcer la cohésion autour de l’islam, c’est à dire autour de Dieu sous couvert de la Palestine.
Pour le cas de la Palestine, la population n’est pas sous une pression d’un phénomène historique comme il en a eu entre 1618-1648 ; 1789-1815 ; 1914-1945 ; 1952-1982 mais sous la pression de la mondialisation, c’est à dire d’une colonisation impérialiste. Dans ce cas, le génocide comme avec les indiens, les arméniens, les yiddishes, les slaves (dont en Yougoslavie) et autres ethnies (toutes de société type communautaires) est plus que probable. Le pouvoir impérialiste Israélien applique une solution finale sur le long terme comme il aurait dû l’être avec les juifs sous le III Reich si il n’y avait pas eu les communistes et les soviétiques.