Madame Salamé, qui partage sa vie, c’est-elle qui le dit, avec Raphaël Glluksmann, ce pote, entre autres, des fachos ukrainiens, doit sa turpide carrière dans le bocal médiatique dominant beaucoup, énormément même, à son papa Ghassan Salamé, ministre au Liban, de Trafic Hariri, Président de la Conférence de la Francophonie, professeur à Sciences PO rue des Saints Pères, conseiller de Kofi Annan, et aujourd’hui de Guterres pour la Lybie. Le coup de pouce de papa pour la mettre sur orbite débuta chez Jean Pierre Elkhabbach, à la chaine parlementaire. Ensuite son insignifiance, sa médiocrité et son appétence pour les clichés et les stéréotypes ont fait le reste. Les messages des bonimenteurs médiatiques doivent être reçus cinq sur cinq avant même d’être reçus, c’est la seule chose qui est demandée aux commis médiatiques, par les fondés de pouvoir des patrons des merdias de masse.