Auteur Maxime VIVAS

RSF adjure l’UE de l’aider à renverser Castro.

Maxime VIVAS
Mercredi 2 février 2005 Dans une lettre du 27 janvier aux représentants des 25 Etats membres de l’Union Européenne, Reporters Sans Frontières avait demandé l’aggravation des sanctions prises en 2003 par l’Europe à l’encontre de Cuba. Désavoué le 31 janvier 2005 par les 25 ministres des Affaires étrangères de L’Union Européenne, Robert Ménard, patron de Reporters Sans Frontières, a adressé, dès le 1er février, une lettre ouverte au Président de la Commission européenne (voir : (…)

Amnesty international éclaboussée par RSF via Le Monde

Maxime VIVAS
Pour le Monde du 21 janvier 2005, RSF est « une sorte d’Amnesty International spécialisée dans la liberté de la presse. » La comparaison est dépréciative pour Amnesty et finalement désastreuse pour RSF et son indéfectible soutien : le Monde. On se souvient du « Nous sommes tous Américains » de Jean-Marie Colombani au lendemain du 11 septembre (2001 ! Le 11 septembre 1973 où périrent Salvador Allende et la démocratie chilienne avec la complicité active des USA n’inspira aucun : « Nous (…)

Les otages, Reporters Sans Frontières et l’US Army.

Maxime VIVAS
Au mois de décembre 2004, Mohammed Al Joundi, accompagnateur syrien des journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot, les ex-otages français en Irak, a renoncé à déposer une plainte contre l’armée US pour mauvais traitements. Le secrétaire général de Reporters Sans Frontières (RSF), Robert Ménard avait su l’en dissuader en déclarant : « Ce n’est pas une bonne idée. Ce serait contre-productif. Je comprends M. Al Joundi mais attendons qu’ils (les journalistes) soient libérés... » (…)

Le PCF, les USA et Cuba.

Danielle BLEITRACH, Maxime VIVAS
[ Moins que jamais le PCF doit s’appuyer sur des dossiers baclés, sur l’ignorance, sur les stéréotypes véhiculés par les maîtres du monde, des armes, des circuits financiers et de propagande, céder au tropisme médiatique. Et de ce point de vue rien n’est plus intolérable que la manière dont ces dernières années le PCF et le journal l’humanité se sont conduit envers Cuba. Ils ont prétendu faire payer à ce petit peuple leur "aveuglement" sur l’URSS et se faire sur son dos une vertu (…)

Reporters sans frontières ou l’art de dédouaner les USA.

Maxime VIVAS
Ils ont tous été tués par l’armée américaine. Ils ont tous été tués par l’armée américaine. Le directeur des opérations pour l’information de l’agence Reuter au Portugal a rendu les Etats-Unis responsables de la mort de trois de ses professionnels en Irak. "Ils ont tous été tués par l’armée américaine", a-t-il déclaré. Selon l’armée américaine, le cameraman Dhia Najim travaillant pour Reuter est mort le 1er novembre dans des échanges de tirs entre les Marines américains et des insurgés. (…)

Fête de l’Huma 2004, par Viktor Dedaj, Maxime Vivas et Michel Collon.

Maxime VIVAS, Viktor DEDAJ, Michel COLLON
Les Sans-Logis de la Lutte Finale Par Viktor Dedaj Bonjour, Pourquoi nous ont-ils jeté à la rue ? Nous n’avons rien fait de mal. Toute notre vie, nous l’avons consacrée à défendre des causes où nos noms ne figuraient pas. Comme ils nous l’avaient appris. Certes, nous n’avons pas toujours été faciles à "gérer" comme on dit, mais globalement, nous avons été de bons élèves - je crois. Indisciplinés, mais studieux. Alors pourquoi nous ont-ils jeté à la rue ? Pas facile d’être un (…)

Quand Gilles Martinet parle de Battisti, de Gaulle s’attriste.

Maxime VIVAS
En une du Monde du 8 juillet 2004, un réquisitoire de G. Martinet contre Battisti. Je ne traiterai pas ici du droit légitime à l’exposé des opinions sur la violence, mais de distorsion des faits, d’ignorance, d’amalgame, de troncature de documents, d’insinuations malveillantes et de mensonges. Le plus grave d’abord : Martinet prétend démontrer sur deux longs paragraphes que l’asile offert par la France concernait les Italiens qui n’ont pas commis de crime de sang. Il se réfère à une (…)

Berlusconi, Chirac : deux hommes intègres face à Battisti.

Maxime VIVAS
La France a promis à l’Italie une livraison d’une quinzaine d’hommes et de femmes réfugiés chez nous. Battisti d’abord. Juillet 2004 Il y a dix-neuf ans, par la voix de son Président François Mitterrand, la France offrait l’asile aux anciens militants rescapés de la crise italienne des « années de plomb ». Ce qu’on a appelé la « Doctrine Mitterrand » a engagé la République, les services de justice et de police sous les gouvernements de Mauroy, Fabius, Chirac, Rocard, Cresson, (…)

Les larmes de Romain Goupil.

Maxime VIVAS
Devant les ruines de Bagdad, caméra en main, Romain Goupil se demande pourquoi il a voulu ça. Un "désastre", dit-il. Les va-t-en-guerre déchantent. Kouchner, Bruckner, Goupil déposent les armes, nous dit Télérama (N° 2839, 9 juin 2004). Goupil confesse aujourd’hui que « cette guerre est un désastre, une catastrophe absolue ». Il avoue que « l’erreur a été de croire que la démocratie allait s’installer facilement, que la liberté pouvait s’imposer. » Romain Goupil, tous les hommes de coeur (…)

Urgent : La vérité sur Cesare BATTISTI.

Maxime VIVAS
10 Mai 2004 Fred Vargas, auteur à succès de polars et chercheuse reconnue au CNRS, est une des principales coordinatrices des comités de soutien à Cesare Battisti. Elle a travaillé (le jour, la nuit) à la rédaction d’un livre urgent : « la vérité sur Cesare Battisti. » aux éditions Viviane Hamy, éditrice qui s’est également engagée dans ce combat. Livre urgent, car il est possible que Battisti quitte la France ce mois-ci, menotté, pour finir ses jours en prison en Italie. Le livre, qui (…)

Une palpitante histoire d’espionnage et de terreur en 4 chapitres.

Maxime VIVAS
1- Le terroriste guatémaltèque. Nous sommes en 1993. Percy Alvarado, un Guatémaltèque, est membre de la Fondation Nationale Cubano-Américaine (basée à Miami, la FNCA oeuvre par tous les moyens pour renverser le gouvernement Cubain). Il a reçu de ses chefs l’ordre de faire sauter le grand cabaret Tropicana de La Havane, puis des hôtels, des cinémas et des théâtres. L’objectif est de faire des milliers de morts. Percy Alvarado dispose d’une vedette pour aller chercher les explosifs. Il les (…)

Libération supplétif anti-cubain de RSF.

Maxime VIVAS
Libération, 27 mars 04. « A Cuba, une machine à tuer toute critique » par Gérard Dupuy Le journaliste présente « Cuba livre noir. » de Reporters Sans Frontières. D’emblée, il disqualifie ainsi les amis de Cuba : étranges défenseurs sans scrupules d’un régime sinistre qui bénéficie de leur sagacité à éclipse, amis patentés de Castro auxquels s’ajoute la masse des ignorants. En remplaçant « Castro » par « Bush », on pourrait retourner le paquet d’injures à l’expéditeur qui se révèle : (…)