RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Dimanche : dans le monde des caves on appelle ça un cas de conscience, nous on dit un point d’honneur.

Comme me le disait ma mère qui était croyante : - Mais tu penses trop, fiston !

Voilà, je vous expose ma couille : je dois voter dimanche dans un canton où, selon un schéma plutôt commun, le binôme socialiste affronte celui de la droite.

Si, comme dans l’Allier, le travail revenait à un binôme conduit par un communiste (le président sortant Jean-Paul Dufrègne) la question que je me pose serait moins épineuse : je voterais pour lui, avec ma compagne, c’est-à-dire en binôme à deux voix.

Ce candidat conclut l’entretien qu’il donne à l’Humanité par cette phrase :

- "Dimanche, ce sera soit la droite, soit une équipe de gauche qui a fait ses preuves, qui porte un projet de vie et de société plus juste, plus solidaire, plus dynamique et ambitieux."

Bien. Comme il s’agit de rassembler sur le second tour, il est compréhensible qu’il passe sur les restrictions des subventions accordées par le pouvoir aux collectivités locales, qui se traduisent non pas chez lui peut-être, mais dans la plupart des cas, par une hausse des impôts locaux assortie de coupes dans les soutiens aux actions sociales.

Et comme je ne suis pas un militant en campagne électorale, je me dis cependant que ce silence ne m’avance guère dans ce que je dois affronter dimanche. Parce que la désignation "équipe de gauche" pour ceux que je devrais aider est problématique.

Je connais pourtant la consigne de vote : "La gauche doit faire barrage à la droite antisociale", "... un appel à la mobilisation qui n’a rien d’un chèque en blanc pour le gouvernement, mais qui vise à protéger les politiques publiques locales pour les populations."

Et c’est arrivé ici que ma gamberge commence. Parce qu’il s’agit d’aller voter pour des candidats dont la politique nationale ne protège pas les politiques publiques locales pour les populations. À un point tel qu’elle entendait purement et simplement les supprimer.

Mon daron, lui, ne se serait pas gratté pour tomber les fadés.

Bon ! j’arrête de reufleuchir est j’verrai ben c’qu’en dira ma gonzesse qu’y n’me restera plus qu’à coller.

URL de cet article 28290
  

Ukraine : Histoires d’une guerre
Michel Segal
Préface Dès le premier regard, les premiers comptes-rendus, les premières photos, c’est ce qui frappe : la « guerre » en Ukraine est un gâchis ! Un incroyable et absurde gâchis. Morts inutiles, souffrances, cruauté, haine, vies brisées. Un ravage insensé, des destructions stériles, d’infrastructures, d’habitations, de matériels, de villes, de toute une région. Deuil et ruines, partout. Pour quoi tout cela ? Et d’abord, pourquoi s’intéresser à la guerre en Ukraine lorsque l’on n’est pas même ukrainien ? (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

J’ai vu des démocraties intervenir contre à peu près tout, sauf contre les fascismes.

L’Espoir (1937) - Citations de André Malraux

"Un système meurtrier est en train de se créer sous nos yeux" (Republik)
Une allégation de viol inventée et des preuves fabriquées en Suède, la pression du Royaume-Uni pour ne pas abandonner l’affaire, un juge partial, la détention dans une prison de sécurité maximale, la torture psychologique - et bientôt l’extradition vers les États-Unis, où il pourrait être condamné à 175 ans de prison pour avoir dénoncé des crimes de guerre. Pour la première fois, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, Nils Melzer, parle en détail des conclusions explosives de son enquête sur (...)
11 
Lorsque les psychopathes prennent le contrôle de la société
NdT - Quelques extraits (en vrac) traitant des psychopathes et de leur emprise sur les sociétés modernes où ils s’épanouissent à merveille jusqu’au point de devenir une minorité dirigeante. Des passages paraîtront étrangement familiers et feront probablement penser à des situations et/ou des personnages existants ou ayant existé. Tu me dis "psychopathe" et soudain je pense à pas mal d’hommes et de femmes politiques. (attention : ce texte comporte une traduction non professionnelle d’un jargon (...)
46 
Hier, j’ai surpris France Télécom semant des graines de suicide.
Didier Lombard, ex-PDG de FT, a été mis en examen pour harcèlement moral dans l’enquête sur la vague de suicides dans son entreprise. C’est le moment de republier sur le sujet un article du Grand Soir datant de 2009 et toujours d’actualité. Les suicides à France Télécom ne sont pas une mode qui déferle, mais une éclosion de graines empoisonnées, semées depuis des décennies. Dans les années 80/90, j’étais ergonome dans une grande direction de France Télécom délocalisée de Paris à Blagnac, près de Toulouse. (...)
69 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.