Hallali pour les Gusanos

Les résidus nauséabonds qui ont fui la révolution cubaine que sont les gusanos Machover, Valdes, Zuniga ou autre Muller, trop lâches pour affirmer alors leur admiration pour Batista, sont venus s’installer confortablement en France et n’ont cessé depuis, de cracher leur bile de frustrés sur les dirigeants historiques de la Révolution cubaine.

Plus anti-castristes qu’eux, tu meurs !

Plus obscènes qu’eux tu meurs aussi !

Nous les connaissons bien ces olibrius. Ils ont fait de leur psychose anti-castriste obsessionnelle, viscérale, leur fond de commerce. Ils ne peuvent se prévaloir du moindre soutien du peuple français. Ils auraient pu rester au fond des poubelles de l’histoire si les médias et certains politiques (mairie de Paris dirigée par Delanoë, notamment) n’avaient pris fait et cause pour leur croisade contre la révolution socialiste cubaine tant honnie par l’idéologie ultra-libérale dominante. Autant vous dire que ce qu’ils racontent est tellement grossier et ridicule qu’on finit par en rire. C’est consternant ! Mais la calomnie, sans cesse relayée par les "merdias" serviles, finit par se lover dans les têtes crédules. Leur "Appel contre la visite de Raoul Castro en France" (1) est pathétique. En dehors du fait que c’est un tissu d’insultes, de chiures de gusanos, qu’il n’est même pas nécessaire de commenter (mieux vaut tirer la chasse), l’"Appel" apparaît comme une sorte de dernier cri, de sursaut désespéré, comme le râle ultime de l’agonisant face à sa mort prochaine. La libération des Cinq, le rapprochement diplomatique et les négociations en cours entre Cuba et les Etats-Unis, leur avaient déjà fichu un sale coup. Et voilà que la France invite officiellement le Président Raoul Castro, c’est le coup de grâce ! Si la France et l’Europe finissent enfin par admettre que Cuba est fréquentable, alors pour eux tout s’écroule ! Ils paniquent, car leur fond de commerce fond comme neige au soleil. Adieu les promotions bidons, les interviews complaisantes, adieu les privilèges médiatiques, les aides publiques... Manque plus que la levée du blocus et ce sera l’hallali ! Alors dans un effort désespéré, et en poussant très fort, ils ont réussi à déféquer assez d’étrons répugnants pour les répandre dans les chiottes de la "maison des journalistes" hébergée par Médiapart. Qu’en pense Edwy Plenel ?

Aussi, en dehors de la France Officielle, nous serons très nombreux les 1er et 2 février à saluer la visite historique du Président Raoul Castro en France, et lui manifester notre totale solidarité.

Viva Raoul, Viva Fidel,
Viva Cuba libre !

1) https://blogs.mediapart.fr/maison-des-journalistes/blog/200116/appel-contre-la-visite-en-france-de-raul-castro

COMMENTAIRES  

24/01/2016 20:25 par legrandsoir

A force de sortir précipitamment leurs valises à chaque annonce de l’imminence de la « chute du régime castriste » et de les ranger aussitôt devant le constat amer d’une fausse alerte, les anticastristes primaires sont probablement les seuls à posséder des valises usées jusqu’à la corde mais qui n’ont jamais servi.

Voici un enregistrement effectué il y a deux ans au lendemain de la passation de pouvoir de Fidel Castro à Raoul : « ah, ça y’est, c’est la fin du régime ». Le léger tremblement d’émotion à la fin sont dues aux larmes de joie versées par Jacobo Machover, anticastriste primaire et notoire, qui écrivait au même moment dans le Nouvel Observateur que Fidel Castro « était probablement déjà mort ». Comme on peut le constater, Fidel était bel et bien déjà mort - de rire.

Et voici maintenant un autre enregistrement (prêtez bien l’oreille) : « ah, ça y’est, c’est la fin du régime ». Celui-ci a été effectué lors de l’annonce de la « dédollarisation » de l’économie Cubaine en 2004.

Comment s’en lasser ?

1996 - adoption de la loi US Helms-Burton : « ah, ça y’est, c’est la fin du régime ».
1993 - « dépénalisation du dollar » : « ah, ça y’est, c’est la fin du ».
1992 - adoption de la loi US Torricelli : « ah, ça y’est, c’est la fin ».
1991,1990,1989 - chute de l’Union Soviétique et introduction du tourisme de masse à Cuba : « ah, ça y’est, c’est la ».
1975 - intervention militaire cubaine en Angola pour repousser les troupes racistes sud-Africaines. « ah, ça y’est ... ».
1966 - adoption de la loi sur l’immigration « Cuba Adjustment Act » : « ah, ça... ».
1961,1960 - premières tentatives de sabotage économique de la part des Etats-Unis : « ah... »
1959 - Révolution cubaine : « rassurez-vous, Mister President, cette révolution ne durera pas 6 mois »

L’anticastriste primaire annonce la « fin du régime » à Cuba comme l’idiot du village saharien annonce chaque matin la pluie. Oui, je sais, même au Sahara il arrive de pleuvoir, et peut-être qu’un matin il pleuvra pour de vrai, mais ça ne rendra pas l’idiot du village plus intelligent pour autant. Alors, lorsque les autorités cubaines ont annoncé récemment la suppression de 500.000 postes du secteur public d’ici le mois de mars 2011, que croyez-vous qu’il arriva ?

Faire et refaire la même erreur pendant cinquante ans, ça doit bien avoir un nom ?

Le modèle cubain : « l’annonce de ma mort est très exagérée »
http://www.legrandsoir.info/Le-modele-cubain-l-annonce-de-ma-mort-est-tres-exageree.html

25/01/2016 20:29 par Catherine

C’est peut-être Raùl qui n’aurait pas dû accepter de venir pour ne pas se salir les pieds...
En tout cas, ce n’est pas sur Mediapart qu’on verrait ceci :

http://syrianperspective.com/2016/01/syrpers-man-of-the-year-for-2015.html

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