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Elections, démocratouille et gilets jaunes

1) Celui qui ne vote pas perd le droit de parler ensuite.
2 Celui qui a voté pour un candidat qui a été battu doit respecter « le verdict des urnes » et attendre le prochain scrutin.
3) Celui qui a voté pour le candidat élu n’a pas le droit de le critiquer après (« Il ne fallait pas voter pour lui »).

Dans tous les cas, nous sommes libres de nous exprimer le temps du passage furtif dans un isoloir.
Le reste du temps, nous devons nous taire et subir.

« Le peuple anglais pense être libre, il se trompe fort : il ne l’est que durant l’élection des membres du parlement ; sitôt qu’ils sont élus, il est esclave, il n’est rien [1]. Dans les courts moments de sa liberté, l’usage qu’il en fait mérite bien qu’il la perde ». Jean-Jacques Rousseau a écrit ça en 1762 ( « Du contrat social ou Principes du droit politique »).

Et il ajoutait par ailleurs : « Si donc le peuple promet simplement d’obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple ».

Vincent MORET du GILET

Note [1] Rousseau pense évidemment à la phrase de Macron sur les gens qu’on croise dans les gares.

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« Arabesque américaine » : Printemps Arabe ou révolutions colorées fomentées par les USA ?
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Souvent évoqué, parfois décrié, mais rarement analysé, le rôle des États Unis dans les révoltes de la rue arabe fait enfin l’objet d’un travail sérieux, rigoureux et fort bien documenté. Arabesque américaine* est l’ouvrage d’Ahmed Bensâada, un chercheur algérien établi à Montréal. Dès les premières lignes, l’auteur annonce la couleur « une chose est évidente : le mode opératoire de ces révoltes a toutes les caractéristiques des révolutions colorées qui ont secoué les pays de l’Est dans les années 2000. Comme il (...)
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"Les Etat-Unis eux-mêmes, par leur tendance croissante à agir de manière unilatérale et sans respect pour les préoccupations d’autrui, sont devenus un état voyou."

Robert MacNamara
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Reporters Sans Frontières, la liberté de la presse et mon hamster à moi.
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