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Comparaison n°1 : La révolution des retraites au Venezuela

Ce qui est systématique avec l’Amérique Latine, à chaque fois que le gouvernement français fait une connerie là haut il font l’inverse avec une différence de quelques semaines ou mois.

Aujourd’hui en ce temps de sabrage de la retraite en France où le gouvernement Sarkozy-Medef nous prépare des retraites de misère comparons avec ce qu’il se passe au Venezuela.

Lors d’un acte de remise des retraites à des pêcheurs le commandant Chávez a fait le point sur ce qu’elles étaient avant la révolution et ce qu’elles sont maintenant.

En 22 ans seul 390 000 pensions furent accordées en dépensant 26 millions de bolà­vars. Maintenant en 11 il y a eu 1 200 000 pensionnés ce qui a coûté 6 175 millions de bolà­vars.

En 1991 et 1992 la caisse de retraite était au bord de la faillite, il y avait risque de privatisation et les pensions n’étaient plus payées. Les retraité protestèrent alors et la bourgeoisie leur envoya la police qui les frappa ainsi que la baleine (véhicule anti-émeute avec un jet d’eau).

A l’époque la retraite était de 3000 bolà­vars (le salaire minimum était de 10 000 bolà­vars) de plus elles étaient gelées. Aujourd’hui les pensions sont à 1 223 bolà­vars soit 1 200 000 bolà­vars anciens (la dévaluation ayant retiré trois zéros) de plus elles sont égale sur le salaire minimum qui augmente tout les ans et est le plus haut d’Amérique Latine.

Le gouvernement a aussi pris comme mesure de compléter le nombres de cotisations pour ceux qui n’en ont pas le nombre suffisant pour toucher leur retraite (ce qui arrivait souvent car les patron ne payaient pas les cotisations où ne déclaraient pas les travailleurs).

Le but est qu’aucune personne âgée ne soit sans pension.

Chávez a déclaré que ceci était seulement possible dans le socialisme.

En Bolivie c’est encore mieux c’est 58 ans la retraite

Choisit ton camps camarade !

Sources :

Vidéo de l’acte de remise de pension
Sistema de pensiones iba a ser privatizado en la cuarta República

En 11 años la Revolución ha triplicado entrega de pensiones de vejez

Un acto de justicia inédito

A suivre ...

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« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

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