RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Insoumission au Parlement et dans la rue, partout !

23 septembre et après : Insoumission radicale et durable à Macron et à l'oligarchie financière, au Parlement et dans la rue, partout ! ON NE LÂCHE RIEN !

La violence vient principalement d’en-haut, des élites et pas des syndicalistes ou de citoyens du peuple-classe. Il faut dénoncer les lamentables mensonges des pitoyables suppôts des élites oligarchiques . La violence est d’abord systémique et portée par des acteurs bien placés dans les rapports sociaux qui clivent la société civile. Les intérêts privés des firmes sont pris en charge contre l’intérêt général. Les services publics travaillant pour les besoins sociaux cèdent face au service néolibéral de l’oligarchie et des riches . Cette violence est portée avec une force importante par la caste politico-économique et ses soutiens politiques (droite mais pas que), économiques (Medef), médiatiques (médias "mainstream").

Cette violence n’est pas qu’une question de mots violents mais surtout de violence économique (moins perceptible) et de violence policière (moins connue de celles et ceux qui ne critiquent que les amendes pour mauvais stationnement). Combinaison des deux formes principales lourdement massives auxquelles s’ajoutent d’autres dominations et oppressions : racisme, sexisme, intégrisme religieux, etc. Ce qu’on nomme pluri-émancipation pour en sortir.
Cette violence se drape derrière le fétichisme de l’économie, de la croissance, de la libération des forces économiques de l’investissement qui comme par hasard veulent transformer tout ce qui protège les travailleurs en facilités (code des facilités) pour mieux faire travailler à bas salaire, mieux licencier, mieux casser les règles protectrices issues des combats des anciens syndicalistes, anciens socialistes, anciens communistes.

Nous ne ne croyons pas que M Macron apporte plus le bien commun que jadis Sarkozy. Ils sont tous les deux les vecteurs d’une casse sociale effroyable qui enrichie les riches et appauvrie les couches sociales les plus modestes et même les couches sociales moyennes. La cohésion sociale est un mensonge !

Puisque nous nous prétendons être le plus possible du côté des dominés - et pas que les plus pauvres - nous ne pourrons jamais laisser dire que le "macronisme" (si l’on accepte le terme car il suit le sarkozysme par certains aspects) sert la société dans son ensemble. L’idéologie de "Macron and co" relève d’un contre-mouvement qui est par définition réactionnaire, ce qui signifie qu’il mène une large fraction de la population en arrière vers l’insécurité sociale, la précarité, les bas salaires, le mal logement. Nous refusons le retour au XIX siècle avec l’informatique en plus !

Vive la démocratie de résistance d’en-bas et par en-bas, reliée si besoin avec la fronde parlementaire - pas de "fine bouche" ici - et loin d’une démocratie néolibérale et de facture césariste ! On ne peut se payer le luxe irresponsable de bouder le lien entre la "députation de lutte" et les manifestations populaires de rue !

Christian DELARUE

»» https://blogs.mediapart.fr/christia...
URL de cet article 32344
   
Même Thème
Le choix de la défaite - Les élites françaises dans les années 1930
Annie LACROIX-RIZ
Comment, pour préserver leur domination sociale, les élites économiques et politiques françaises firent le choix de la défaite. Un grand livre d’histoire se définit premièrement par la découverte et l’exploitation méthodique de documents assez nombreux pour permettre des recoupements, deuxièmement, par un point de vue qui structure l’enquête sur le passé (Annie Lacroix-Riz répond à Marc Bloch qui, avant d’être fusillé en 1944, s’interrogeait sur les intrigues menées entre 1933 et 1939 qui (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Il faut commencer avec la vérité. La vérité est la seule manière pour arriver à quelque chose.Toute prise de décision basée sur des mensonges ou l’ignorance ne peut pas être une bonne décision.

Julian Assange

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.