Ça commence comme un roman d’espionnage : un fonctionnaire du Département d’Etat, affecté à l’ambassade de Paris approche Hernando Calvo Ospina (grand ami de Cuba et du Grand Soir) au bar d’un élégant hôtel parisien.
Cinq jours plus tôt, il l’avait abordé lors d’un cocktail à la Maison de l’Amérique Latine... Il disait le connaître par ses livres et ses articles sur Cuba.
Il buvait du vin. Beaucoup. Trop.
Après quelques échanges banals, il posa des questions sur les Forces Armées Révolutionnaires (FAR) cubaines et sur le ministère de l’intérieur de Cuba. Puis, il proposa à Hernando de faire des « recherches » payées et il lâcha le nom de deux « chercheurs » cubains qui travaillaient pour les Yankees en Espagne.
La suite, racontée par Hernando Calvo Ospina, est à lire sur Le Grand Soir.
Théophraste R. Auteur du roman (inachevé) : « Botus et mouche cousue, hips and fuck ! »