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Sarko, vous êtes sûrs qu’il n’est plus là  ?

Depuis le 23 juillet 2012, vous ne pouvez plus bénéficier du tiers payant si vous refusez la délivrance d’un médicament générique à la place des médicaments princeps.

Depuis le 23 juillet, en cas de refus, vous devez payer vos médicaments. Pour être remboursés, vous devez envoyer la feuille de soins papier (remise par votre pharmacien) à votre caisse d’Assurance Maladie après avoir bien collé les vignettes.

Depuis le 23 juillet, c’est la punition réglementaire.

Des sources d’économies sur les génériques existent. En effet, ils sont plus chers que chez nos voisins. Trois fois plus qu’aux Pays-Bas par exemple.

Depuis le 23 juillet, les patrons des laboratoires fabriquant les génériques attendent sans angoisse. Ils bronzent, peinards, comme le prolo juilletiste qui se fait traditionnellement vider le porte-monnaie pendant ses baisses de vigilance.

Théophraste R. (Chef du service du Grand Soir : « Sarko, dégage ! », bureau : « Vivement la gauche au pouvoir ! »).

PS. Depuis le 23 juillet, je regarde de travers les inusables propagandistes du « vote utile ».

URL de cette brève 2827
https://www.legrandsoir.info/sarko-vous-etes-surs-qu-il-n-est-plus-la.html
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Commentaires
17/08/2012 à 01:04 par Sheynat

Boudhiou, j’ai cru sur le coup à une blague de Theophraste...

En fait, pour "des raisons tenant au patient"*, éviter de se faire délivrer des génériques par les pharmacies et conserver la possibilité du remboursement Tiers-payant nécessitait que le prescripteur inscrive sur l’ordonnance la formule "Non Substituable", en bien visible (et en prévenant le patient puisqu’il arrive que cette notification ne soit pas prise en compte par le pharmacien : le patient doit alors penser à le lui préciser en lui montrant ce que le médecin prescripteur a précisé sur l’ordonnance).

Je découvre grâce à cet article qu’il va falloir désormais que le prescripteur inscrive cette précision "à la main" devant chaque médoc (alors que préformaté sur fichier texte pour l’imprimer c’était bien pratique), selon le site ameli mis à jour au 13 août en faisant référence à ce Code de la Sécurité sociale :

Article R5125-54

La mention expresse par laquelle le prescripteur exclut la possibilité de la substitution prévue au deuxième alinéa de l’article L. 5125-23 est la suivante : "Non substituable". Cette mention est portée de manière manuscrite sur l’ordonnance avant la dénomination de la spécialité prescrite.

Conclusions.... :)
Si les patients sont suffisamment informés des *effets indésirables que peuvent provoquer les génériques qui n’ont de similaires aux princeps que les molécules (et non pas leurs excipients pouvant contenir des allergènes) et savent aussi que les pharmaciens préfèrent leur délivrer un produit plus avantageux pour leur commerce (le "générique") et le font la plupart du temps sans leur demander leur accord -comme précisé ici-... ils pourront toujours rajouter eux-même à la main la notification [Non Substituable] devant chaque médicament avant de présenter l’ordonnance à leur pharmacie.
Bref, encore un truc complètement inutile de la part de la sécu.

#84873 
17/08/2012 à 01:30 par Philippe Peeters

je suis, pour ma part, un fervent partisant des produits génériques, dans la mesure où ils allègent le budget de la sécu, financée essentiellement par la quote-part des travailleurs. Vu de la Belgique, où je vis, la mesure en question parait plutôt intéressante. Connaissant mal les conditions de la sécu en France, je m’interroge ...

#84874 
17/08/2012 à 14:28 par Sheynat

Ce serait le 4 avril 2012 que l’Assurance Maladie impliquant plusieurs sécurités sociales auraient signé un dispositif Tiers-payant contre Génériques avec les syndicats des pharmacies ; il s’agit de plusieurs mesures qui se seraient durcies pour relancer la vente des génériques, qui aurait baissé en cours d’année alors qu’à l’origine de cette campagne «  pro-générique », le taux de 85 % des ventes pour ces produits devait être atteint.

Non seulement la mention manuscrite et en toute lettres «  non substituable » devient incontournable pour obtenir le remboursement d’un médicament original, mais en plus les facilités du Tiers-payant ne sont plus acceptées dans certains département, obligeant le patient à avancer les frais et à remplir les feuilles de sécu pour un remboursement différé (paperasse traitée dans un délai 3 fois plus long).

Donc le contournement que j’évoquais dans mon premier post ne tient plus la route avec ces mesures drastiques qui prévoient également de sanctionner les prescripteurs...

On avait déjà pu remarquer que la mention NS même tamponnée en toutes lettres n’était pas toujours prise en compte par les pharmaciens (à l’insu du patient distrait), et que la pub pour les génériques désinforme les consommateurs sur leurs effets indésirables (contenant des sels différents pour une molécule copiée, ce qui modifie le temps de l’effet actif, et des excipients allergènes non contrôlés).

En bref la "bio-équivalence" est tronquée ce qui a des conséquences sur les normes de qualité du produit, dues en partie aux conditions de fabrications (délocalisations pour certaines grosses firmes).
Cette fois-ci il est clair qu’en plus d’être mal informé le patient va subir des contraintes limitant encore plus son choix alors que l’entreprise est principalement commerciale.

C’est, à mon avis, comme si on poussait à la mal-bouffe alors qu’il s’agit là d’ingurgiter des principes actifs au moment où l’on est le plus vulnérable (malade), ce qui est un comble.

Et la population la plus fragile est encore une fois visée (comme pour le lobbying du vaccin Grippe A) : les personnes âgées de + de 75 ans se retrouvent avec des ordonnances à rallonge, certaines doses devant être doublées pour rendre au médicament son efficacité, d’autres ajoutés pour palier aux effets indésirables (où est l’économie là -dedans ?)...
Les noms, la présentation et la couleur changent, et ce régulièrement au fil des nouveaux génériques mis sur le marché, total : déjà pas aidés par une mémoire quelque peu défaillante, ils ne savent plus ce qu’ils prennent ni pourquoi, et l’effet placebo s’en trouve tout aussi embrouillé.

Cela n’aide ni à l’économie ni à la prise en charge consciente du patient dans sa démarche de soins, pris dans une spirale où il n’est même plus un consommateur averti mais un client abusé.

A noter également que cette campagne gouvernementale favorise un marché juteux pour les labos qui produisent leurs propres génériques ainsi que les Génériqueurs (entreprises spécialisées et développées pour produire ces copies), petit détail à ne pas oublier sachant qu’elle fut décidée en fin de mandat alors que Sarkozy est très proche du boss de la firme pharmaceutique Servier, mère de la filiale des génériques Biogaran, déjà leader du marché français en 2007.

Sur le prétexte d’un coût au rabais, je n’y crois pas personnellement sachant que les tarifs des médicaments et de leurs génériques sont décidés entre les big-pharma et le gouvernement. Certes certaines ont du s’aligner sur les prix des génériques pour rester compétitives mais des pays comme la France ou la Suisse ont les prix les plus élevés sur le marché européen.

C’est donc bien un choix national qui pourrait se passer du recours systématique à la copie non conforme, voire la contrefaçon.

Tout ce que j’espère c’est que ces sanctions imparables pousseront le patient à se documenter sur des soins alternatifs, mais connaissant les habitudes de gros consommateur de certains pour ces «  drugs », souriant béatement d’une pharmacie un gros sac rempli à ras-bord de médocs, je me demande...

#84919 
17/08/2012 à 14:59 par V. Dedaj

souriant béatement d’une pharmacie un gros sac rempli à ras-bord de médocs

Cela me rappelle un jour que j’étais au fin fond d’un village à Cuba. Une grand-mère d’un age très avancé, parlant de quelqu’un qui était devait porter de gros colis, a eu cette expression : "Il est chargé comme un Français sortant d’une pharmacie".

#84920 
17/08/2012 à 23:46 par Geb.

Le seul problème c’est lorsqu’on n’a pas de "soins alternatifs possibles".

Ou qu’on ne peut tout bonnement pas survivre sans les médicaments prescrits

Et il y a plus de cas qu’on ne le crois.

Perso, malgré la nécessité d’un cocktail médicamenteux quotidien incontournable je ne présente aucune allergie au substituts. Ca me permet de me conteneter des génériques, et le seul qui est le plus important n’en a pas à mettre à la place.

Par contre, pour ceux qui sont allegiques aux additifs de certains génériques ils vont devoir payer plein pot ou faire spécifier la chose par leur médecin.

Et contrairement à la légende urbaine, RIEN ne leur sera remboursé dans la mesure ou ils n’ont pas avancés de soins remboursables avant ; car même à 100%, la SS leur retiendra le ticket modérateur, (50cts par boîte), jusqu’à concurrence de 100 euros/an : 50 euros pour les médocs et 50 euros pour les soins annuellement.

Pour moi je suis essentiellement allergique à ceux qui les fabriquent en majorité, les "génériques".

En particulier le laboratoire israélien Téva. ((- :

En réalité c’est comme les éthylotests dans les véhicules : Un racket organisé par un lobby de pourris qui surfe sur les bonnes intentions dont l’Enfer est pavé sur le dos des plus pauvres et des plus malades.

Geb.

#84952 
19/08/2012 à 00:22 par E.W.

http://www.avenir-sans-petrole.org/article-resilience-du-systeme-de-sante-en-france-56011821.html N.B. : Tout n’est pas tout noir ou tout blanc - <3 tautologie- mais j’ai trouvé l’article assez intéressant pour illustrer la collusion des intérêts pétroliers et pharmaceutiques.
Bon, sinon pour le fond, il faut enfoncer des portes ouvertes : le système économique actuel est inadapté aux contraintes liées au fonctionnement d’un service de santé viable (que chacun développe "système économique" et "viable" à sa guise, je parle pour ma part sous couvert d’humanisme, que chacun définisse l’humanisme comme bon lui semble) et pas que... C’était quand le changement déjà  ?

#84972 
19/08/2012 à 08:04 par christ

suite à un ulcère duodénum , je prenais depuis des années des médocs non génériques qui faisaient éffet au bout de trois jours ; dorénavant , je suis obligé de prendre des génériques qui me laissent souffrir une bonne semaine avant de commencer à faire son éffet , et je dois faire plus de traitements qu’avant ; c’est ça faire des économies ?

#84977 
19/08/2012 à 14:28 par Sofà­a del Valle

Soyons clairs, les génériques sont sensés être composés des mêmes molécules, sinon il ne s’agit tout simplement pas du même médicament. Ce sont les médecins qui devraient promouvoir ces produits, libres de brevet, qui bénéficient au patient comme à la sécurité sociale et donc à la collectivité. Les médecins disposent d’un dictionnaire des médicaments qui peuvent garantir un générique identique ou justifier la prescription du médicament sous brevet. Si les pharmaciens substituent des médicaments par d’autres génériques ne contenant pas les mêmes molécules (en ce y compris les excipients), ils font mal leur boulot. Le débat me semble donc hors cadre et la mise en oeuvre de la politique publique devrait se focaliser sur le comment obliger le médecin à prescrire le meilleur pour le patient et la sécurité sociale plutôt que le dernier médicament vanté à l’occasion de ce séminaire de luxe offert par un laboratoire... @ Viktor, en effet, l’image est assez parlante. Amicalement. Sofà­

#84986 
19/08/2012 à 20:30 par Sheynat

Soyons clairs, les génériques sont sensés être composés des mêmes molécules, sinon il ne s’agit tout simplement pas du même médicament. Ce sont les médecins qui devraient promouvoir ces produits(...)

En effet, mais d’après le Rapport de l’Académie Nationale de Médecine, c’est justement parce qu’ils considèrent qu’il ne s’agit tout simplement pas du même médicament que certains luttent contre la pression du gouvernement en mentionnant notamment le "NS" vu désormais comme une "faille" du système par les promoteurs de la vente des Génériques.
Juste quelques extraits pour éclairer sur leur position :

«  Les obligations de pharmacovigilance s’appliquent à tous les médicaments princeps comme aux génériques.
Les différentes formes pharmaceutiques orales à libération immédiate sont considérées comme une même forme pharmaceutique. De même, selon la définition européenne, les différents sels, esters, éthers, isomères, mélange d’isomères, complexes ou dérivés d’un principe actif sont considérés comme un même principe actif. En fait, ces différentes formes pharmaceutiques sont loin d’être équivalentes et leurs propriétés doivent être précisées au regard de la sécurité et de l’efficacité.
Le générique n’est pas la copie conforme de la spécialité référente dans sa présentation, des comprimés pouvant être remplacés par des gélules, ou dans la nature de l’excipient qui doit être mentionnée dans la notice destinée aux patients [2]. Le changement d’excipient peut occasionner des réactions allergiques plus ou moins sévères, notamment avec les formes orales des antibiotiques à usage pédiatrique. Les malades âgés en traitement chronique peuvent être désorientés par les changements d’aspect et de dosage de leurs médicaments habituels. »
La bioéquivalence entre produit référent et générique ne signifie pas qu’il y a automatiquement une équivalence thérapeutique, en particulier lors de la substitution d’un générique par un autre. "

(S’ensuit une liste de plusieurs médicaments pour illustrer "une moindre efficacité et un délai d’action plus long")

Bonnes pratiques à haut risque
Les règles de bonnes pratiques dans la fabrication des médicaments génériques sont très coûteuses et certains fabricants n’hésitent pas à les contourner, aussi bien dans des pays émergents comme l’Inde, qu’au Canada, comme l’indique un cas rapporté concernant Apotex, premier laboratoire pharmaceutique du pays [17] .
En 2011, une journée thématique de l’Académie nationale de Pharmacie intitulée « Matières premières pharmaceutiques, Mondialisation et Santé publique » a fait le point, de façon remarquable, sur cette question : « D’une fabrication quasi locale des ingrédients entrant dans la composition des médicaments (principes actifs, excipients) ainsi que des médicaments eux-mêmes, avec un petit nombre d’acteurs bien identifiés et connus des autorités de santé, nous sommes passés à une dispersion planétaire et à une dissémination des chaînes de production et de distribution ».

Personnellement j’aime bien de temps en temps jeter un oeil sur les rapports du Sénat aussi, histoire de lire quels sont les prétextes évoqués pour ces mesures de "Santé Publique"...
Celui qui pose une question résume des faits :
Question sur les médicaments génériques du 5/7/12 :

Le taux de substitution des médicaments originaux par des génériques a stagné autour de 72 % au mois d’avril 2012 après avoir atteint 79 % en 2010, selon les données de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM)(...)
La France accuse un net retard sur ses voisins européens : le taux de pénétration des génériques était ainsi de 23,8 % fin 2011 (contre 24,3 % fin 2010) contre autour de 60 % en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, au Danemark, en Roumanie, en Bulgarie ou en Pologne, selon des données du GEMME(association de fabricants de génériques), qui affirme qu’il y aurait une propension des médecins français à utiliser davantage de produits brevetés, par rapport à leurs confrères européens. Ils dénoncent la progression des ordonnances portant la mention NS (non substituable) inscrite par les médecins, qui empêche le pharmacien de remplacer le princeps par le médicament générique associé, comme il en a la possibilité depuis 1999.(...)
Pour le principal syndicat de médecins libéraux, la mention NS serait utilisée pour répondre à la « fragilité de certains patients comme les personnes âgées ou les malades psychiatriques » qui peuvent être désorientés par l’utilisation d’un générique. Par ailleurs, les dosages ne sont pas « superposables » pour certains traitements « dont la marge thérapeutique est étroite », comme l’insuffisance thyroïdienne.
En février dernier, l’Académie de médecine avait alerté médecins et pharmaciens sur ce point, et appelé à la prudence dans l’utilisation des génériques, soulignant qu’ils n’étaient pas la copie conforme du médicament original.
Toutefois, la CNAM, qui a économisé 1,4 milliard d’euros en 2011 grâce aux génériques, entend bien enrayer cette baisse, jugeant atteignable l’objectif d’un taux de substitution à 85 % fin 2012. Il faut rappeler que depuis 2011, les médecins généralistes sont rémunérés notamment en fonction de la part de génériques délivrés.

On peut aussi aller voir sur le site du GEMME (je ne mettrai pas le lien) pour voir ceux qui sont sensés oeuvrer pour la collectivité et qui dénoncent ces "vils" médecins même pas capables de profiter de la carotte proposée par la Sécu...
Je n’ai pas toujours tendance à défendre les généralistes mais certains luttent pour leurs patients comme ils l’ont fait lors de la campagne Bâcle-le-lot de la prétendue "pandémie mondiale" H1N1 et non pas pour faire plaisir aux labos et ceux-là je les soutiens.
Pour compléter :
Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2012 : Assurance maladie > on voit toute la chaîne des décisions et les incohérences discutées.

#85000 
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