Ce hamster dans sa roue : c’est vous.

Près d’ Avalon, non loin de Brocéliande, il y a un lac où j’irai pêcher ce jour-là : le Pyrhe.

Chems Eddine CHITOUR
" Nous avons abandonné le pouvoir aux grandes entreprises, et nous allons connaître une vague de corruption sans précédent qui va s’infiltrer jusqu’aux plus hauts niveaux de l’État. Les forces de l’argent vont tenter de se maintenir au pouvoir en excitant les classes sociales les unes contre les autres jusqu’à ce que toute la richesse se trouve concentrée dans quelques mains et que notre République s’effondre. J’éprouve en ce moment plus d’inquiétude pour mon pays que je n’ai jamais eu, même en temps de guerre. » Abraham Lincoln, 16e président des États-Unis d’Amérique."

No comment !
Robespierre aurait eu une autre alternative bien plus expéditive et cela nous aurait fait gagner du temps et de l’argent ...

Si je puis me permettre un second commentaire sur la phrase Machiavelienne « En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal. »
Cela tombe bien car je viens de relire par delà le bien et le mal, de Friedrich Nietzsche, quoi que l’on puisse penser de ce sémaphore de la pensée occidentale, il avait ressenti bien avant les autres l’impasse où nous ménerait notre belle démocratie synarchique !
Malheureusement nous ne pourrons jamais empêcher la volonté de puissance, j’espère que dans le monde de l’après nettoyage, de la justice immanente que j’appelle de tous mes voeux, les hommes s’il en reste, adjoindront à cette volonté de puissance le bien commun pour l’humanité ...

Ouais, ouais......
Y’aura bientôt plus que la peste et le choléra
Je consulterais mon médecin avant de voter.....

Bien vu, cet Abraham (Lincoln), cité plus haut, celui-là au moins n’était pas servilement prêt à égorger ses propres enfants pour être l’Élu. Ni ceux des autres...
Mais pour passer tout-de-même entre les monstres, de Charybde en Scylla et éventuellement aller-retour, de Scylla en Charybde, sans être happé au passage et englouti ou dévoré, il faut plutôt se faire Ulysse : rusé, le coup d’oeil, habile à la manoeuvre entre babord et tribord, et avant tout, décidé à passer.
Si on se met à cent hamsters dans la roulette où se jouent nos destinées, elle s’emballe et n’assure plus aucun sens de rotation, on fait sauter le cercle qui nous tient prisonniers, et ses parti(e)s volent en éclats.
Le style parabolique a l’avantage de faire apparaître pour ce qu’ils sont, - des broutilles de surface -, les minables calculs de dispositifs politiques et petits arrangements avec les morts, avec les phrases, destinés à sauver les corps constitués, ces grandes mécaniques que l’on croit solides, mais qui n’existent que sur le papier et dans la tête de ceux qui les maintiennent en état de marche. Au nom d’un acronyme qui n’est rien mais que l’on confond avec l’histoire.
La preuve : les puissants les manipulent impunément, ou passent par-dessus.
On peut construire un autre navire, s’entraîner pour former un autre équipage, corsaires et flibustiers, tous gens d’honneur, et quitter enfin le marigot pour passer en haute mer.

Il n’est pas inutile de rappeler aux néophytes de la politique et de la façon la plus simpliste que : les bévues , les erreurs , les trahisons , les promesses non tenues , les COLLABOrations à contre sens , les aventurismes militaires , les laminages des acquis sociaux , le chômage endémique , les fermetures d’entreprises ...etc...etc...de la part du gouvernement actuel , suivent volontairement une stratégie apocalyptique destinée à faire re-basculer progressivement le pouvoir à la droite de ce pays ; ou à défaut et comme punition à l’entêtement du peuple français , à laisser l’extrême-droite prendre la relève .
Le Parti Communiste Français pourrait de son côté profiter de l’aubaine et s’engouffrer dans la brèche ouverte par les pseudo-socialistes ; malheureusement il n’en sera rien , car les guignols qui se sont accaparés la Place du Colonel Fabien ne conduisent qu’à droite , sans jamais regarder à gauche , et freinent de tout leur poids sur la pédale de frein au point d’en percer la carrosserie quand ils entrevoient la moindre ombre se profiler à gauche . Les rôles de "second couteau" plus proches des mollusques du même nom que du politique motivé et combatif sincère ou encore le rôle de dirigeants comparses et délibérément tétraplégiques politiques ...leur convient beaucoup mieux , car plus accommodant et plus rémunérateur financièrement et surtout moins risqué car toujours du côté de la balance où il y a le plus de poids politique .
Ce n’est plus un parti communiste , c’est un parti simplement commun , banal , quelconque , standardisé aux normes du Monde du Silence pour ne pas entraver le bon déroulement stratégique et politique de la droite française et européenne . Un parti où l’appellation .COM lui suffirait amplement !