Je sombrerais dans une lâche facilité si je prétendais qu’il en va des fumées noires de l’usine Lubrizol de Rouen comme du charnier de Timisoara, du nuage de Tchernoby, de la fiole d’ADM de Colin Powell et de la défense de la presse par RSF. Je veux donc ne pas dire (prudence !) qu’il faudra des années pour savoir la vérité.
Quiconque émet des doutes raisonnables et documentés peut s’attendre à se voir coller l’étiquette de complotiste par quelques mercenaires, suivis, hélas, par les masses moutonnières.
Ce n’est pas moi qui irai raconter que les patrons de l’usine et le gouvernement sont comme ces écoliers surpris dans les cabinets et qui agitent la main en guise d’éventail en jurant : « On fumait pas, m’sieur ! ».
Par conséquent, je m’en tire avec une blagounette rouennaise : Jeanne d’Arc s’est éteinte à Rouen le 30 mai 1431, trois heures après sa mort. Ha ! Ha !
Théophraste R. Vendeur de plumes ; le goudron est gratuit et arrive de Rouen par les airs.