Après les députés PS qui contestent la politique droitière de Manuel Valls, après le sermon de Marine Le Pen à son papa qui-dit-tout-haut, Jean-Louis Debré hausse le ton contre Sarkozy qui critique la Justice.
Nous ne sommes pas dans une République mais dans un commissariat où sévissent à tour de rôle le bon flic et le méchant flic, complices.
Les Français y sont en garde-à-vue pour apprendre pour quel président voter en 2017.
Théophraste R. (critique théâtral).
Les peuples ont besoin des guides et leaders qui se trouvent déjà parmi eux ! Les peuples de la terre ont besoin de guides de conseil de sages, nul besoin de monarques de président ou dictateurs
Éradiquons les parasites, reprenons le pouvoir et décidons nous même de nos destinées.....!
Et pour la justice sociale, Tintin !
Mille milliards de sabords, bachibouzouk, emplâtre, diplodocus, je me demande bien ce que va faire Ottokar...
Le Bon, (Hollande), La Brute, (Sarkozy... Et Le truand, (Marine LP).
Et par derrière les mêmes qui tirent les ficelles au service des assassins des Peuples.
Le Triptyque sacré de la manipulation des Masses.
La Sainte Trinité des faux culs du Kapital.
Des siècles que ça dure en changeant la forme des marionnettes et la couleur de l’environnement.
Au fait, il y en a ici qui pensaient encore qu’on était à ce jour dans une République ?
En admettant qu’on y ait jamais été un jour. ((- :
Ils peuvent se le tirer au sort leur "président".
Demandez aux mineurs du Donbass, aux Palestiniens de Gaza, aux paysans syriens de Daaraya, aux Africains de l’Afrique entière du Nord au Sud, aux Haïtiens, aux Latinos-Américains. Et à ceux qui crèvent de faim en France et Europe sans savoir ce qu’ils deviendront demain.
Eux ils sont aux premières loges.
Avec ou sans "vote".
Aujourd’hui, "voter" n’est plus exprimer un choix. Car il n’y a AUCUN choix réel dans cette mascarade pitoyable.
"Voter" c’est accepter sa situation d’esclave et la situation encore pire que subiront nos progénitures.
Hessel, (Avec tout le respect que je peux lui porter), avait tort : Ca n’est pas d’"indignation", ni de "compassions hypocrites", et encore moins de "manifestations pacifiques" que les opprimés ont besoin.
Ils ont besoin de la Conscience de leur état, de la compétence pour combattre l’ennemi, d’un but juste à atteindre, et de la Haine envers ceux qui les maintiennent dans le trou.
Quand un "personnage public" quel qu’il qu’il soit, fera de l’éducation des masses défavorisée sa priorité politique et sociale en chiant sur tout ce verbiage "politiquement correct" et cette oligarchie vénéneuse, et accessoirement dénoncera clairement ceux qui mènent le génocide social (IE les USA, Wall-Street, et leurs sbires), et surtout qu’il arrivera à le populariser en dehors de la caverne d’Internet, moi et quelques centaines de millions d’hommes et femmes dans le Monde pourront reprendre espoir d’un avenir meilleur.
En attendant on se contentera de se défouler sur la Toile histoire de nourrir les "files" de la NSA et des Services d’Intel, et leurs statistiques de contre insurrection, tout en tentant de se souvenir de si un jour les Exploités ont pu réellement contrôler leurs intérêts réels quelque part et pendant combien de temps.
Quand on est au fond du trou et le dos au mur, seule la haine de l’Oppresseur peut donner la capacité de se rendre libre. Et accessoirement de "libérer" les autres.
Le reste c’est du bla-bla pour faire durer la situation au profit des oppresseurs.
Geb.
Je trouve que Dupont et Dupond représente l’alternance (intra-systèmique) qui n’est en rien une alternative (contra et extra-systèmique)
Théophraste est un artiste engagé !
Pollux mon canidé qui n’est pas un chien policier mais un Fox terrier bien tétu vous propose de renommer les impétrants Ducon et Ducong eu égard à l’ incompétence crasse de nos dirigeants et leur traitrise envers la nation !
ô cong comme diraient les marseillais !
Léquipe du brazil s’étant pris une telle déculottée, ce n’est pas un string brésilien mais la culotte de grand mère à la grosse Bertha, ces fripouilles mafieuses tremblent : il n’est que d’entendre la déclaration d’Attali du jour, après celle faite par Platini, au risque de paraitre trivial ces deux déchets de l’inhumanité mériteraient d’aller se faire empapaouter par des travestis brésiliens !
Et si la révolution mondiale débutait à Rio ...
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« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
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