Le discours de vérité de la race blanche judéo-chrétienne

Si la loi autorisait de présenter des chèvres, il achèterait un troupeau.

Pas sûr que les chèvres acceptent !!!

Lettre d’amour à Théosophe.
L’amour on le ressent pour ses proches mais on peut le ressentir pour des compagnons de route en tous les domaines et partout ailleurs. Il n’est pas moins fort, plutôt l’égal ou plus lorsqu’on regarde la bêtise, la balourdise et une pensée qui se targue pur jus de l’esprit, alors qu’elle n’est que pur jus des instincts les plus vils, en semble, allant se goinfrer au McDonalds de l’histoire d’à côté parce qu’il choisit sa clientèle et n’admet pas n’importe qui. Quant à la bouffe qu’il sert, elle doit être bonne puisqu’il lui reconnaît une spécificité dont elle ne peut qu’être fière. Une spécificité privilège ne s’interroge pas sur son essence, elle se justifie par la spécificité de ce qui est rejeté et qui, obligatoirement ne doit pas être méritant. Mani n’a rien à voir avec le manichéisme qui est plutôt d’ordre naturel, mais s’il en a à voir, c’est juste pour rejeter sa pensée et l’enterrer.
J’ai remarqué que lors de votre dernier billet d’humour, on vous l’a reproché certainement par gentillesse. Mais la personne L.A, semble oublier que l’humour sert à desserrer les nœuds qui nous étranglent et à nous faire sourire de nos misères. C’est une pratique courante et salutaire connue depuis la nuit des temps et bien avant les humoristes professionnels qui obéissent plus aux injonctions d’une industrie qu’à nos misères qui finissent vite par leur échapper. Il est vrai qu’on n’est pas toujours d’humeur à écouter l’humour de l’autre, et que nos préoccupations sensées ou insensées prennent le dessus. Ce qui est très compréhensible.
Ce qui m’a attristé de votre part, c’est lorsque vous avez essayé de vous expliquer, chose qui n’a servi qu’à briser votre élan de cœur et sa spontanéité. Vous auriez dû vous dire que L. A., voit la partie émergée de l’iceberg et ne voit pas la partie cachée. Une ville ne peut pas exister sans ses souterrains qui nous servent de vides entrailles et autres, mais qui y pense ? Si seulement, elle ne voyait pas, on pourrait ne pas prêter attention, mais L.A. oublie aussi ou ne sait pas que tout s’engendre et rien n’obéit au principe de la génération spontanée cher Aristote. Si la ville a ses lieux d’évacuation de ses déchets, les cerveaux aussi ont besoin de lieux d’évacuation de leurs tensions aux multiples causes entre autres les inégalités et les injustices ; vraies ou ressenties, c’est du pareille au même. Ces tensions pouvaient trouver comme lieu ou terrain la compréhension et le dévouement des uns envers les autres, mais ce lieu a plus tendance à se rétrécir qu’à s’élargir surtout dans des sociétés atrocement hiérarchisées et ne font que dans le faux-semblant. C’est pourquoi on essaye d’endiguer ses tensions par un encadrement qui n’arrive jamais à trouver le juste milieu et peut lui-même devenir une cause.
Maintenant, on peut être tenté par la coercition et le moralisme, mais ils ne peuvent rien résoudre, si ce n’est de créer un mal pire que celui qu’on veut combattre. Et cela est très connu, et ne nécessite pas de développement. Pour ceux qui ont encore des doutes, ils n’ont qu’à voir comment on fabrique les « terroristes » et autres communauté imperméables. Les conditionnements servent à soumettre et jamais au grand jamais à libérer quiconque de quoi que ce soit.
Merci à vous théosophe, vous qui vous différenciez de tous les théosophes qui nous empoisonnent la vie.

la confusion entre Théophraste et théosophe est voulue parce que ce que défendait Théopfraste et ce que défendent les théosophes ne se distinguent plus. Je le signale parce qu"il m’arrive des confusions non voulues.

Encore une autre précision : Théophraste le grec et non pas celui d’ici qui j’ai pris pour un théosophe par dérision teintée de déférence.

N’est-ce pas cette Nadine Morano qui a lancé un procès (qu’elle a perdu) contre Guy Bedos pour s’être fait traitée sur scène de connasse par ce dernier ?

Pourtant dans un tel cas de déliquescence mentale ... « blanche » , le mot connasse ne peut pas être une insulte ou un gros mot . Simplement quelque part , un juste constat d’échec pour celle qui le porte .

D’humeur taquine, je glisserais que jusque dans les pages du grand soir, on peut entendre un "discours de vérité", comme le soulignait il y a peu un commentateur sous l’article d’un certain Limonov, grand craintif des individus "à la peau sombre"...

Cher Théophraste R.
Je regrette de déposer le commentaire qui suis ici, mais comme c’est ici qu’a été validé un jugement me concernant (bien qu’afférent au papier précédent), j’espère en bonne justice que ma réponse y sera validée également. Cela dit, rassurez-vous, je ne souhaite pas entretenir une interminable polémique avec ce quidam (comme disait Béart).
P. S. : sur votre présent billet, je n’ai rien à ajouter (sauf une liste de médiacrates et de valets, hélas ! interminable). Merci de garder l’œil ouvert et de prendre le temps de nous tenir ainsi au courant.
Sincères amitiés,
L. A.

@ depassage
Vous seriez gentil de ne pas me convoquer lors de vos crises de diarrhée (verbale), qui plus est à côté de la lunette.
S’essayer à l’écriture publique quand on ignore à ce point la grammaire et la syntaxe, est-ce bien là votre meilleure idée ?
Votre charabia abscons relève d’un (mauvais) élève du séminaire et je constate que vous n’êtes d’ailleurs pas davantage doué pour la lecture, ne retenant qu’une phrase par-ci par-là, sans toujours l’assimiler.
Rien ne vous autorise à prétendre savoir ce qui m’échappe ou pas. Le bon cœur, l’humour (ça dépend avec qui), je les distingue parfaitement. La veulerie et la complaisance aussi.
Alors commencez par apprendre à vous exprimer clairement (et au bon moment) avant de vouloir dire la messe, et laissez Aristote, les égouts, Mani, les théosophes, les icebergs et (surtout) moi-même tranquilles s’il vous plaît.
Recevez l’expression de ma navrance sincèrement blasée.
L. A.

@ latitude zero
« "Si la loi autorisait de présenter des chèvres, il achèterait un troupeau."
Pas sûr que les chèvres acceptent !!! »
Les chèvres peut-être pas, mais les moutons oui. Ils se rassemblent d’ailleurs en masse, au bistro comme à la télé, on les entend déjà bêler.
bis :
Au bistro comme à la télé,
On les entend déjà bêler. (Rime riche.)
L. A. (créateur involontaire de distiques en octosyllabes spontanés)

Le FN est un parti de baltringues ce qui ne signifie pas que les idées qu’ils défendent ne sont pas celles de la majorité des français.
Ne vous faites pas plus gros que le beauf. puisque vous parlez de chèvres vous faites bien la grenouille.

@ azert
Vaut mieux lire ça que d’être sourd. Vous écrivez, à propos du FN, que « les idées qu’ils (sic) défendent » seraient celles de la majorité des Français.
On apprend que le parti facho défendrait des idées ! C’est nouveau. Pourriez-vous nous donner un exemple ? Pas un exemple de slogan, de bobard ou de racontard ; pas un exemple de réaction épidermique incontrôlée ou d’appel à la mise au pilori ; non, un exemple d’idée.
Quant à la majorité des Français, vous la connaissez bien ? Vous mangez souvent avec ? Elle vous en a fait part, de ses idées ?
L. A. (Français minoritaire)

@ L.A
Au lieu de brocarder quelqu’un comme azert sur son opinion, pourquoi vous ne nous faites pas part des idées qui sont des idées pour nous protéger de celles qui ne le sont pas. Ça aurait été plus bénéfique pour ceux qui sont pris dans les filets des non-idées du FN et bien d’autres.

" ....mais qui payèrent leur lâcheté et leur complicité à la Libération. "
Pas tous , loin de là !

Ne Nous en déplaise, il suffit de ne pas vivre dans un microcosme intellectuel de gauche et d’écouter les gens autour de soi pour vérifier que ce qu’a dit M. Biraben est juste : les idées du FN sont véhiculées par un grand nombre de français, ce qui ne veut heureusement pas dire qu’ils soient tous du FN, ni même qu’ils voteront pour ce parti...

Il y a cependant un pas immense à franchir que de décréter - comme elle l’a fait - que le FN est le premier parti de France ! C’est possible, l’avenir le dira, mais sur quoi se base-t-elle pour l’affirmer hormis la possible révélation freudienne de ses convictions cachées et espoirs profonds ?!!

Comme beaucoup d’autres en France, parée de sa fonction qui la protège et la place au-dessus du jugement, cette journaliste est très réactionnaire et fait volontiers fi de la déontologie de sa profession pour militer pour ses idées : j’ai souvenir de ses positions très ouvertement hostiles aux énormes manifestations contre le prolongement de l’âge de la retraite, démocratiquement occultées par N. Sarkozy et allègrement foulées sur la lancée par F. Hollande...

Ceci étant dit, la vraie gauche française devrait quand même se demander comment elle peut ne plus incarner un espoir pour les travailleurs et le laisser reposer sur le FN, alors que c’est toujours le cas en Grèce et en Espagne où les reniements du PASOK et du PSOE ont repoussé l’électorat plus à gauche et non pas plus à droite...

Que d’erreurs commises pour en arriver là !!

Selon moi, elles se résument à deux choses :

- les trahisons maintes fois répétées du PS au idées de gauche, et,
- la focalisation des forces de gauche sur des problèmes de société pas faux mais secondaires tout en oubliant totalement les réelles préoccupations et difficultés de vie quotidiennes des français...

Il a ensuite été aisé au FN de s’engouffrer dans la faille, en pointant les flagrantes contradictions de la classe politique, et d’obtenir de l’audience sans rien proposer d’autre, finalement, que de ne pas ignorer le mal-être des français : nous savons tous que ce n’est que de la démagogie, mais c’est bien calculé !

D’un autre côté, désolé, mais se contenter de fustiger le FN sans se demander le pourquoi de son essor est trop facile...

Il faut aussi s’analyser !

Si on pouvait se dire les choses telles qu’elles peuvent être probablement et non pas telles qu’on peut les fantasmer, on dirait que l’Occident se repose sur une particularité à part qui est la dispute de leadership entre ses membres depuis l’ère industrielle avec force et bien avant, depuis le moyen Âge, avec une force mitigée plus liée aux circonstances de l’époque qu’à autre chose. On peut remonter encore à plus loin, mais ceci ne servira pas à mieux étayer cette particularité. Il y avait bien des conditions extérieures qui ont contribué aussi à cette particularité, mais elles ne sont pas essentielles à ce constat.

Cette particularité demeure même de nos jours. Du temps des deux blocs, elle s’est atténuée face à un ennemi commun et son système a dû faire des compromis sous la contrainte du bloc adverse de peur qu’il le contamine et des forces de ses classes laborieuses qu’on peut appeler communément la gauche, la vraie, qui n’était acceptée que difficilement. Tous les coups étaient permis pour la disqualifier, entre autres par les infiltrations et la création de fausses gauches.

Avec la chute du bloc adverse, il y a eu un retour à la case de départ qui a complètement été changé entre-temps, par le progrès technologique (qui n’est pas toujours bon, lorsque le système qui l’a engendré garde ses veilles habitudes de fonctionnement) et par le tout financier pliant toute activité économique et aussi politique à ses désidératas. Dans un tel système, tout ce qui a été acquis avant par les classes laborieuses est devenu caduc. Et ce, sous la contrainte de la délocalisation des activités industrielles à faible valeur ajoutée et le progrès technologiques qui rapporte pendant un certain temps avant de décliner quand les concurrents atteignent la même productivité.

Conséquence, les masses laborieuses se sont faites laminer au sens physique du terme au profit du tertiaire et autres secteurs élitistes ou de basse besogne. De ce fait, la gauche a perdu ses appuis, sans arriver à s’adapter à la nouvelle réalité. Il reste que c’est mentir de se satisfaire uniquement de cette approche. La guerre psychologique ou la propagande, ainsi que la guerre des mythes qui sont connus pour avoir une vie dure, ont participé à son (la gauche) déclin.

Si on ajoute le fait que l’Occident s’est trouvé dépourvu, un peu subitement, d’un ennemi de sa taille qui justifiait ses actions et ses tours de passe-passe et qu’il lui a fallu créer de toute urgence un nouvel ennemi qu’il nomme le « terrorisme », on pourra dire qu’on a fait le tour sans tout à fait le compléter parce que, en filigrane, la dispute pour le leadership travaille les fonds des nations de l’Occident en mettant en conflit des forces aux aspirations légitimes contre des forces aux aspirations sordides animées par les désirs de puissance.
À regarder de prés, tous les « fascismes » sont animés par le désir de puissance. Désir qui ne lésine sur aucun moyen.

PS : @ LGS, je ne tiens pas particulièrement à être publié et cela ne me dérange pas de ne pas l’être. J’apporte des petites contributions sans prétention aucune.
Effacez ce PS, si vous pouvez.

Si LGS permet, je renvoie ICI à un article de G. Liégard dans Regards sur la bonne opinion des jeunes à l’égard du Fhaine, et au commentaire que j’y ai joint.