Quand François Hollande a dit "Mon adversaire, c’est la finance", sa fourche a lingué ; en fait, il voulait dire "Mon PARTENAIRE, c’est la finance".
Notre Président est un homme de bonne foi, sincère, franc du collier et ce n’est pas sa faute si il se trompe tout le temps : de femme, de collaborateur, de politique, de prévisions économiques et météorologiques, de programme, d’électorat...
Aux prochaines élections, je crains qu’il ne se trompe de bulletin et vote contre lui-même.
Encore heureux qu’il ne mange pas de bretzel, il pourrait nous faire une fausse route comme Double U.