Nous avions eu la sinophobe affabulatrice Dilnur Reyhan qui, au nom de la lutte pour la liberté d’expression au Xinjiang, a demandé et obtenu la censure d’informations aux libraires et bibliothécaires par le média spécialisé « Livres Hebdo » (1).
Nous avons à présent une autre censure, celle de l’hébergeur de pétitions « Change org » qui a supprimé la pétition que vous lisez ici et qui réclame le droit de parler de la Chine autrement.
Il ne suffit pas, au « pays de droits de l’homme » (sic) de dire que nul ne réclame ici l’importation du système politique, économique, médiatique, culturel, judiciaire, médiatique chinois. Non, il faut condamner la Chine en bloc, et toujours, et partout et sur tout.
Car il n’est bon bec que de Paris, de Washington et de l’OTAN.
Ainsi donc, le fait de parler pour réclamer le droit de parler n’est pas admis par « Change org ».
Cela me rappelle cette histoire où une marâtre crie : « Toto, arrête de crier en tournant en rond ou je te cloue l’autre pied ! ».
Théophraste R. Auteur de l’ouvrage : « Ces liberticides qui donnent des leçons de liberté » (Tome 1, presque achevé).
NOTE (1) « Ouïghours, pour en finir avec les fake news » (éditions La route de la soie) et « La Chine sans oeillères », éditions Delga.