« Ils sont grands, ils sont forts, ils sont cons », disait De Gaulle des « Américains ».
Pourtant, il n’a pas connu Gérald Ford dont Lyndon Johnson jurait qu’il avait trop joué au football sans casque et qu’il était incapable de marcher et de mâcher du chewing-gum en même temps. En tout cas, les escaliers ne lui réussissaient pas.
Après avoir rencontré De Gaulle à Paris, Johnson souffla aussi à un grand journal US, qui en fit un titre : « Le grand Charles, une grosse tête et peu de bon sens ».
Je vous parle d’un temps où la France se voulait alliée et non vassale des USA et où il était inimaginable de voir à Paris un président US peroxydé embrasser (doux Jésus !) une tante Yvonne emballée dans un tailleur de luxe prêté par un Bernard Arnaud (LVMH) aussi désintéressé que maître Bourgi quand il offrait des costumes à Fillon.
Théophraste R. (Chef de chorale : « Ah ! ça ira, ça ira, ça ira… »).