Ils lui sautent dessus par derrière. Tristan Mendès-France baisse son pantalon, Nicolas Demorand, Pierre Haski, Anthony Bellanger lui écartent les jambes.
Trois qui la tiennent, un qui la nique. Scène ordinaire sur la radio d’Etat : la Vérité violée, la tournante quotidienne.
Puis, Tristan Mendès-France essuie sur ses cuisses avec la jupe de sa victime les coulures de son maigre éjaculat et se rajuste. Tous s’isolent en rigolant dans un studio pour leur nouvelle émission vertueuse : « Femme, femme, femme ».
Le site Le Grand Soir aide la Vérité à se relever tandis que les violeurs dénoncent impunément au micro le machisme de ses administrateurs qui prétendent voler au secours de cette salope.
Théophraste R. Ancien auditeur de France Inter.
PS. Il s’agissait, pour la radio d’Etat, de faire taire l’auteur du livre : « Ouïghours, pour en finir avec les fake news ». Voici le récit du viol, sous forme de lettre ouverte à la médiatrice de Radio France :
https://www.legrandsoir.info/lettre-ouverte-a-la-radio-que-je-paie-et-...