Pierre Bourdieu a écrit : « Les journalistes, ne se contentent pas de simplifier en focalisant sur des oppositions largement artificielles, ils braquent aussi les projecteurs sur les détails extrêmes, sur le paroxysme des crises laissant dans l’ombre la quasi-totalité de la réalité, coupable d’être trop banale, terne, sans intérêt ».
C’était un gentil, Bourdieu, il aurait pu dire que la plupart des journalistes sont des suceurs de b*tes et des lécheurs de c*ls, car c’est bien ce qu’il pensait.
Il disait aussi que les faits divers sont des faits de diversion, ce qui explique la place accordée dans les médias aux crimes, aux accidents de la circulation, aux guerres, à toutes sortes de violences, hormis celle des accidents du travail, lesquels sont idéologiquement chargés et pourraient mettre en cause les b*tes sucées et les c*ls léchés.
Regardez ces virtuoses du léchage-suçage s’enflammer pour n’importe quel journaliste tourmenté, à condition qu’il ne soit pas innocent et ne s’appelle pas Assange, ne s’appelle pas Assange, ne s’appelle pas Assange, ne s’appelle pas Assange.
Théophraste R. auteur scatologue de l’opuscule (introuvable) : « Les c*ls, il faut les botter ».